Le billet su ivant est un de mes Quinze que j'en pense pour le mois de décembre 2020. |
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Le billet su ivant est un de mes Quinze que j'en pense pour le mois de décembre 2020. |
Le billet su ivant est un de mes Quinze que j'en pense pour le mois de décembre 2020. |
Le dernier Quinze que j’en pense pour 2020 est un autre partageprovenant de la série de compacts de la fin des années 90 produits sous le label maison du Royal Philharmonic.
Le
programme tout-Mozart propose je jumelage traditionnel des symphonies 40 et 41
sous la bahuette de Jane Glover, longtemps cheffe attitrée des London Mozart
Players. En complément, l’ouverture des Noces de Figaro.
Les
prestations sont,, sous sa baguette, induite d’une couche HIP en termes des tempi
et des attaques, quelque chose auquel nous sommes maintenant habitués pour le
répertoire de l’ère classique, mais qui au moment de la distribution originale
du compact restait quelque chose de novateur.
Un beau
disque pour conclure une année pas mal moins belle…
Bonne
écoute
Wolfgang Amadeus MOZART (1756-1791)
Le nozze di Figaro, K.492 - ouverture
Symphonie No.40 en sol mineur, K.550
Symphonie No.41en ut majeur, K.551 ('Jupiter')
Royal Philharmonic Orchestra
Jane Glover , direction
Recorded October 1993 at All Saints Church, Petersham, Surray
Tring International PLC – TRP004
RPO Records – 204404-201
Version initiale - 1993
Discogs - https://www.discogs.com/The-Royal-Ph...elease/6926786
YouTube - https://youtube.com/playlist?list=OL...jb-YwQbBTjLaTo
Cette sélection souvenir reprend le montage du 25 décembre 2015. Comme tous nos montages antérieurs, vous pourrez le trouver sur la chaîne Community Audio du site Internet Archive à l'adresse suivante: https://archive.org/details/pcast212 |
La sélection souvenir de cette semaine est notre montage de Noël de 2015, et je vous invite à visiter notre commentaire original pour nos réflexions habituelles.
Nous dérogeons de notre clip supplémentaire qui accompagne habituellement ces sélections, faisant plutôt place à note bilan annuel et notre playlist de clips accumulés au cours des douze derniers mois.
Accordons qie 2020 fut une année plutôt oubliable, avec la pandémie mondiale, et les dérangements sociaux et économiques qui l'ont acompagné. J'ai eu la bone fortune de pouvoir télétravailler, et ainsi notre situation n'a pas été aussi noire que pour plusieurs, moins fortunés.
Nos activités bloguesques n'ont pas été affectées par les évenements, et j'ose espérer que nos partages ont pu offrir qurlqur confort.
Nous sommes au premer tiers-temps de nore revue quotodienne (sur notre cha:ine Pod-O-Matic) de de l'ensemble de nos montages du vendredi, et ceci sera bouclé mardi le 31 août prochain avec notre 365e montage - nous prévoyons encore seize montages originaux (incluant celui-là) d'ici là.
Nous comptons poursuivre avec Quinze que j'en pense deux fois par mois, et dès le 1er septembre, noys continueronns de célébrer nos dix ans de blogs avec une revue de nos partages du mardi et autres. Plus de détails cet été.
Entre temps, je vous remercie pour vos comentaires ici et sur nos plateformes sociales.
Joyeux Noël
Pierre
Compilation annuelle - https://youtube.com/playlist?list=PL6swnss9F7SEXDc9zpMAlTLn2Vmduc_qD
Notre montage # 349 est disponible pour écoute et téléchargement depuis la chaîne Community Audio du site Internet Archive à l'adresse suivante: https://archive.org/details/pcast349 |
Pour ce
deuxième B+B de décembre nourrissant Beethoven @ 250, nous continuons avec le
thème commencé avec le partage quotidien d'hier présentant la musique incidente
pour König Stephan..
Bien qu'il
ait été critiqué par ses contemporains - dont beaucoup considéraient son
travail comme immoral - le dramaturge et écrivain allemand August von Kotzebue
était l'un des écrivains les plus populaires de son temps. Il était
politiquement conservateur et cosmopolite dans ses perspectives et s'est
prononcé contre l'antisémitisme des étudiants nationalistes
Il fut
approché en 1812 par Beethoven, qui suggéra à Kotzebue d'écrire le livret d'un
opéra sur Attila, qui ne fut jamais réalisé. Beethoven a cependant produit de
la musique accessoire pour deux des pièces de Kotzebue, Les Ruines d'Athènes
(opus 113 de Beethoven) et König Stephen (opus 117).
Beethoven
écrit peu pour la scène; en plus de son seul opéra (Fidelio) et de la musique
susmentionnée pour les deux pièces de Kotzebue, il nous a laissé son ouverture
pour la tragédie de Heinrich Joseph von Collin Coriolan, sa musique de ballet
Les créatures de Prométhée et la musique de scène de la tragédie de Goethe Egmont.
