samedi 30 novembre 2013

L'Idée Fixe est disponible en version "Beta"

L'idée fixe en version BETA
tout le mois de décembre 2013



C'est avec plaisir que je vous invite, pour le mois de décembre, à fureter l'idée fixe en mode "Beta". Ceci veut dire que nous continuerons à faire des ajustements à l'ameublement et à la présentation du site.

Pendant la construction, j'ai entrepris la transition d'un bon nombre de billets, histoire d'offrir une programmation initiale sommaire. Pendant le mois de décembre, nous allons continuer notre tradition bilingue sur ITYWLTMT, mais présenterons les même billets (en version française bien sûr) - les billets du mardi et du vendredi, ainsi que les Quinze que j'en pense programmés pour MQCD Musique Classique le 15 et 30 décembre.

Parmi les nouveautés (devrais-je dire les exclusivités) de l'idée fixe, nous commencerons dès dimanche le 1er décembre notre nouvelle série "Dimache en pantoufles" avec son menu de repiquages bloguesques.

Consultez notre page de programmation pour les détails.

Je rappelle que l'idée fixe, c'est plus que mon blog, c'est un site veut plaire aux mélomanes et aux collectionneurs. Vos commentaires sont sollicités - et appréciés à l'avance. Il ne suffit que de les laisser en fin de billet, ou de me les faire parvenir par le biais de notre paf=ge Facebook ou par courriel (les hyperliens se trouvent sur la opartie supérieure droite de nos pages.

Bonne visite, et bonne écoute!



Baladodiffusions Opératiques



Le billet suivant est une reprise d'un Quinze que j'en pense, datant originalement du 30 novembre 2013. 

Le contenu de la réflexion fut modifiée pour sa reprise sur L'Idée Fixe.

At The Opera avec Sean Bianco

Pour commencer, je voulais prendre quelques moments pour vous inviter à fureter la chaîne Community Audiodu site Internet Archive. Pour les lecteurs internautes de mes billets, vous savez déjà que je suis un contributeur régulier de cette chaîne avec mes baladodiffusions hebdomadaires et les titres de ma série mensuelle Jadis sur Internet.

Un autre contributeur régulier est la chaîne de radio publique NPR de la région de Sacramento au Nord de la Californie. C’est à l’antenne de cette chaîne que le commentateur musical Sean Bianco offre son émission sur l’opéra At the Opera (longtemps diffusée les vendredi soirs sous le titre Friday Night at the Opera).

M. Bianco y présente un opéra intégralement (depuis la discothèque de la station) et comble le reste de l’émission avec un « pot pourri » opératique, souvent axé sur un interprète ou un compositeur. La formule n’est pas forcément innovatrice, mais elle est fort efficace, et ses choix d’œuvres sont variés, que ce soit pour les compositeurs, les époques ou même les interprètes.

Voici un hyperlien de résultats de recherche depuis le site. A vous de choisir les baladodiffusions! Elles durent en moyenne trois heures.

https://archive.org/search.php?query...%20opera%22%29

Nécessité Oblige

Pour fins d’illustrations pour mes réflexions opératiques sur mon blog et sur le site OperaLively, j’ai souvent recours au travail de M. Bianco. A l’occasion, j’utilise un logiciel d’édition numérique afin d’isoler un opéra et l’introduction parlée de M. Bianco et les partage sur la chaîne Community Audio. Voici une liste de certains de ces montages:


L’Opéra du Mois – hyperliens rapides

Depuis janvier 2013, j’ai l’habitude de proposer un de mes billets présentés en anglais sur OperaLively dans une adaptation française. Les illustrations musicales nous viennent du processus cité ci-haut, de YouTube et même parfois depuis la bibli musicale MQCD Musique-Classique. Voici un hyperlien qui regroupe l’ensemble de cette série:

http://ideefixe-musique.blogspot.com...mois-2013.html

vendredi 29 novembre 2013

In Memoriam: Francis Poulenc (1899-1963)


Le billet suivant est une reprise provenant du blog I Think You Will Love This Music Too, datant originalement du 29 novembre 2013.

Le montage (# 133) est disponible pour écoute et téléchargement depuis la chaîne Community Audio du site Internet Archive à l'adresse suivante: https://archive.org/details/Pcast133




Le contenu de la réflexion fut modifiée pour sa reprise sur L'Idée Fixe.

pcast133- Playlist



Le pianiste et compositeur Francis Poulenc nous a quitté le 30 janvier 1963, mais nous a laissé un catalogue varié d’œuvres pour piano, chambristes et orchestre.

