tag:blogger.com,1999:blog-44830051985304356372024-02-19T20:16:18.469-05:00L'Idée FixeLe portail des mélomanes francophones, le rendez-vous des collectionneurs et de ceux qui aiment écouter la musique classique - aucune expérience requise!Pierre Cherrierhttp://www.blogger.com/profile/01694280546068565832noreply@blogger.comBlogger845125tag:blogger.com,1999:blog-4483005198530435637.post-91956052808371869852022-12-30T03:00:00.001-05:002022-12-30T03:00:00.227-05:00Bilan Annel 2002<p>Notre bilan de fin d'année 2022 est probablement le billet de ma part pour moi - du moins dans l'avenir prévisible.</p><p>Comme je l'ai souligné en septembre, près de 12 ans après le début de cette expérience, j'ai conclu qu'il était temps pour moi de prendre du recul. Dans cette veine, notre montage no. 400 mettant en vedette <i>la Belle au bois dorman</i>t de Tchaïkovski sera mon dernier de notre série B+B.</p><p>Lorsque nous avons commencé cette expérience en 2011, peu d'entre nous pouvaient voir un changement fondamental dans la diffusion de la musique, avec la quasi-dominance des services de musique en streaming par abonnement et des achats de médias numériques plutôt que des CD et les microsillons "boutique". C'est vrai pour la musique populaire, comme pour la musique classique/de concert et l'opéra.</p><p>J'ai commencé à regrouper de la musique sous forme de balados pour combler une lacune que je percevais, qui a été créée au Canada avec des sources fiables de musique à demande quittant les ondes terrestres. Nous ne savions pas que le public qui écoute de la musique ferait si facilement la transition vers les nouveaux médias.</p><p>En bref, ce que je fais n'est plus vraiment nécessaire, et le temps que je pensais avoir en semi-retraite à consacrer à cette entreprise est plus rare que je ne l'imaginais.</p><p><u>L'avenir de "Pour votre bon plaisir"</u></p><p>Je dois vous rappeler que <a href="https://archive.org/details/@itywltmt" target="_blank">nos archives </a>ont la majeure partie de nos partages musicaux facilement disponibles pour être écoutés (avec leur lecteur intégré) ou téléchargés. Tant que ce service existera, cette musique sera là pour le plaisir de tous.</p><p>À l'heure actuelle, j'ai encore un bon nombre de partages du mardiéQQJP et d'opéras passés qui n'ont pas encore été publiés sur la chaîne de podcasting, et dans l'esprit de conserver notre contenu archivé, je prévois de le faire - les publier au ralenti alors que je conserver les archives. Ne soyez pas surpris si un ou deux billets<i> à la carte</i> apparaîssent de temps en temps dans le cadre de cet exercice.</p><p>En tant que service à tous mes auditeurs, je maintiendrai les épisodes passés actuellement actifs jusqu'à la fin du mois de janvier, réduisant lentement notre empreinte jusqu'au niveau de stockage "de base" (gratuit pour moi) de 500 Mo - ce qui équivaut à 5 - 7 épisodes. Il y aura une limite de téléchargement proportionnelle, mais si je publie simultanément dans l'archive, ce ne sera pas trop un problème.</p><p>Au fur et à mesure que je publierai du matériel nouvellement organisé, je retirerai les montages les plus anciens. Lorsque j'aurai terminé, je ferai le point sur l'activité du podcast et déciderai de ce qui se passera ensuite.</p><p>Avant de vous laisser profiter de notre playlist <i>YouTube </i>annuelle de ramassis, je voulais une dernière fois vous remercier de m'avoir accompagnés dans cette expérience. Ce fut agréable le temps que ça a duré!</p><p>Bonnes vacances et bonne année 2023 à tous !</p><p>Pierre</p><iframe allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen="" frameborder="0" height="315" src="https://www.youtube.com/embed/videoseries?list=PL6swnss9F7SE3UEMddFBwPOc7JQLABNaC" title="YouTube video player" width="560"></iframe>Pierre Cherrierhttp://www.blogger.com/profile/01694280546068565832noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4483005198530435637.post-3038923565334366172022-12-17T09:24:00.001-05:002022-12-17T09:24:27.893-05:00Tchaïkovski: Intégrale des ballets<p><span style="background-color: white; font-family: inherit;"> </span></p><table border="1"><tbody><tr><td><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhp4wUQ19TwaxmaCvm-Allrd3NGfMOuduCXNOZBjBuES3H7ptqwxCcV8Mc5NRGPXm4if03EG9Z5Y4sqzIkg607ri6XctFwfBaMziMt6cv3csdBu25WNt1PLfRV0AN9Z6fPEFon_WTFmVnMz/s1600/qqjp-15.