Le montage
d’aujourd’hui présente la musique d’Egmont et des ruines d’Athènes, toutes deux
mettant en vedette des numéros chantés, ainsi que le flair de Beethoven pour le
rythme et le drame.
Beethoven a
écrit la musique pour Egmont entre octobre 1809 et juin 1810. Composé pendant
les guerres napoléoniennes lorsque le Premier Empire français avait étendu sa
domination sur de vastes pans de l'Europe, Beethoven avait exprimé sa grande
indignation face à la décision de Napoléon Bonaparte de se couronner empereur
en 1804, biffant furieusement son nom dans la dédicace de la Symphonie
Héroïque. Dans la musique d'Egmont, Beethoven a exprimé ses propres
préoccupations politiques à travers l'exaltation du sacrifice héroïque d'un
homme condamné à mort pour avoir pris une position vaillante contre
l'oppression. L'ouverture d'Egmont est bien connue, de même que certains des
passages chantés, Die Trommel gerühret et Freudvoll und leidvoll.
Les ruines
d'Athènes fut une commande à August von Kotzebue pour l'inauguration d'un
nouveau théâtre à Pest. La musique la plus connue des Ruines d'Athènes est
peut-être la Marche turque, un thème qui a pris une place dans la culture
populaire. L'ouverture et la marche turque sont souvent exécutées séparément,
et les autres morceaux de cet ensemble ne sont pas souvent entendus.
En 1822, la
pièce fut relancée pour la réouverture du Théâtre de Vienne in der Josefstadt
avec un livret révisé de Carl Meisl, pour lequel Beethoven écrivit une nouvelle
ouverture, maintenant connue sous le nom de Consécration de la Maison,
op. 124, et a ajouté un refrain "Wo sich die Pulse" (WoO 98).
La musique
des Ruines d'Athènes a été retravaillée en 1924 par Richard Strauss et Hugo von
Hofmannsthal en 1926.
Bonne écoute!
Le billet su ivant est un de mes Quinze que j'en pense pour le mois de décembre 2020. |
La revanche
du vinyle pour décembre propose un disque que j’ai acquis lorsque j’étais
membre du club de disques Columbia. Il s’agit d’une interprétation du troisième
concerto pour piano de Rachmaninov avec Andrei Gavrilov en tant que soliste. Le
disque a été initialement publié en Union Soviétique sous son label national
Melodiya, mais réédité sous l étiquette CBS Masterworks.
Melodiya a
été créée en 1964 par le Ministère de la Culture de l'URSS et, en 1973, publie
quelque 1 200 disques avec un tirage total de 190 à 200 millions par an, en
plus de 1 million de cassettes, exportait sa production dans plus de 70 pays.
La
production du label était dominée par la musique classique, la musique de
compositeurs et de musiciens soviétiques, les performances d'acteurs de théâtre
soviétiques et les contes de fées pour enfants. Par exemple, Melodiya a
notamment diffusé des performances d'œuvres de Tchaïkovski et Chostakovitch.
Dans les
années 1970 et 1980, des enregistrements Melodiya de musique classique et
folklorique sont apparus sur les labels Melodiya / Angel (USA) et Melodiya /
HMV à la suite d'un contrat d'exclusivité avec EMI, propriétaire des deux
labels. Un plus petit nombre d'enregistrements a été distribué sur d'autres
labels, en particulier après 1989, avant que Melodiya n'accorde les droits
exclusifs à BMG en 1994. Après l'expiration du contrat BMG en 2003, la société réapparait
sous une nouvelle direction et en 2006 a commencé à rééditer des
enregistrements à travers son propre label.
Andrei
Gavrilov est né dans une famille d'artistes à Moscou; sa mère était la pianiste
arménienne Assanetta Eguiserian (20 décembre 1925 - 29 novembre 2006), qui
avait étudié avec Heinrich Neuhaus et donné à Gavrilov ses premières leçons de
piano à l'âge de 2 ans. À l'âge de 18 ans, après un semestre au conservatoire,
il a remporté le Concours international Tchaïkovski de 1974 et a acquis une
renommée internationale lorsque, au Festival de Salzbourg la même année, il a
remplacé Sviatoslav Richter. Jusqu'en 1979, Gavrilov se produit dans tous les
grands centres musicaux du monde en effectuant jusqu'à 90 concerts par an, tout
en poursuivant ses études à l'université.
Il y a des
éléments intrigants à propos de cet enregistrement de 1976. Réédité par EMI,
Eurodisc et distribué ailleurs par Meodiya, le nom de l’orchestre passe de
l’Orchestre philharmonique de Moscou, à l’Orchestre symphonique universitaire
d’État de l’URSS, puis à l’Orchestre symphonique de l’URSS… Ce concerto est
disponible sous les doigts de plusieurs solistes, toutefois Gavrilov se montre solide
et le résultat reste agréable.