Autres liens :
Issu d’une famille associée avec l’industrie pharmaceutique, Poulenc apprend le piano sur les genoux de sa mère. Adolescent, il  se perfectionne sous la tutelle du pianiste espagnol Ricardo Viñes. On associera Poulenc en début de carrière au collectif de jeunes compositeurs que le critique Henri Collet surnomme en 1920 le « groupe des Six », en référence au « groupe des Cinq » ou Moguchaya kuchka russe de Balakirev. Constitué, outre Francis Poulenc, de Georges Auric, Louis Durey, Arthur Honegger, Darius Milhaud et Germaine Tailleferre, il se veut une réaction contre le romantisme et le wagnérisme, mais aussi, dans une certaine mesure, contre le courant impressionniste.

De 1921 à 1925, Poulenc étudie la composition avec Charles Koechlin, un élève de Gabriel Fauré. Il reste néanmoins une sorte d’autodidacte : « Mon canon, c’est l’instinct », dit-il un jour. La première de son ballet Les Biches, donné par les Ballets russes de Serge de Diaghilev a lieu en janvier 1924.

Villageoises est un ensemble de pièces enfantines complétées par Poulenc à Montmartre en 1933. Écrites avec simplicité et un sourire espiègle, ces compositions, bien que destinée aux enfants, ne sont guère enfantines…. Une de deux sonates pour deux pianistes, sa sonate pour piano 4 mains est un petit bijou du début de sa carrière de compositeur.

Composée en 1947, la Sinfonietta est un hommage  néo-classique aux symphonies de Joseph Haydn. Également bien ancrée dans le néo-clacissisme, son sextuor pour vents et piano est l’une de ses œuvres pour chambristes les plus élaborées. Une révélation!



Bonne écoute!

L’Opéra du mois (2013)


L’Opéra du mois est un initiative mensuelle, commencée sur ITYWLTMT en janvier 2013. Chaque mois, j’y propose un opéra, avec une performance disponible ouvertement sur le Web, et des hyperliens vers le livret, l’argument ainsi que d’autres informations pertinentes.

L’hyperlien rapide suivvant vous guidera aux réflexions sur ITYWLTMT:
 


Voici l’énumération des œuvres proposées en 2013, avec leurs hyperliens :
  1. Il Tabarro (Puccini)
  2. Suor Angelica (Puccini)
  3. Gianni Schicchi (Puccini)
  4. Mignon (Thomas)
  5. Filumena (Estacio)
  6. Fidelio (Beethoven)
  7. Il barbiere di Siviglia (Rossini)
  8. Le nozze di Figaro (Mozart)
  9. Aïda (Verdi)
  10. Die Meistersinger von Nürnberg (Wagner)
  11. Dialogue des Carmélites (Poulenc)
  12. Amahl and the Night Visitors (Menotti)
Bonne écoute!

vendredi 22 novembre 2013

In Memoriam: Yuli Turovsky (1939-2013)


Le billet suivant est une reprise provenant du blog I Think You Will Love This Music Too, datant originalement du 22 novembre 2013.

Le montage (# 132) est disponible pour écoute et téléchargement depuis la chaîne Community Audio du site Internet Archive à l'adresse suivante: https://archive.org/details/Pcast132



Le contenu de la réflexion fut modifiée pour sa reprise sur L'Idée Fixe.



pcast132- Playlist




Le violoncelliste et chef d'orchestre Yuli Turovsky nous a quittés en janvier dernier, résultant de complications de santé dus à la maladie de Parkinson - il avait 73 ans. Les deux dernières années ayant été assez difficiles en raison de problèmes de santé , il d[ut se retirer de la vie artistique active en 2011, tout en continuant d’enseigner à l'Université de Montréal. Son épouse et collaboratrice, Eleonora , est la pré-décède en mai 2012.

Turovsky est né à Moscou en 1939, et y obtiendra un doctorat du Conservatoire local . Il fut le violoncelle-solo de l' Orchestre de chambre de Moscou - un siège de choix qui lui a permis de constater les possibilités expressives des petits ensembles .