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><span style="background-color: white; color: black; font-family: inherit;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhp4wUQ19TwaxmaCvm-Allrd3NGfMOuduCXNOZBjBuES3H7ptqwxCcV8Mc5NRGPXm4if03EG9Z5Y4sqzIkg607ri6XctFwfBaMziMt6cv3csdBu25WNt1PLfRV0AN9Z6fPEFon_WTFmVnMz/s200/qqjp-15.png" width="189" /></span></a></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="background-color: white; font-family: inherit;"><br /></span></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="background-color: white; font-family: inherit;"><br /></span></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="background-color: white;"><span style="color: black; font-family: inherit; margin-left: 1em; margin-right: 1em;"></span></span></div></td><td><span style="background-color: white; font-family: inherit;"><span>Le billet su ivant est un de mes <i><a href="http://www.mqcd-musique-classique.com/forum/showthread.php?t=11145&pagenumber=" target="_blank">Quinze que j'en pense</a></i> pour le mois de décembre 2022.</span><br /><span><br /></span><br /></span><div></div></td></tr></tbody></table><p></p><p class="MsoNormal"></p><p class="MsoNormal"></p><p class="MsoNormal"></p><p class="MsoNormal"></p><p class="MsoNormal"></p><p class="MsoNormal"></p><p class="MsoNormal"><span style="background-color: white; font-family: inherit;">Ce mois-ci, sur notre chaîne Pod-O-Matic, nous partageons un bon nombre de nos anciens montages de Tchaïkovski, et <i>Intégralement Vôtre</i> de ce mois-ci s'inscrit dans le thème de Tchaïkovski, avec ce gigantesque post YouTube du label <i>Brilliant Classics</i> contenant le triptyque des ballets complets de Tchaïkovski.<br /><br />Les ballets de Tchaïkovski, <i>Casse-Noisette</i>, <i>La Belle au bois dormant</i> et <i>Le Lac des cygnes</i>, sont de loin la musique de ballet la plus populaire jamais écrite et comptent parmi les œuvres les plus célèbres du maître. Tchaïkovski, génie tourmenté, a trouvé un soulagement en écrivant ces œuvres brillantes et poids plume, évoquant des mondes fantastiques de contes de fées.<br /><br />Bien qu'aujourd'hui les trois ballets soient très appréciés et joués, il n'en a pas toujours été ainsi. Il a fallu du temps pour que leur statut soit établi et les réactions aux premières productions ont été décidément mitigées du vivant de Tchaïkovski. Ce qui est particulièrement attristant, c'est le fait que le grand compositeur soit mort en croyant que Swan Lake, peut-être son ballet le plus célèbre aujourd'hui, était un échec - bien que cela soit en partie dû au fait que la chorégraphie la plus associée à l'œuvre aujourd'hui a été développée après sa mort. La Belle au bois dormant, quant à elle, subit l'affront d'un accueil impérial tiède lors de sa présentation au tsar Alexandre III en 1890 ; et Tchaïkovski lui-même croyait que Casse-Noisette était une œuvre inférieure, « infiniment pire que la Belle au bois dormant », selon ses propres mots.<br /><br />Afin de faciliter l'écoute, j'ai séparé les trois œuvres en pistes individuelles dans nos archives musicales (et sur la chaîne de podcasting, avec leurs dates de publication réparties tout au long du mois de décembre). Bien que toute la musique soit interprétée par le Royal Philharmonic, chaque ballet est attribué à son propre chef d'orchestre.<br /><br />Bonne écoute !<br /><br /><img alt="" border="0" src="https://www.brilliantclassics.com/covers/5028421949499.jpg" style="border: 0px; max-width: 800px;" /><br /><br /><b>Pyotr Ilyich TCHAÏKOVSKI (1840-1893)</b><br /><br />Intégrale des ballets interprétés par le Royal Philharmonic Orchestra<br /><br />Le lac des Cygnes (Лебединое озеро), Op. 20 [TH 12]<br />Nicolae Moldoveanu, direction<br />Enregistrement: Cadogan Hall, 13-15 juillet 2009<br /><br />La belle au bois dormant (Спящая красавица), Op. 66 [TH 13]<br />Barry Wordsworth, direction<br />Enregistrement Cadogan Hall, 31 mai – 2 juin 2010<br /><br />Casse-Noisette (Щелкунчик), Op. 71 [TH 14]<br />David Maninov, direction<br />Enregistrement Henry Wood Hall, 15-16 avril 1995<br /><br />Brilliant Classics 94949<br /><br />Détails - <a href="https://www.brilliantclassics.com/articles/t/tchaikovsky-complete-ballets" style="text-decoration-line: none;" target="_blank">https://www.brilliantclassics.com/ar...mplete-ballets</a></span></p><p class="MsoNormal"><span style="background-color: white; font-family: inherit;"><br /></span></p><p class="MsoNormal"></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><iframe allowfullscreen="" class="BLOG_video_class" height="266" src="https://www.youtube.com/embed/9IhmroynRtc" width="320" youtube-src-id="9IhmroynRtc"></iframe></div><br /><span style="background-color: white; font-family: inherit;"><br /><i>Internet Archive</i> - <a href="https://archive.org/details/1-01-swan-lake-op.