Le montage (# 136) est disponible pour écoute et téléchargement depuis la chaîne Community Audio du site Internet Archive à l'adresse suivante: https://archive.org/details/Pcast136 |
pcast136- Playlist
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A chaque année, c'est avec le plus grand plaisir qu'on retrouve les grands "classiques" de la saison des Fêtes - films, dessins animés et bien sûr les grands sorties culturelles et familiales - allant de la Messe de Minuit jusqu'au Casse-Noisette.
Comme je l'ai souligné à plus d'une reprise dans nos pages, ma fille cadette est une danseuse plutôt sérieuse, et ceci veut dire que j'ai vu ma part de Casse-Noisettes "amateiurs" et professionnels - surtout à la télé. Je doid confesser que je ne mme lasse pas vraiment de ce ballert, année après année. Peut-être est-ce parce que la musique de Tchaïkovski encadre si bien le conte!
Le compositeir a vite compris qu'il avait composé un succès, et s'est empressé de monter une "suite" d'extraits de son oeuvre. Toutefois, il a ngligé un bon nombre de numéros, qui font que l'écoute du ballet dans sa forme "intégrale" révèle des moments qu'on n'entend pas vraiment ailleurs.
Beaucoup d'oeuvres scéniques ont de la difficulté à passer sans l'aspect performance sur sène - je dirais que beaucoup de ballets - de par leur longueur et leur musique qui ne suggère pas d'action spécifique - font partie de ce nombre. Toutefois, comme la plupart des ballets de Stravinskki, Casse-Noisette tient bien seul.
Le ballet se veut une réalisation du conte d'enfants de 1816 "Le Cassee-Noisette et le Roi des Souris" d'E.T.A. Hoffmann. Puisque le synopsis est assez bien connu, je me passeraio de vous l'offrir en détail. Le ballet tourne autour d'une fillette (Clara) et d'une étrenne magique qu'elle reçoit de son oncle - un vieux Casse-Noisette. Transportée dans un rêve féérique, son cadeau prend vie, et mène le combat contre une armée de souris. Aidant le brave Casse-Noisette dans sa victoire, il se transforme en un Prince Charmant qui l'invite àson palais, où ils seront fêtés par une ribambelle de courtisdans.
La prestation retenue date d'une quinzaine d'années, et met en vedette le chef Valery Gergiev et "l'Orchestre Kirov". Le nom prêté à la troupe de ballet de St-Pétersbourg et au théâtre qu'ils occupaient est un vestige de l'ère Soviétique (hommage au pr.sident du parti Communbiste local, assassiné en 1934). Depuis la sortioee du disque, le théâtre a repris son nom original, le Marinsky.
Joyeux Noël et bonne écoute!
Comme je l'ai souligné à plus d'une reprise dans nos pages, ma fille cadette est une danseuse plutôt sérieuse, et ceci veut dire que j'ai vu ma part de Casse-Noisettes "amateiurs" et professionnels - surtout à la télé. Je doid confesser que je ne mme lasse pas vraiment de ce ballert, année après année. Peut-être est-ce parce que la musique de Tchaïkovski encadre si bien le conte!
Le compositeir a vite compris qu'il avait composé un succès, et s'est empressé de monter une "suite" d'extraits de son oeuvre. Toutefois, il a ngligé un bon nombre de numéros, qui font que l'écoute du ballet dans sa forme "intégrale" révèle des moments qu'on n'entend pas vraiment ailleurs.
Beaucoup d'oeuvres scéniques ont de la difficulté à passer sans l'aspect performance sur sène - je dirais que beaucoup de ballets - de par leur longueur et leur musique qui ne suggère pas d'action spécifique - font partie de ce nombre. Toutefois, comme la plupart des ballets de Stravinskki, Casse-Noisette tient bien seul.
Le ballet se veut une réalisation du conte d'enfants de 1816 "Le Cassee-Noisette et le Roi des Souris" d'E.T.A. Hoffmann. Puisque le synopsis est assez bien connu, je me passeraio de vous l'offrir en détail. Le ballet tourne autour d'une fillette (Clara) et d'une étrenne magique qu'elle reçoit de son oncle - un vieux Casse-Noisette. Transportée dans un rêve féérique, son cadeau prend vie, et mène le combat contre une armée de souris. Aidant le brave Casse-Noisette dans sa victoire, il se transforme en un Prince Charmant qui l'invite àson palais, où ils seront fêtés par une ribambelle de courtisdans.
La prestation retenue date d'une quinzaine d'années, et met en vedette le chef Valery Gergiev et "l'Orchestre Kirov". Le nom prêté à la troupe de ballet de St-Pétersbourg et au théâtre qu'ils occupaient est un vestige de l'ère Soviétique (hommage au pr.sident du parti Communbiste local, assassiné en 1934). Depuis la sortioee du disque, le théâtre a repris son nom original, le Marinsky.
Joyeux Noël et bonne écoute!
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