En 1976, les Turovsky décident de s'enraciner au Canada et, au cours des 36 années qui suivront ils y laisseront une marque indélébile comme enseignants et artistes à Montréal et de par le monde. Parmi les formations qu’il a créées, on compte le trio Borodine (avec le pianiste Luba Edlina et le violoniste Rotislav Dubinsky) et l'orchestre de chambre I Musici de Montréal, qu'il a fonde en 1983. L'ensemble (maintenant sous la direction de Jean -Marie Zeitouni ) continue d’offrir des concerts régulièrement, et compte une discographie significative sous Turovsky et des chefs invités. Comme enseignant au Conservatoire et à l’Université, il formera un grand nombre de musiciens – plusieurs faisant partie de l’alignement des Musici.

Notre montage en hommage au musicien se concentre sur Turovsky à la fois comme violoncelliste et chef d'orchestre des Musici . En tant que soliste, j’ai retenu sa performance du comncerto en si bémol de Boccherini et une adaptation de chansons espagnoles de Manuel de Falla.
Sous sa baguette, I Musici propose le Divertimento de Bartok, ainsi que d'une pièce canadienne pour cordes. Enfin, non seulement en hommage à Turovsky , mais aussi pour marquer un autre triste anniversaire en ce jour , j'ai programmé Adagio for Strings de Barber.

L'Adagio était l'un des morceaux préférés de John F. Kennedy, et cette musique fut diffusée lors de l'annonce de son assassinat. Trois jours après son décès sa veuve, organisa une performance de la pièce avec le National Symphony de Washington devant une salle vide .

Barber était bien au courant que son Adagio servait de musique funèbre – ayant été utilisée pour souligner plusieurs deuils nationaux – « Ils jouent toujours ce morceau . Je voudrais qu'ils jouent en jouent un autre. »

Bonne écoute!









dimanche 17 novembre 2013

En construction - Bilan des progrès


Un petit mot en vitesse sur nos progrès ici à l'Idée Fixe, en vue des préparatifs pour le lancement BETA du site dans deux semaines (le 1et décembre).

Dans l'ensemble, l'infrastructure de  blog est en place - les aspect visuels, les onglets, et un ameublement sommaire qui consiste de "reprises" d'une vingtaine de billets - surtout de la série Quinze que j'en pense - afin de raffiner les mécanismes et offrir un contenu initial pour nos visiteurs.

Au cours de deux prochaines semamnes, cet élan continuera, et tout semble en place pour notre phase BETA où je compte proposer toutes mes réflexions en français "en tandem" avec nos plateformes habituelles.

Que vous soyez un lecteur assidû de nos réflexions ou un mélomane internbaute qui découvre ce site par hasard, laissez-moi compléter ce court billet avec de petits filons.

Baladodiffusion Hebdomnadaire (mû par Pod-O-Matic)





Participez à la conversation sur Google+https://plus.google.com/b/104694007114947266672/


Revenez nous voir le 1er décembre 2013




vendredi 15 novembre 2013

Ravel et son Bolero Démêlés




Le billet suivant est une reprise d'un Quinze que j'en pense, datant originalement du 15 novembre 2013. 

Ce billet reprend le Montage # 78 (Commentaire original: http://itywltmt.blogspot.ca/2012/11/montage-78-in-memoriam-maurice-ravel.html)

Pour ma sélection souvenir de novembre, je vous propose de ré-écouter mon hommage Ravel de l’an dernier. Cet hommage, faisant partie d’une série dédiée aux disparus de 1937 (dont GershwinWidor et Vierne), prend une ampleur différente suite à un reportage que j’ai entendu en baladodiffusion plus tôt cette année – on y reviendra plus loin.

Selon l’opinion partagée par la plupart des mélomanes, Maurice Ravel compte parmi les compositeurs les plus importants et les plus influents du début du XXe siècle. Bien qu'il soit souvent lié avec Claude Debussy comme un impressionniste et que certaines de leurs œuvres ont une ressemblance en surface (e.g., les quatuors), Ravel possède une voix indépendante qui est issue de son amour d'une large variété de styles, y compris la musique baroque française, BachMozartChopin, traditions folkloriques espagnoles, le jazz et le blues américain. Son œuvre n'est pas aussi abondante que celle de certains de ses contemporains, mais ses compositions sont méticuleusement et délicieusement conçues. Il était particulièrement doué en tant qu’orchestrateur, un domaine dans lequel il reste inégalé.