-20" style="text-decoration-line: none;" target="_blank">https://archive.org/details/1-01-swan-lake-op.-20</a></span><p></p>Pierre Cherrierhttp://www.blogger.com/profile/01694280546068565832noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4483005198530435637.post-37373421609527471952022-12-09T03:00:00.009-05:002022-12-17T13:32:31.650-05:00Tchaikovski: La belle au bois dormant”<table border="1"><tbody>
<tr><td><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhkIew6ULP1SyK9V8dhXQeyKIUtDAqDLCj0jWECIcyF4Z-3MgANk5Cl9x_i_78sA0MSaYNUffGasDKIR7F6CemiddMH1hw_6mXZX5Zf6zjKFj1dLP90UiIws-8rA6YADI4RnR288-KqOBtY/s1600/BB.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="89" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhkIew6ULP1SyK9V8dhXQeyKIUtDAqDLCj0jWECIcyF4Z-3MgANk5Cl9x_i_78sA0MSaYNUffGasDKIR7F6CemiddMH1hw_6mXZX5Zf6zjKFj1dLP90UiIws-8rA6YADI4RnR288-KqOBtY/s200/BB.jpg" width="200" /></a></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<br /></div>
<span style="font-family: inherit;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh6V_btlImf57jl8JXPMdGvZ0mmuRfdcjg7gWjQTnN53BAtGcMtAVLyOSwYCsdzbfhHjVyvIl-LJJg0oQgfEU92FyMkM3wbNKP24t5XL7zP1RpzxMnk6DPKJQ2I1e80Cv9kEhXjS6dVS0wX/s1600/IT-REPRISE.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><span style="color: black;"></span></a><br /></span><span style="font-family: inherit;"><br /></span></td><td>Notre montage # 400 est disponible pour écoute et téléchargement depuis la chaîne <i>Community Audio</i> du site <i>Internet Archive</i> à l'adresse suivante: <a href="https://archive.org/details/pcast400">https://archive.org/details/pcast400</a><br /><br /><div style="font-family: "times new roman"; margin: 0px;"><span style="background-color: white;"><iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="30" mozallowfullscreen="true" src="https://archive.org/embed/pcast400" style="background-color: transparent; text-align: center;" webkitallowfullscreen="true" width="400"></iframe></span></div></td></tr>
</tbody></table>
<br />
<iframe frameborder="0" height="430px" src="https://archive.org/stream/pcast400-Playlist?ui=embed#mode/1up" width="480px"></iframe>
=====================================================================
<div>Le 400e et
dernier montage de cette année (et le dernier montage de notre série B+B)
croise un sujet que j’élaborerai dans mon <i>Quinze que j’en pense</i> de
décembre.</div><p class="MsoNormal"><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><i><span lang="FR-CA">La Belle
au bois dormant</span></i><span lang="FR-CA">
était la deuxième des trois partitions de ballet de Tchaïkovski, composées et
orchestrées d'octobre 1888 à août 1889, avec des révisions mineures lors des
répétitions sur scène au cours des trois derniers mois de 1889. La partition
comprend une introduction et de 30 numéros individuels, disposés comme un court
prologue et trois actes.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">"Je
projette d'écrire un livret sur <i>La belle au bois dormant</i> d'après le
conte de Perrault. Je voudrais une mise en scène à la Louis XIV, qui serait une
fantaisie musicale écrite dans l'esprit de Lully, Bach, Rameau, etc. Si cette
idée vous plaît, pourquoi ne pas entreprendre d'écrire la musique ? Au
dernier acte, il faudrait qu'il y ait des quadrilles pour tous les personnages
de contes de Perrault, y compris le chat botté, Tom Pouce , Cendrillon, Barbe
Bleue, etc." - Ivan Vsevolozhsky, dans une lettre du 13/25 mai 1888<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">En 1888,
Ivan Vsevolozhsky (directeur des théâtres impériaux de Saint-Pétersbourg)
commande un nouveau ballet à Tchaïkovski — La Belle au bois dormant — pour
lequel il fournit un scénario détaillé, ainsi que des suggestions sur la façon
dont l'époque de Louis XIV devait être reproduite dans la musique et sur scène.