En 1979, au
sommet de la carrière de Gavrilov, Herbert von Karajan, qui l'avait entendu
dans le premier concerto de Tchaïkovski à Berlin, proposa des enregistrements
de tous les concertos de Rachmaninov, malgré le fait que Karajan ne les dirigea
que rarement. En décembre 1979, des enregistrements sont programmés à Berlin
avec l'Orchestre philharmonique pour le 2e concerto, mais Gavrilov ne se
présente pas aux répétitions. On apprendra qu'en raison de ses remarques
critiques sur le régime soviétique, l'URSS avait saisi son passeport.
Quel aurait été le résultat de cet exercice?
Sergey RACHMANINOV (1873-1943)
Concerto No. 3 en ré mineur pour piano et orchestre, Op. 30
Lieu d'enregistrement – Grand Hall du Conservatoire de Moscou, avril 1976
Andrei Gavrilov, Piano
Ochestre Académique d'état d'URSS
Alexander Lazarev, direction
Label: CBS Masterworks – M 36685
Format: Vinyl, LP, Album
Emission: 1981
(Ed ition originale Melodiya, 1976)
Discogs - https://www.discogs.com/Rachmaninoff...elease/3213621
YouTube- https://www.youtube.com/playlist?lis...nS09LbCsCTfpIS
Internet Archive - https://archive.org/details/02-ii-intermezzo-adagio-iii
Cette sélection souvenir reprend le montage du 8 juin 2012. Comme tous nos montages antérieurs, vous pourrez le trouver sur la chaîne Community Audio du site Internet Archive à l'adresse suivante: https://archive.org/details/7And11 |
Cette
semaine, notre sélection souvenir date du début de 2012 et propose une œuvre de
notre jubilaire, Ludwig van Beethoven.
Le Trio
avec piano en si bémol majeur, op. 97, date de 1811. Il est communément appelé
le trio de l'archiduc, car il était dédié à l'archiduc Rodolphe d'Autriche,
lui-même pianiste amateur et mécène, ami et étudiant en composition de
Beethoven. Beethoven a dédié quatorze de ses compositions à l'archiduc, qui a
en retour dédié une des siennes à Beethoven.
Bien que le
"Trio Archiduc" soit parfois numéroté "N ° 7", la
numérotation des douze trios avec piano de Beethoven n'est pas normalisée, de
sorte que dans certaines sources l'Op. 97 trio peut être attribué un numéro
différent, le cas échéant.
L'utilisation
du 7 est aujourd'hui significatif, car toutes les œuvres de la playlist portent
le numéro 7 ou 11 - une référence aux jeux de hasard et à la spiritualité.
Le pari
fondamental des jeux de dés dans les casinos américains (le craps) est le pari
de la ligne de passe, qui est un pari pour que le tireur gagne. Si le le
résultat initial est de 7 ou 11, le parieur l'emporte. Mais il y a plus…
Le chiffre
7 symbolise la spiritualité et l'évolution spirituelle, l'éveil et
l'illumination spirituels. Ce nombre symbolise également la connaissance, la
foi, l'éducation, l'apprentissage, l'étude, l'enseignement, la compréhension
profonde des choses, les capacités psychiques, la guérison, la la sagesse,
l'intuition, les capacités empathiques, la philosophie et le mysticisme.
Le numéro 1
symbolise l'initiative, le point de départ, les nouveaux départs, les nouveaux
projets, de nouvelles entreprises, le succès, l'intuition, le progrès, le
progrès, l'ambition, la poursuite de vos objectifs, l'inspiration, la
détermination, la confiance, le leadership et la réalisation de votre réalité
avec vos pensées et vos attentes .
Onze est
composé de deux un, mais aussi le numéro 11 symbolise l'illumination et
l'enseignement, l'idéalisme, la conscience, le mysticisme, la prophétie, les
visions, l'enthousiasme, la créativité et l'inspiration.
En
complément aujourd'hui, selon le thème 7-11, un concerto grosso de Giuseppe
Valentini - son opus 7, numéro 11.
Notre montage # 348 est disponible pour écoute et téléchargement depuis la chaîne Community Audio du site Internet Archive à l'adresse suivante: https://archive.org/details/pcast348 |
Le
catalogue Beethoven compte de nombreuses combinaisons de trios: trios à cordes
(violon, alto et violoncelle), trios à vent (deux hautbois et cor anglais),
trios pour piano, clarinette et violoncelle mais les plus connus sont pour le
trio classique avec piano (piano, violon et violoncelle). Pour cette
combinaison spécifique, il a composé au moins sept trios, deux séries de
variations ainsi que quelques mouvements autonomes. De son premier recueil (son
opus 1), j'ai retenu le trio n ° 1, avec l’alignement original du Trio Beaux
Arts.