L’an dernier, j’ai proposé dans le cadre de ma série Jadis sur Internet un large échantillon de la musique pour piano de Ravel. Ravel faisait souvent appel à des thèmes particuliers dans ses compositions – entre eux, on note la danse et les choses anciennes. Ses valses nobles et sentimentales intègrent ces deux concepts. Plus tard, Ravel reprendra les valses nobles en version pour orchestre – un traitemet qu’il offrira à beaucoup de ses œuvres pour piano. Son Menuet Antique est un autre exemple d’orchestration dans le même moule.

Tzigane, une oeuvre casse-cou pour violoniste avec son très long solo d'introduction est soit présenté avec piano (version de chambre) ou orchestre, et c'est cette dernière version qui fait le montage.

En 1928, Ravel fait une tournée triomphale en Amérique du Nord, où il rencontre Gershwin et aura l' occasion d'élargir son exposition au jazz. Le Concerto pour piano en sol majeur montre l'influence de ce nouveau genre.

Pour clore le montage , sans doute l’œuvre-fétiche du compositeur - Boléro . Ravel l’achevé en 1928 à l'âge de 53 ans. Boléro alterne entre deux principaux thèmes mélodiques, en répétant la paire huit fois sur une partition de plus de 340 mesures, en modulant volume et couches instrumentales. En parallèle, la pièce tient méthodiquement à deux lignes simples de basse staccato. C'est un exercice compulsif dont la construction reste inchangée jusqu'à la 326e mesure, avec un crescendo inoubliable. Ravel dira que Boléro est un "morceau pour orchestre sans musique".

La plupart des notes biographiques en ligne parlent des dernières années de Ravel comme troublées par les séquelles neurologiques d’un accident d’automobile, minant sa mémoire et sa capacité de communiquer. Il meurt suite à un traitement chirurgical. Toutefois, un récent reportage indique que cette version des évènements ne serait pas tout à fait exacte. En fait, Boléro serait un emportant indice d’une condition neurologique latente. chex Ravel ainsi que chez de nombreux artistes.

Anne Adams , biologiste moléculaire devenue peintre, est obsédée par la peinture. Elle ne fait que peindre et peindre. Elle peint des tableaux de bâtiments, puis une série de peintures impliquant des fraises, et puis ... "Boléro". À un certain point, Anne est obsédée par la célèbre composition de Ravel et décide de créer une impression visuelle élabporée du morceau, qu’elle apppelle Unraveling Bolero (trad. Lit., Démêler Bolero), qui forme et un jeu de mots et une description éloquente du produit final:



Peu de temps après, Mme Adams lentement mais sûrement montre les signes d’une forme de démence progressive et implacable (l’aphasie primaire progressive). Selon un article de chercheurs cliniciens de l'Université de Californie à San Francisco, l’aphasie de Ravel pourrait avoir commencé, indétectée, à l'époque de la composition de Boléro, alors que son écriture commence à se détériorer. Dans un premier temps on remarque des erreurs d'orthographe dans des partitions musicales et des lettres, et les symptômes sont évidents en 1931. Difficultés dans le discours, perte de éléments langagiers et l'arrêt de la production suite à sa frustration. Ravel serait décédé suite aux complications d’un traitement expérimental en 1937.


Voici l’hyperlien au reportage (en anglais) qui parle du cas de Mme Adams et fait le lien entre sa condition et celle qui aurait affligé Ravel:




Comme Copland et tant d'autres compositeurs américains de sa génération, David Diamond se rend à Paris pour étudier et absorber les dernières tendances artistiques. C’est là qu’en 1928, il rencontre Maurice Ravel, au faîte de sa réputation. Diamond se liera d'amitié avec le compositeur français et son Elégie à la mémoire de Maurice Ravel se veut l'expression de son chagrin suite à cette grande perte.