Cette fois, le compositeur était enthousiasmé par le sujet et s'est
immédiatement mis au travail sur la mission.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Vsevolozhsky
organisa la première rencontre entre Tchaïkovski et Marius Petipa (chorégraphe
et premier danseur des Théâtres impériaux de Saint-Pétersbourg), et tout au
long de leur fructueuse collaboration sur ce premier projet commun, il servit
d'intermédiaire entre eux. Fin dessinateur, Vsevolozhsky a également réalisé
des croquis des costumes des personnages de contes de fées du ballet et
supervisé le travail des décorateurs, toujours à la recherche d'une
authenticité historique. La première réussie de La Belle au bois dormant au
théâtre Mariinsky les 3/15 janvier 1890 a justifié sa vision créative, et
Yelena Fedosova a souligné à juste titre que Vsevolozhsky a anticipé de deux décennies
l'idée communément attribuée à Sergey Diaghilev (1872-1929) de
"compositeur unissant , maître de ballet et artiste plasticien dans la
création d'une œuvre ».<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Tchaïkovski
a reconnu la contribution et le soutien vitaux de Vsevolozhsky en lui dédiant
La Belle au bois dormant. Bien que la paternité du livret soit normalement
attribuée à Vsevolozhsky, il est possible que Marius Petipa ait également été
impliqué, puisque dans les archives de ce dernier se trouve un manuscrit daté
du 3/15 juillet 1888, avec une liste des personnages du ballet, et les
descriptions des nombres dans chaque scène.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">La
performance est tirée de la même anthologie du Royal Philharmonic Orchestra des
ballets complets de Tchaïkovski (ici sous Barry Wordsworth) que nous
examinerons prochainement.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Bonne
écoute!<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<u5:p></u5:p>
Pierre Cherrierhttp://www.blogger.com/profile/01694280546068565832noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4483005198530435637.post-35271686780738039092022-11-30T08:27:00.001-05:002022-11-30T08:27:46.401-05:00 Serse (Handel)<p><span style="background-color: white; font-family: inherit;"> </span></p><table border="1"><tbody><tr><td><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhp4wUQ19TwaxmaCvm-Allrd3NGfMOuduCXNOZBjBuES3H7ptqwxCcV8Mc5NRGPXm4if03EG9Z5Y4sqzIkg607ri6XctFwfBaMziMt6cv3csdBu25WNt1PLfRV0AN9Z6fPEFon_WTFmVnMz/s1600/qqjp-15.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><span style="background-color: white; color: black; font-family: inherit;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhp4wUQ19TwaxmaCvm-Allrd3NGfMOuduCXNOZBjBuES3H7ptqwxCcV8Mc5NRGPXm4if03EG9Z5Y4sqzIkg607ri6XctFwfBaMziMt6cv3csdBu25WNt1PLfRV0AN9Z6fPEFon_WTFmVnMz/s200/qqjp-15.png" width="189" /></span></a></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="background-color: white; font-family: inherit;"><br /></span></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="background-color: white; font-family: inherit;"><br /></span></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="background-color: white;"><span style="color: black; font-family: inherit; margin-left: 1em; margin-right: 1em;"></span></span></div></td><td><span style="background-color: white; font-family: inherit;"><span>Le billet su ivant est un de mes <i><a href="http://www.mqcd-musique-classique.com/forum/showthread.php?t=11104&pagenumber=" target="_blank">Quinze que j'en pense</a></i> pour le mois de novembre 2022.</span><br /><span><br /></span><br /></span><div></div></td></tr></tbody></table><p></p><p class="MsoNormal"></p><p class="MsoNormal"></p><p class="MsoNormal"></p><p class="MsoNormal"></p><p class="MsoNormal"></p><p class="MsoNormal"></p><p class="MsoNormal"><span style="background-color: white; font-family: inherit;">Pour faire changement cette quinzaine, un opéra, et baroque en plus…<br /><br />Serse (en italien, Xerxes en anglais) est un opéra seria en trois actes de George Frideric Handel. Le sujet a été utilisé dans d'autres opéras baroques du XVIIe siècle - Francesco Cavalli en 1654 et Giovanni Bononcini en 1694. Le livret de Silvio Stampiglia lui-même est basé sur celui de Nicolò Minato (ca. 1627–1698) utilisé par Cavalli.<br /><br />L'opéra se déroule en Perse vers 470 av. J.-C. et est très vaguement basé sur Xerxès Ier de Perse. En entendant une belle voix chanter dans le jardin, le roi Serse, naturellement, tombe amoureux. Le fait qu'il soit déjà fiancé, et que la chanteuse soit en fait amoureuse de son frère, n'a absolument aucune importance. Il bannira simplement son frère et fera au père de la fille une offre qu'il ne pourra jamais refuser. Avec un plan aussi ingénieux, Serse n'imagine jamais qu'il échouera.<br /><br />Ce qu'il ne s'attend pas à rencontrer, c'est la force du véritable amour. Son frère Arsamene et sa bien-aimée Romilda sont destinés à être ensemble. Après quelques messages mal acheminés, quelques déguisements et un mariage accidentel, le roi Serse se retrouve furieux et sans amis. Comment va-t-il se racheter et se sauver de la vengeance du fiancé trahi ?