Les dix
sonates de Beethoven représentent l’œuvre la plus importante pour violon et
piano. Les sonates pour violon de Beethoven ne couvrent pas tout à fait l’œuvre
de toute sa vie, comme le font les sonates pour piano ou les quatuors à cordes
par exemple. Son dernier exemple date de 1812, alors qu'il réussissait encore à
se produire en public et 15 ans avant sa mort. Comme toujours avec ce génie
unique, la norme à travers le cycle est incroyablement superbe, touchant
souvent la grandeur absolue. Il n'y a pas de sonate faible - mais alors nous
serions étonnés si nous en trouvions une. Ils donnent un aperçu particulier de
Beethoven en tant que jeune homme, plein de confiance en tant que compositeur
et pianiste, et ouvrant la voie à une nouvelle voie à suivre. J'ai conservé la
sonate no. 2, interprété par Martha Argerich et Gidon Kremer.
Beethoven a
hérité de la tradition du quatuor à cordes de ses prédécesseurs et l'a façonnée
en quelque chose d'inégalé en virtuosité, invention et expressivité Il a écrit
16 quatuors à cordes, et ils révèlent son évolution en tant que compositeur et
homme. Tout est là: esprit terreux (oui, Beethoven pouvait faire une blague), tempérament
instable (sa fureur était légendaire) et chagrin personnel (il avait de quoi
pleurer). Sur le montage d’aujourd’hui, j’ai retenu le no. 3, interprété par la
formation des années 50 du Quatuor à cordes de Budapest.
Bonne
écoute!
Le billet su ivant est un de mes Quinze que j'en pense pour le mois de novemobre 2020. |
Ce dernier
partage dans cette série anniversaire considère une performance historique de
la Symphonie Chorale de Beethoven. Le fichier YouTube propose une version numérisée
(et remanipulée pour les circonstances).
L'enregistrement
que j'ai sélectionné aujourd'hui mettant en vedette Felix Weingartner, un
contemporain de Mahler et Toscanini dans l'un des premiers enregistrements disponibles
de cette œuvre phare. Weingartner était respecté autant pour son érudition
musicale que pour sa direction. En 1906, il proposa une monographie sur
l'interprétation des symphonies de Beethoven qui devint à certains égards le
précurseur de nouvelles recherches éditoriales sur le compositeur conduisant
aux quêtes radicales de la performance « HIP » dans la dernière
partie du XXe siècle.
La maîtrise
de l’équilibre instrumental de Weingartner est démontrée de manière experte
dans la brève marche processionnelle des premières mesures de l’ouverture La
Consécration de la Maison. Tissant à travers des interjections d'accords
emphatiques, le commentaire bavard du basson si souvent brouillé ou perdu dans
la texture, pousse ici de manière très audible le reste de l'orchestre vers
l'Allegro principal. Le chef d'orchestre transforme un passage d'idiosyncrasie
potentielle en quelque chose à la fois approprié et méchamment désinvolte.
Composé pour présenter une version révisée de la musique de scàne des Ruines
d'Athènes pour l'ouverture du théâtre Josephstadt en 1822, peu de temps avant
le début des travaux sérieux sur la Missa Solemnis et la neuvième symphonie, il
est habillé par Weingartner de couleurs convenablement festives et avec
beaucoup élan.
L'enregistrement
de la Symphonie chorale par Weingartner en 1935 à Vienne est sans aucun doute l'un
des points forts du canon enregistré. L'Orchestre philharmonique de Vienne
montre tous les signes à la fois de son long héritage et aussi d’un orchestre
moderne bien discipliné dans la nouvelle ère des enregistrements orchestraux
complets qui a commencé à peine dix ans plus tôt avec la première utilisation
du microphone dans la méthode d'enregistrement électrique . Le Chœur de l'Opéra
national de Vienne est bien sûr superbe, tout comme le quatuor de solistes
presque idéal entendu ici.
Sur le plan
sonore, il s'agit sans aucun doute d'un enregistrement du milieu des années
1930. Pire que cela, le mouvement final a été enregistré séparément et sonnait
complètement différent dans son équilibre tonal du reste de l'enregistrement.
Les ingénieurs audio ont post-traité les matrices maîtresses, à la fois pour
ressusciter la qualité sonore globale, contrebalancer les multiples écarts
introduits par les méthodes d'enregistrement des années 1930, et aussi pour
rapprocher le ton du final du reste de l'enregistrement.
Cet enregistrement mérite bien votre attention!
Ludwig van BEETHOVEN (1770-1827)
Die Weihe des Hauses Ouverture, Op. 124Page d’infos Naxos -https://www.naxos.com/catalogue/item.asp?item_code=8.110863
Internet Archive - https://archive.org/details/beethoven-consecration-overture
Cette sélection souvenir reprend le montage du 8 novembre 2013. Comme tous nos montages antérieurs, vous pourrez le trouver sur la chaîne Community Audio du site Internet Archive à l'adresse suivante: https://archive.org/details/Pcast130 |
Alors que nous clôturons le mois de novembre (déjà!), nous avons une dernière sélection Souvenir qui alimente notre série d’hommages posthumes en cours, avec cette revisite de notre ho mmage au grand chef canadien Mario Bernardi.