DETAILS



David DIAMOND (1915-2005)
Elegy in Memory of Maurice Ravel (1938-39)
Seattle Symphony Orchestra, Gerard Schwarz, direction

Maurice RAVEL (1875-1937)
Valses nobles et sentimentales pour piano, MR 61
Francine Kay, piano

Tzigane, rhapsodie de concert pour violon et orchestre, MR 76
Itzhak Perlman, violin
Orchestre de Paris, Jean Martinon, direction

Menuet antique, MR 7
(Orcjestration de Ravel, 1929)
Orchestre Symphonique de Montréal, Charles Dutoit, direction

Concerto, en sol majeur, pour piano et orchestre, MR 83
Pascal Rogé, piano
Orchestre Symphonique de Montréal, Charles Dutoit, direction

Boléro, MR 81
Orchestre Symphonique de Montréal, Charles Dutoit, direction


Les Cloches


Le billet suivant est une reprise provenant du blog I Think You Will Love This Music Too, datant originalement du 15 novembre 2013.

Le montage (# 131) est disponible pour écoute et téléchargement depuis la chaîne Community Audio du site Internet Archive à l'adresse suivante: https://archive.org/details/Pcast131



Le contenu de la réflexion fut modifiée pour sa reprise sur L'Idée Fixe.

pcast131- Playlist


Le montage d'aujourd'hui dispose d'une paire d'œuvres du 20e siècle qui ont quelque chose en commun - des cloches.

Commençons par la deuxième sélection - Kokolo (les clochhes) de Sergei Rachmaninov. Composé après som grand Troisième Concerto pour piano, Les Cloches peuvent être considérées comme sa Troisième Symphonie (de la même façon que Das Lied von der Erde de Mahler pourrait être sa neuvième ...). Il se distingue des autres symphonies par l'utilisation d'un choeur et sde olistes vocaux, mais il est construit comme une symphonie (en fait, j'ai vu qu'il désignait comme une «symphonie chorale pour STB, choeurs et orchestre".

Je crois de bon aloi d'associer cette symphonie avec ce vieux succès de Gilles Girard et de ses Classels:




Rachmaninov dédie Les Cloches au chef néerlandais Willem Mengelberg. La performance d'aujourd;hui des cloches est du dernier concert public d'Evgeni Svetlanov au Barbican de Londres, le 19 Avril 2002 avec l'Orchestre symphonique de la BBC - il est mort un mois plus tard.


En lever de rideau, le grand succès de Mike Oldfield, Tubular Bells (trad. lit. Cloches à tuyaux). Le titre preliminaire du projet était Opus One, mais un incident lors de l'enregistrement (Oldfield utilise un marteau de fer pour frapper les cloches plutot que le maillet de l'instrument avec le résultat inévitable) et le ton original choisi par l'annonceur a la fin du prenier acte inspirent Oldfield avec le titre final.

Oldfield y joue tous les instruments (avec une poignée de complices). Si la technologie de studio (numérique) a beaucoup évolué, il n'en reste pas moins que lle projet a pris plus d'un an à compléter, ajoutant couche par couche chaque trame instrumentale.

Bonne écoute!


vendredi 1 novembre 2013

Programmation - novembre 2013


Le billet suivant est une reprise provenant du blog I Think You Will Love This Music Too, datant originalement du 1er novembre 2013.

Le contenu de la réflexion fut modifiée pour sa reprise sur L'Idée Fixe.

Thématique du mois

C'est notre coutume dans ces pages d'offrir des réflexions souvenir en novembre, histoire de rendre hommage aux disparus de l'année et ceux qui marquent un anniversaire, comme Francis Poulenc (50e annniversaire du décès). J'aurai des billets dédiés à trois chefs qui nous ont quitté s cette année, ainsi qu'un dernier clin d'oeil au double-anniversaire Rachmaninov.

Blog et Baladodiffusion du vendredi

Mardi en Musique


Quinze que j’en pense sur MQCD Musique Classique

Quinze que j’en pense propose des billets le 15 et le 30 de chaque mois sur le forum MQCD Musique Classique. Ce mois-ci, notre sélection souvenir rend hommage à Maurice Ravel et un coup d'oeil sur des opéras disponibles en baladodiffusion.

Ne manquez pas aussi la playlist du mois sur MQCD Musique Classique, un ensemble de transferts vinyl. Visitez la page principale du forum pour l'écouter! Cliquer ici pour lire son contenu.
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    Dernière heure

    Le 12 novembre, le compositeur britannique Sir John Tavener est décédé à l’âge de 69 ans suite à une malformation cardiaque rare. Il nous laisse Son Song for Athene qui avait été joué lors des funérailles de Diana Spencer, princesse de Galles, en 1997.
     

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