<br /><br />Serse, à l'origine chanté par un castrat mezzo-soprano, est maintenant généralement interprété par une femme mezzo-soprano ou un haute-contre. L'air d'ouverture, "Ombra mai fu", chanté par Serse sur un platane est une des mélodies les plus connues de Handel, et est souvent connu sous le nom de "Largode Handel" (bien qu'il soit marqué "larghetto" dans la partition).<br /><br />La première production a été un échec complet; le public peut avoir été troublé par le caractère innovant de l'œuvre. Contrairement à ses autres opéras pour Londres, Handel a inclus des éléments comiques (buffo) dans Serse. Bien que cela ait été typique des œuvres vénitiennes du XVIIe siècle telles que la mise en scène originale du livret de Cavalli, dans les années 1730, un opéra seria devait être tout à fait sérieux, sans mélange des genres de la tragédie et de la comédie ou des personnages de classe supérieure et inférieure.<br /><br />Fondé en 2012 par Giulio D'Alessio et Gesine Lübben, Il Pomo d'Oro s'est rapidement imposé comme un ensemble d'une qualité exceptionnelle dans le domaine de la performance historiquement informée. Il Pomo d'Oro revient sur 10 ans d'intense activité de concerts dans le monde entier et sur une liste impressionnante de 35 enregistrements, dont beaucoup ont été primés. Le casting, avec le contre-ténor argentin Franco Fagioli, est composé de chanteurs établis dans le répertoire baroque<br />Bonne écoute!<br /><br /></span></p><div align="center" style="margin: 0px; padding: 0px;"><span style="background-color: white; font-family: inherit;"><img alt="" border="0" src="https://m.media-amazon.com/images/I/71usUrKkmiL._SX425_.jpg" style="border: 0px; max-width: 800px;" /></span></div><p class="MsoNormal"><span style="background-color: white; font-family: inherit;"><b>George Frideric HANDEL (1685-1759)</b><br /><i>Serse </i>(Xerxes), HWV 40<br />Opera en trois actes, livret italien de Silvio Stampiglia<br /><br />DISTRIBUTION<br />Serse (Xerxès), Roi de Perse - Franco Fagioli<br />Romilda, fille d’Ariodate - Inga Kalna,<br />Arsamene, frère of Serse - Vivica Genaux<br />Amastre, princesse d’un royaume voisin, promise à Serse - Delphine Galou<br />Atalanta, soeur de Romilda- Francesca Aspromonte<br />Elviro, au service d’rsamene - Biagio Pizzuti<br />Ariodate, prince sous Serse, père de Romilda et Atalanta - Andrea Mastroni<br />Il Pomo d'Oro<br />Maxim Emelyanychev , direction<br /><br />Argument - <a href="https://operabaroque.fr/HAENDEL_SERSE.htm" style="text-decoration-line: none;" target="_blank">https://operabaroque.fr/HAENDEL_SERSE.htm</a><br />Livret – <a href="https://www.chandos.net/chanimages/Booklets/CH0797.pdf" style="text-decoration-line: none;" target="_blank">https://www.chandos.net/chanimages/Booklets/CH0797.pdf</a> (p. 82ff)<br />YouTube - <a href="https://www.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_kchXvrBs2PbHSRdwkrdWbQpb-ZzB0w6QY" style="text-decoration-line: none;" target="_blank">https://www.youtube.com/playlist?lis...WbQpb-ZzB0w6QY</a><br />Internet Archive - <a href="https://archive.org/details/serse-hwv-40-acts-2-3" style="text-decoration-line: none;" target="_blank">https://archive.org/details/serse-hwv-40-acts-2-3</a></span></p>Pierre Cherrierhttp://www.blogger.com/profile/01694280546068565832noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4483005198530435637.post-67514732502463151842022-11-25T03:00:00.008-05:002022-12-05T13:44:39.415-05:00Ernest Ansermet A la Carte<table border="1"><tbody>
<tr><td><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhkIew6ULP1SyK9V8dhXQeyKIUtDAqDLCj0jWECIcyF4Z-3MgANk5Cl9x_i_78sA0MSaYNUffGasDKIR7F6CemiddMH1hw_6mXZX5Zf6zjKFj1dLP90UiIws-8rA6YADI4RnR288-KqOBtY/s1600/BB.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="89" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhkIew6ULP1SyK9V8dhXQeyKIUtDAqDLCj0jWECIcyF4Z-3MgANk5Cl9x_i_78sA0MSaYNUffGasDKIR7F6CemiddMH1hw_6mXZX5Zf6zjKFj1dLP90UiIws-8rA6YADI4RnR288-KqOBtY/s200/BB.jpg" width="200" /></a></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<br /></div>
<span style="font-family: inherit;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh6V_btlImf57jl8JXPMdGvZ0mmuRfdcjg7gWjQTnN53BAtGcMtAVLyOSwYCsdzbfhHjVyvIl-LJJg0oQgfEU92FyMkM3wbNKP24t5XL7zP1RpzxMnk6DPKJQ2I1e80Cv9kEhXjS6dVS0wX/s1600/IT-REPRISE.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><span style="color: black;"></span></a><br /></span><span style="font-family: inherit;"><br /></span></td><td>Notre montage # 399 est disponible pour écoute et téléchargement depuis la chaîne <i>Community Audio</i> du site <i>Internet Archive</i> à l'adresse suivante: <a href="https://archive.org/details/pcast399">https://archive.org/details/pcast399</a><br /><br /><div style="font-family: "times new roman"; margin: 0px;"><span style="background-color: white;"><iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="30" mozallowfullscreen="true" src="https://archive.org/embed/pcast399" style="background-color: transparent; text-align: center;" webkitallowfullscreen="true" width="400"></iframe></span></div></td></tr>