Mario Bernardi était une personnalité nationale qui a joué un rôle déterminant dans la vie de la musique classique au Canada. Il est né à Kirkland Lake, en Ontario, en 1930 - pas un foyer de musique classique dans les premières années de la Grande Dépression. Encouragée par un talent prometteur au piano, le garçon de six ans et sa mère aménagent en Italie afin de favoriser une carrière musicale. Il étudierait au Conservatoire de Venise. Après avoir obtenu son diplôme en 1945, sa famille retourne au Canada où il a terminé ses études au Royal Conservatory of Music de Toronto. Il était alors pianiste de concert.
En 1957, il dirigea la Canadian Opera Company et, en 1963, fut répétiteur et chef assistant à la Sadler's Wells Opera Company (aujourd'hui l’English National Opera).
En 1968, Bernardi a été embauché par le regretté Hamilton Southam pour déménager à Ottawa en 1968 afin de constituer un orchestre de 45 membres pour le nouveau Centre National des Arts. Pratiquement à partir de rien, Mario Bernardi a construit un orchestre considéré comme le meilleur du genre au monde et a entamé une tradition d'excellence qui se poursuit aujourd'hui avec l'Orchestre du Centre national des Arts.
L'une des règles de création de l'ensemble était que l’OCNA n'était pas autorisé à débaucher ses musiciens d’autres orchestres. Même avec cette limitation, ils ont pu trouver des musiciens au Canada, aux États-Unis et en Europe, et même en Afrique du Sud. Il quitte l'orchestre au début des années 1980, mais revient régulièrement comme chef invité et devient chef d'orchestre lauréat de l'OCNA en 1997.
Après son mandat à Ottawa, il a dirigé l'Orchestre philharmonique de Calgary de 1984 à 1992. De 1983 à 2006, il a été le chef principal de l'Orchestre de la radio de la CBC, basé à Vancouver.
Le montage met en vedette Bernardi avec les trois ensembles, sur un large éventail de compositions du répertoire standard et canadien.
À l’approche des Fêtes, j’ai pensé qu’en complément je partagerais une prestation intégrale de 1964 de Hansel und Gretel de Humperdinck (chanté en anglais) par le Sadler’s Wells Opera, sous la direction de Mario Bernardi
Notre montage # 347 est disponible pour écoute et téléchargement depuis la chaîne Community Audio du site Internet Archive à l'adresse suivante: https://archive.org/details/pcast347 |
Notre
deuxième nouveauté pour le mois de novembre est un autre montage-hommage, cette
fois-ci dédié au violoncelliste Américain Lynn Harrell, décédé en avril dernier.
Harrell est issu d’une
famille de musiciens - sa mère est violoniste et son père baryton et membre de
la compagnie résidente du Metropolitan Opera. La famille quitte New-York alors
que le garçon est encore jeune, afin de s’installer à Dallas où le père
enseigne à SMU.
A l’âge de
8 ans, Harrell opte pour le violoncelle, et prend des leçons avec le premier
pupitre de l’orchestre local. A 18 ans, il est engagé par George Szell et son
Cleveland Orchestra et deviendra le premier pupitre de la section des
violoncelles à l’âge de 20 ans. Sa carrière de soliste prendra son envol en
1970; il est réputé non seulement comme soliste dans les grands concertos du
répertoire, mais également sera recherché par ses confrères comme chambriste.
La
discographie Harrell est vaste, et les trois sélections au menu sont
indicatives de ses meilleurs enregistrements. Il signera les deux concerti pour
violoncellete orchestre du compositeur Irlando-Américain Victor Herbert; sa
performance du concerto de Schumann est une référence. Une pièce de chambre – un
rare duo pour violon et violoncelle du Hongrois Kodaly - complète le programme.
Bonne
écoute!
Le billet su ivant est un de mes Quinze que j'en pense pour le mois de novemobre 2020. |
Puisque beaucoup de nos récents partages en vinyle furent proposés dans le cadre d'un autre fil (#Beethoven2020), nous avons un peu négligé ce fil-ci. Donc, un retour aux sources si on veut...
Habituellement, novenbre est l'occasion pur moi de souligner des artistes disparus, et cette année maruqe trente ans (déjà!) que Bernstein nous a quittés. Le disque proposé ici fait partie de sa série d'albums pour DG, la plupart croqués sur le vif. Ici, il se tourne à la musique "symphonique" de Stravinski dirigeant un orchestre avec lequel il a longyemps collaboré, le Philharmonique d'Israel.
Les deux symphonies sur cet album datent toutes deux de la période de la Seconde Guerre Mondiale; commencée en France avant l'exil du compositeur en Amérique, sa Symphonie "en ut" est un peu l'équivalent de la symphonie Classique de Prokofiev, étant une tentative d'hommage à l'esthétique classique de Haydn, mais clairement à la sauce moderne.