</tbody></table>
<br />
<iframe frameborder="0" height="430px" src="https://archive.org/stream/pcast399-Playlist?ui=embed#mode/1up" width="480px"></iframe>
===================================================
<div>
<br /></div>
Billet Original - <i><a href="http://www.mqcd-musique-classique.com/forum/showthread.php?t=9015&pagenumber=" target="_blank">MQCD</a>, <a href="https://ideefixe-musique.blogspot.com/2019/04/la-revanche-de-la-bande-magnetique.html" target="_blank">Blogger</a></i><div><br /></div><div>Nos deux
derniers B+B pour 2022 (et la conclusion de notre longue série) alimentent nos
initiatives de conservation entreprises ces dernières années.</div><div><p class="MsoNormal"><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Cet
avant-dernier montage fait partie de notre série <i>A La Carte</i> qui
reconsidère d'anciens montages, en l'occurrence une étrange <i>Revanche du
Vinyle</i> de 2016 que nous intitulons plus justement "Revanche de la
Bande Magnétique" car il présentait deux cassette VIVA du label London
avec le chef d'orchestre suisse Ernest Ansermet. La série VIVA était une
plate-forme de réédition à petit budget à une époque où les sorties numériques
commençaient à envahir les rayons, remplaçant souvent ces excellents
enregistrements, qui méritaient bien d'être réédités. Le format de ces
rééditions était sur cassette et microsillon, pas de CD.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">La première
cassette du montage original consistaint des suites nos. 2 et 3 avec une paire
de pistes de instrumentales de ses cantates en prime. Ansermet, au moment de la
sortie originale, a également publié une paire d'albums de Cantates de Bach,
que London/Decca a ensuite combiné avec ce disque dans une anthologie Bach de 2
CD par Ansermet.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Le montage
insère Cantate no. 130 entre les faces A et B originales de la cassette VIVA.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Bon
souvenir!<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<u5:p></u5:p></div>Pierre Cherrierhttp://www.blogger.com/profile/01694280546068565832noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4483005198530435637.post-73730048684714939262022-11-18T03:00:00.007-05:002022-12-05T14:15:40.467-05:00Jean Martinon (1910-1976)<table border="1"><tbody>
<tr><td><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhkIew6ULP1SyK9V8dhXQeyKIUtDAqDLCj0jWECIcyF4Z-3MgANk5Cl9x_i_78sA0MSaYNUffGasDKIR7F6CemiddMH1hw_6mXZX5Zf6zjKFj1dLP90UiIws-8rA6YADI4RnR288-KqOBtY/s1600/BB.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="89" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhkIew6ULP1SyK9V8dhXQeyKIUtDAqDLCj0jWECIcyF4Z-3MgANk5Cl9x_i_78sA0MSaYNUffGasDKIR7F6CemiddMH1hw_6mXZX5Zf6zjKFj1dLP90UiIws-8rA6YADI4RnR288-KqOBtY/s200/BB.jpg" width="200" /></a></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<br /></div>
<span style="font-family: inherit;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh6V_btlImf57jl8JXPMdGvZ0mmuRfdcjg7gWjQTnN53BAtGcMtAVLyOSwYCsdzbfhHjVyvIl-LJJg0oQgfEU92FyMkM3wbNKP24t5XL7zP1RpzxMnk6DPKJQ2I1e80Cv9kEhXjS6dVS0wX/s1600/IT-REPRISE.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><span style="color: black;"></span></a><br /></span><span style="font-family: inherit;"><br /></span></td><td>Notre montage # 398 est disponible pour écoute et téléchargement depuis la chaîne <i>Community Audio</i> du site <i>Internet Archive</i> à l'adresse suivante: <a href="https://archive.org/details/pcast398">https://archive.org/details/pcast398</a><br /><br /><div style="font-family: "times new roman"; margin: 0px;"><span style="background-color: white;"><iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="30" mozallowfullscreen="true" src="https://archive.org/embed/pcast398" style="background-color: transparent; text-align: center;" webkitallowfullscreen="true" width="400"></iframe></span></div></td></tr>
</tbody></table>
<br />
<iframe frameborder="0" height="430px" src="https://archive.org/stream/pcast398-Playlist?ui=embed#mode/1up" width="480px"></iframe>
=====================================================================
<div>
<br /></div>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Le B+B de
cette semaine reprend un fil que nous avons entrepris dans le cadre des <i>Routes
du Laitier</i> – des montages </span><span lang="FR-CA" style="font-size: 10pt; mso-ansi-language: FR-CA;">où figurent</span><span lang="FR-CA"> des chefs qui ont plus d’une corde dans leur arc. Dans ce cas-ci, le
chef et compositeur Jean Martinon.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Martinon
entre au conservatoire de Lyon, sa ville natale, à l'âge de treize ans.
Trois ans plus tard, il quittera pour entrer au Conservatoire national de
musique et de déclamation à Paris. Il y travaille le violon, la comosition
(avec Albert Roussel et Vincent d'Indy), et la direction d'orchestre (avec
Roger Désormière et Charles Munch). Un apprentissage de choix!<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Travaillant
surtout comme violoniste après ses études, il aura l’infortune d’être
prisonnier de guerre pendant deux ans, interné dans un stalag, il y compose
plusieurs œuvres pour solistes, petits ensembles et pour chorale.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">C’est après
la guerre qu’on trouve Martinon au pupitre d’orchestres : premier chef de
l'Orchestre symphonique de la radio de Dublin (1947-1950), Colonne, Pasdeloup,
et la Société des Concerts du Conservatoire comme suppléant de Charles Munch. <u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">De 1946 à
1948, il est chef associé de l'Orchestre philharmonique de Londres; c’est avec
cet orchestre qu’on le retrouve en lever de rideau de notre montage, avec trois
ouvertures opératiques françaises du XIXe siècle.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">De 1951 à
1958, il est président et chef d'orchestre des Concerts Lamoureux à Paris, puis
directeur artistique de l'Orchestre philharmonique d'Israël (1957-1959). En
1959, il est nommé au poste de directeur général de la musique à Düsseldorf
(poste prestigieux occupé au xixe siècle par Schumann et Mendelssohn). Puis sa
carrière le mène aux États-Unis où, en 1963, il devient directeur musical de
l'orchestre symphonique de Chicago. De retour à Paris, il devient directeur de
l'Orchestre national de l'ORTF, poste qu'il occupe pendant six ans. On le
retrouve avec eux sur le montage pour les danses bohémiennes de Bizet.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">En dépit
d’un agenda chargé, il trouve le temps de composer tout au long de sa carrière.
En guise d’exemple, j’ai retenu un de ses quatuors à cordes datant de 1966.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal">Bonne écoute!<u5:p></u5:p><o:p></o:p></p>
Pierre Cherrierhttp://www.blogger.com/profile/01694280546068565832noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4483005198530435637.post-16869791177881861002022-11-15T07:08:00.000-05:002022-11-15T07:08:39.044-05:00David Zinman dirige Richard Strauss<table border="1"><tbody><tr><td><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhp4wUQ19TwaxmaCvm-Allrd3NGfMOuduCXNOZBjBuES3H7ptqwxCcV8Mc5NRGPXm4if03EG9Z5Y4sqzIkg607ri6XctFwfBaMziMt6cv3csdBu25WNt1PLfRV0AN9Z6fPEFon_WTFmVnMz/s1600/qqjp-15.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><span style="background-color: white; color: black; font-family: inherit;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhp4wUQ19TwaxmaCvm-Allrd3NGfMOuduCXNOZBjBuES3H7ptqwxCcV8Mc5NRGPXm4if03EG9Z5Y4sqzIkg607ri6XctFwfBaMziMt6cv3csdBu25WNt1PLfRV0AN9Z6fPEFon_WTFmVnMz/s200/qqjp-15.png" width="189" /></span></a></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="background-color: white; font-family: inherit;"><br /></span></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="background-color: white; font-family: inherit;"><br /></span></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="background-color: white;"><span style="color: black; font-family: inherit; margin-left: 1em; margin-right: 1em;"></span></span></div></td><td><span style="background-color: white; font-family: inherit;"><span>Le billet su ivant est un de mes <i><a href="http://www.mqcd-musique-classique.com/forum/showthread.php?t=11102&pagenumber=" target="_blank">Quinze que j'en pense</a></i> pour le mois de novembre 2022.</span><br /><span><br /></span><br /></span><div></div></td></tr></tbody></table><p></p><p class="MsoNormal"></p><p class="MsoNormal"></p><p class="MsoNormal"></p><p class="MsoNormal"></p><p class="MsoNormal"></p><p class="MsoNormal"></p><p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Le partage
<i>Intégralement Vôtre</i> pour le mois de novembre propose trois extraits de la
quasi-intégrale Richard Strauss conçue par le chef Américain David Zinman. Son
anthologie se compare quand même plutôt bien à celle de Rudolf Kempe que nous
avons considérée dans ces pages il y a quelques années déjà.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">La
formation de Zinman se compare à bien d’autres chefs de sa génération :
comme Lorin Maazel, il fera son apprentissage avec le chef Pierre Monteux à son
académie de Nouvelle-Angleterre. Zinman, comme son maître, a un penchant pour
le répertoire romantique (pas seulement le répertoire français…) et moderne, et
se veut un assez bon « généraliste ». Bien qu’il est reconnu pour un
stage assez long aux commandes d’un grand orchestre Américain (Baltimore,
1985-98), il a surtout roulé sa bosse en Europe – aux Pays Bas en début de
carrièere et pour une prériode de près de 15 ans, à Zurich, l’orchestre avec
lequel il conçoit cette intégrale Strauss.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">L’hyperlien
<i>YouTube </i>ci-dessous pointe vers l'anthologie complète, mais le montage que j'ai
préparé se concentre sur trois œuvres, dont le grand poème symphonique Also
Sprach Zarathustra. Aus Italien (trad. Lit. En provenance d’Italie), le premier