L'autre symphonie, "en trois mouvements", peut également être considérée en contexte avec une autre de Prokofiev - sa cinquième - les deux étant des ouvres "de guerre". En fait, Stravinski a trouvé inspiration dans des courts métrages de faits divers (qu'on présentait dans les cinémas avant la télé) et leurs reportanges sur les défilés en Allemagne et au Japon.
Bernstein propose ces symphonies sans détour, et avec son brio habituel.
Bonne écoute!
Igor STRAVINSKI (1880 - 1971)
Symphonie en ut (1940)
Symphony en trois mouvements (1945)
Israel Philharmonic Orchestra
Leonard Bernstein, dorection
(Enregistrements publics)
Deutsche Grammophon – 415 128-1
Format: Vinyl,e LP, Stereo (ADD)
Date d'émission: 1985
Discogs - https://www.discogs.com/Igor-Stravin...elease/4406135
Cette sélection souvenir reprend le montage du 14 novembre 2014. Comme tous nos montages antérieurs, vous pourrez le trouver sur la chaîne Community Audio du site Internet Archive à l'adresse suivante: https://archive.org/details/pcast173 |
Cette
semaine, nos partages quotidiens nourrissaient un arc thématique sur la musique
des grandes guerres, et la sélection souvenir de cette semaine complète cette
série avec l’audition du War Requiem de Britten.
Dans le
cadre de notre série, le Sanctus du Requiem était du palmarès hier, et une
autre œuvre de Britten d’inspiration guerrière était au menu pour le Jour du
Souvenir. Même s’il était pacifiste et s’était déclaré un « objecteur de
conscience » en Grande Bretagne, Britten a proposé plus d’une œuvre qui
propose une perspective anti-conflits. Le billet original de 2014 discute en
long et en large du contexte de la création et des choix de textes du
compositeur.
En prime
cette semaine, une œuvre plus joviale, qui date aussi de la période de la
Deuxiè;me Guerre Mondiale. Pendant quelques années, Britten et son compagnon
Peter Pears ont choisi l’exil en Am.rique du Nord afin d’échapper et le conflit
en Europe, et la persécution plus ou moins ouverte de l’homosexualité en
Angleterre. LA kernesse canadienne qu’il offre à la CBC s’inspire du folklore
canadien-français et rappelle un peu le traitement qu’Aaron Copland offre dans
son Salon Mexico.
Bo souvenir!
Notre montage # 346 est disponible pour écoute et téléchargement depuis la chaîne Community Audio du site Internet Archive à l'adresse suivante: https://archive.org/details/pcast346 |
À son
apogée dans les années 1980, le renouveau de la musique ancienne était
considéré par beaucoup comme pratiquement synonyme de l'Academy of Ancient
Music et de Christopher Hogwood. Fondé en 1973 avec des instruments de la
période baroque, sous la direction de Hogwood, l'AAM a examiné les aspects de
la pratique de l'interprétation historique avec une rigueur savante, ouvrant la
voie aux réalisations d'autres chefs contemporains tels que Roger Norrington,
John Eliot Gardiner et Trevor Pinnock. L'AAM était alors l'un des ensembles
d'époque les plus fréquemment enregistrés, passant bientôt de l'ère baroque au
classique, pour enregistrer les symphonies complètes de Mozart et Beethoven,
les concertos pour piano complets de Mozart (avec Robert Levin)
La
philosophie de Hogwood avec l'orchestre, et en fait dans tous ses projets,
était de tenter de comprendre et de recréer les intentions du compositeur, en
termes de notation et d'interprétation. À cette fin, il retournait aux sources
originales, corrigeait les erreurs de publication et évaluait les modifications
textuelles dans les éditions suivantes. Une grande partie du répertoire joué
par l'orchestre a été donnée dans des éditions préparées par Hogwood lui-même.
Dans les
années 1980, Hogwood a atteint le statut de superstar dans la sphère classique,
surnommé "le Karajan de la musique ancienne" en arrivant troisième
dans le Billboard 1983, derrière Plácido Domingo et Kiri Te Kanawa mais devant
tout autre chef d'orchestre.
Les trois
œuvres que j'ai retenues pour cet hommage sont de l’ère baroque - deux des
suites orchestrales les moins entendues de Johann Sebastian Bach (numéros 1 et
4) et une œuvre avec chanteurs, le Stabat Mater de Pergolesi.
Bonne écoute!
Le billet su ivant est un de mes Quinze que j'en pense pour le mois d'octobre 2020. |
Notre contribution à la série # Beethoven2020 pour octobre (l'avant-dernièr billet) partage deux rééditions vinyles de ma collection - l'un d'eux complète le cycle des concerti pour piano que nous avons entrepris lorsque nous avons lancé cette série plus tôt cette année.
Commençons par là - Rudolf Serkin a enregistré tous les concertos de Beethoven - certains d'entre eux plus d'une fois - sous Eugène Ormandy, Bruno Walter et Leonard Bernstein. La collaboration Bernstein sur le concerto de l'Empereur a été rééditée plusieurs fois, y compris dans la série "Great Performances", et c'est ainsi que je l'ai acquise.
Plusieurs chefs d'orchestre ont enregistré les ouvertures de Beethoven - soit en complément dans le cadre de leurs cycles des symphonies (comme Bernstein, von Dohnanyi et Leibowitz l'ont fait), soit en tant que compilations autonomes. Cette réédition "Resonance" combine des ouvertures enregistrées par Karl Böhm avec l'Orchestre philharmonique de Vienne avec une paire d'ouvertures à l’opéra Fidelio extraites de son enregistrement historique de l'œuvre avec la Staatskapelle Dresden.
Bonne écoute!
Cette sélection souvenir reprend le montage du 20 avril 2018. Comme tous nos montages antérieurs, vous pourrez le trouver sur la chaîne Community Audio du site Internet Archive à l'adresse suivante: https://archive.org/details/pcast277 |
Il y a quelques semaines, nous avons passé un week-end à explorer la musique de l’école se Saint-Pétersbourg, le groupe de compositeurs nationalistes qui a remodelé la musique russe. La sélection souvenir d’aujourd’hui revisite la musique de l’un de leurs disciples, Aleksander Glazounov.
À bien des égards, Glazounov était une figure de transition dans la musique russe - plus tard soviétique; pas tant en termes de transition du romantique au moderne (qui était plus laissée à Stravinskyiet Scriabine) mais en termes de transition nationaliste.
Glazounov n'était pas favorable à la direction moderne de la musique de Stravinski. Il n'était pas seul dans ce préjugé - leur professeur mutuel Rimski-Korsakov était aussi profondément conservateur à la fin de sa vie, marié au processus académique qu'il avait contribué à inculquer au Conservatoire. Contrairement à Rimski-Korsakov, Glazounov n'était pas inquiet de l'impasse potentielle que la musique russe pourrait atteindre en suivant strictement le milieu universitaire, ni ne partageait son respect réticent pour les nouvelles idées et techniques.
Stravinski n'était pas le seul compositeur dont Glazounov détestait les tendances modernistes. Chostakovitch a mentionné les attaques de Glazounov contre les «cacophonistes recherchés» - le terme du compositeur aîné pour la nouvelle génération de compositeurs occidentaux, à commencer par Debussy. Une fois, en regardant une partition du Prélude à l'après-midi d'un faune, il a commenté: «C'est orchestré avec beaucoup de goût ... Et il connaît son travail ... Se pourrait-il que Rimski et moi influencé l'orchestration de tous ces dégénérés contemporains? "
Glazounov et Rachmaninov, dont la première symphonie Glazounov aurait si mal dirigé lors de sa création (selon le compositeur), ont été considérés comme «démodés» dans leurs dernières années. Plus récemment, la réception de la musique de Glazounov est devenue plus favorable.
Glazounov fut directeur du Conservatoire de Saint-Pétersbourg entre 1905 et 1928 et a joué un rôle déterminant dans la réorganisation de l'institut en Conservatoire de Petrograd, puis en Conservatoire de Leningrad, après la Révolution bolchevique. L'étudiant le plus connu sous son mandat pendant les premières années soviétiques était Dmitri Chostakovitch.
Glazounov a fait une tournée en Europe et aux États-Unis en 1928, et s'est installé à Paris en 1929. Il a toujours affirmé que la raison de son absence continue de Russie était "une mauvaise santé"; cela lui permit de rester un compositeur respecté en Union Soviétique, contrairement à Stravinski et Rachmaninov, qui étaient partis pour d'autres raisons.
En 1934, il écrivit l'une de ses dernières œuvres; un concerto virtuose et lyrique pour saxophone alto. C'est notre clip en prime pour aujourd'hui.
Bon souvenir!
Cette sélection souvenir reprend le montage du 18 octobre 2013. Comme tous nos montages antérieurs, vous pourrez le trouver sur la chaîne Community Audio du site Internet Archive à l'adresse suivante: https://archive.org/details/Pcast127 |
Il n'y a pas si longtemps, j'offrais mes sélections souvenir mensuellement dans le cadre de Mardi en Musique, et le montage que je vous offre cette semaine fut repris en mars 2014 (d'ailleurs, l'hyperlien ci-haut vous y ramène plutôt qu'au billet bilingue original).
Le libellé du billet de 2014 était "Trois orgues, trois artistesÈ, une référence aux trois orgues provenant de trois àres et emplacements forts différents, mais tous trois jouanyt des titres de l'ouvre pour orgue de J.-S. Bach, qui fut le sujet de nos partages quotidiens toute cette semaine.
MM. Kee, Tracey et Gould (ce dernier, dans le rôle moins usité d'organiste) ont fait l'bject de maints billets - l'hollandais chez Buxtehude et Sweelinck, et l'Anglais avec les deux symphonies pour orgue de Guilmant, et le canadien dans Bach et tant d'autres, mais comme pianiste.
Le bilet de 2013 propose l'intégrale de l'Art de la Fugue pour irgue, et je reprends cette intégrale ici encore, mais cette fois sous un interprète différent: Herbert Tachezi joue l'orgue Ahrend & Brunzema de l'église protestante St. Johann de Bremen-Oberneuland.
Bon souvenir!
Cette sélection souvenir reprend le montage du 7 février 2014. Comme tous nos montages antérieurs, vous pourrez le trouver sur la chaîne Community Audio du site Internet Archive à l'adresse suivante: https://archive.org/details/pcast142 |
Afin de mettre un terme à notre série de balados confiés à des chefs “mémorables”, la sélection souvenir de cette semaine cède le podium au regretté Arthur Fiedler, associé au courant des “concerts populaires” aux Etats Unis (et ailleurs) où on allie à des titres accessibles du répertoire à d’autres un peu à l’écart de ce qu’on entend habituellement lors de concerts symphoniques.
Un musicien de formation sérieuse et membre du Boston Symphony (comme son père le fut d’ailleurs), il créa en 1924 un orchestre de musique de chambre, le Boston Sinfonietta, avec lequel il entama une série de concerts en dehors de ses fonctions au BSO. Cet orchestre – qui deviendra plus tard le Fieldler Sinfonietta sur disque – considère le répertoire traditionnel. En 1930, il fut engagé comme chef d'orchestre du Boston Pops Orchestra, dont il garda la direction musicale pendant près d'un demi-siècle. Sous la direction de Fiedler, le « Pops » aurait réalisé plus d'enregistrements que n'importe quel orchestre dans le monde, vendant plus de 50 millions de disques et cassettes. Par ailleurs, Fiedler collabora durant 26 saisons avec le San Francisco Pops Orchestra, et dirigea occasionnellement d'autres orchestres à travers le monde.
Le montage explore le contenu plus ou moins « typique » de Fieldler et de ses « Pops ». En complément, une playlist YouTube qui rend hommage au répertoire de prédilection de Fiedler, dont le tirre (Evening at Pops) fait référence à sa décennie de concefts télévisés sur la chaîne publique PBS.
Bon souvenir!
Le billet su ivant est un de mes Quinze que j'en pense pour le mois d'octobre 2020. |
Le partage d’aujourd’hui se veut la suite d’une réflexion commencée en février 2016, et propose de compléter l’intégrale des concerti pour violon « numérotés » de Mozart avec le violoniste hongrois (et mexicain d’adoption) Henryk Szeryng.
Le billet vieux de quelques années considérait une réédition vinyle Philips des concerti 3 et 5. Aujourd’hui, en plus des trois autres, s’ajoutent les mouvements isolés qyi complètent habutuelement ces intégrales. Des deux autres concerti « hors série », Szeryng en enregistrera un (le concerto « Kolb », K217a) mais je le réserve pour une autre fois.
Comme je l'écrivais à l'époque, le ton noble, la technique sans faille et l'expressivité éloquente de Szeryng conviennent à merveille à ces concertos de jeunesse, et ses interprétations lyriques mais ludiques touchent l'élégante impétuosité au cœur de la musique. A noter également la belle toile de fond offerte par Sir Alexander Gibson et le New Philharmonia orchestra.
Bonne écoute!
Notre montage # 345 est disponible pour écoute et téléchargement depuis la chaîne Community Audio du site Internet Archive à l'adresse suivante: https://archive.org/details/pcast345 |
Cette sélection souvenir reprend le montage du 31 octobre 2014. Comme tous nos montages antérieurs, vous pourrez le trouver sur la chaîne Community Audio du site Internet Archive à l'adresse suivante: https://archive.org/details/pcast171 |
La sélection souvenir cette semaine nourrit un arc thématique sur notre chaîne de baladodiffusion cette semaine que j'ai appelée "Opération Opéra".
Deux des titres publiés cette semaine proposaient des oeuvres de Gerge Gershwin, compositeur américain qu'on associe habituellement avec la comédie musicale et avec le fameux quartier théâtral New-Yorkais, Broadway.
Une des oeuvres en question - Blue Monday - était intégré à une revue et l'autre, Porgy and Bess, une tentative audacieuse de monter un "grand opéra". Même si Porgy est aujourd'hui monté par de grandes compagnies opératiques, sa première eut lieu sur Broadway et non au Met.
Le billet qui accompagnait originalement le montage d'aujourd'hui explorait le phénomème opéra dans le contexte d'accessibilité, et la paire d'opéras composés au milieu des années 40 par Menotti sont de beaux exemples de cette tentative de rapprochement entre le médium de l'opéra et l'accàès à un public qui est moins familier avec ce même médium.
Le clip complémentaire, un autre court opéra du même compositeur, tente la même expérience avec le public radiophonique. The Old Maid and the Thief est un court opéra en 14 tbleaux composé expressément pour la radio, explore un thème contemporain, dans un langage - et une langue - familiers aux auditeurs. La orestation retenue est la bande originale provenant de la société NBC, avec l'introduction (et synopsis) de l'époque.
Bon souvenir!