poème symphonique de Strauss, est décrit par le compositeur comme une
"fantaisie symphonique". Il a été achevé en 1886 alors qu'il avait 22
ans. Il a été inspiré par la visite du compositeur en Italie au cours de l'été
de la même année, où il s'est rendu à Rome, Bologne, Naples, Sorrente, Salerne
et Capri. Il a commencé à esquisser le travail alors qu'il était encore en
voyage.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">La Romanze
en un seul mouvement pour violoncelle et orchestre de Strauss a été composé à
peu près en même temps que sa sonate pour violoncelle. La pièce a fini par être
oubliée, mais a finalement été publiée par Schott en 1987.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Bonne
écoute!<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p><div><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://i.discogs.com/kLkRRX66BU4yaohbyKRlo4Z0wfZTZ6SnpF6hycLLBsY/rs:fit/g:sm/q:90/h:543/w:600/czM6Ly9kaXNjb2dz/LWRhdGFiYXNlLWlt/YWdlcy9SLTIwNjEx/MTIzLTE2MzQzOTQ4/MzUtOTIwNy5qcGVn.jpeg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="543" data-original-width="600" height="543" src="https://i.discogs.com/kLkRRX66BU4yaohbyKRlo4Z0wfZTZ6SnpF6hycLLBsY/rs:fit/g:sm/q:90/h:543/w:600/czM6Ly9kaXNjb2dz/LWRhdGFiYXNlLWlt/YWdlcy9SLTIwNjEx/MTIzLTE2MzQzOTQ4/MzUtOTIwNy5qcGVn.jpeg" width="600" /></a></div><br /><div><br /></div><div><b><span lang="FR-CA">Richard
STRAUSS (1864-1949)</span></b></div><p class="MsoNormal"><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal"><i><span lang="FR-CA">Aus
Italien</span></i><span lang="FR-CA">, fantaisie
symphonique pour orchestra en sol majeur, TrV 147 [Op. 16]<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA"><i>Romanze </i>en
fa majeur pour violoncelle et orchestre, TrV 178 [AV 75]<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Violoncelle
– Thomas Grossenbacher<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA"> </span><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA"><i>Also Sprach
Zarathustra</i> , poème symphonique pour orchestra après Nietzsche, TrV 176 [Op. 30]<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Violon
solo – Primož Novšak<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Tonhalle-Orchester
Zürich<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Direction
– David Zinman<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Discogs - <a href="https://www.discogs.com/release/20611123-Richard-Strauss-Tonhalle-Orchestra-Zurich-David-Zinman-Orchestral-Works">https://www.discogs.com/release/20611123-Richard-Strauss-Tonhalle-Orchestra-Zurich-David-Zinman-Orchestral-Works</a></span><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Arte Nova
Classics – 74321 98495 2<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Format: 7 x
CD<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA"><i>YouTube </i>- <a href="https://www.youtube.com/playlist?list=PLt_iN-ytBvZxyzGsOuVfSVkSKXpJ4YXRJ">https://www.youtube.com/playlist?list=PLt_iN-ytBvZxyzGsOuVfSVkSKXpJ4YXRJ</a><u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA"><i>Internet
Archive</i> - <a href="https://archive.org/details/c2c-46">https://archive.org/details/c2c-46</a><u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal">
<u5:p></u5:p>
<u5:p></u5:p></p><p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA" style="mso-ansi-language: FR-CA;"><u5:p> </u5:p></span><o:p></o:p></p>Pierre Cherrierhttp://www.blogger.com/profile/01694280546068565832noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4483005198530435637.post-51786415327841434992022-10-28T03:00:00.006-04:002022-12-05T14:08:01.533-05:00L'imposteur<table border="1"><tbody>
<tr><td><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhkIew6ULP1SyK9V8dhXQeyKIUtDAqDLCj0jWECIcyF4Z-3MgANk5Cl9x_i_78sA0MSaYNUffGasDKIR7F6CemiddMH1hw_6mXZX5Zf6zjKFj1dLP90UiIws-8rA6YADI4RnR288-KqOBtY/s1600/BB.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="89" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhkIew6ULP1SyK9V8dhXQeyKIUtDAqDLCj0jWECIcyF4Z-3MgANk5Cl9x_i_78sA0MSaYNUffGasDKIR7F6CemiddMH1hw_6mXZX5Zf6zjKFj1dLP90UiIws-8rA6YADI4RnR288-KqOBtY/s200/BB.jpg" width="200" /></a></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<br /></div>
<span style="font-family: inherit;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh6V_btlImf57jl8JXPMdGvZ0mmuRfdcjg7gWjQTnN53BAtGcMtAVLyOSwYCsdzbfhHjVyvIl-LJJg0oQgfEU92FyMkM3wbNKP24t5XL7zP1RpzxMnk6DPKJQ2I1e80Cv9kEhXjS6dVS0wX/s1600/IT-REPRISE.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><span style="color: black;"></span></a><br /></span><span style="font-family: inherit;"><br /></span></td><td>Notre Montage #397 est disponible pour écoute et téléchargement depuis la chaîne <i>Community Audio</i> du site <i>Internet Archive</i> à l'adresse suivante: <a href="https://archive.org/details/pcast397">https://archive.org/details/pcast397</a><br /><br /><div style="font-family: "times new roman"; margin: 0px;"><span style="background-color: white;"><iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="30" mozallowfullscreen="true" src="https://archive.org/embed/pcast397" style="background-color: transparent; text-align: center;" webkitallowfullscreen="true" width="400"></iframe></span></div></td></tr>
</tbody></table>
<br />
<iframe frameborder="0" height="430px" src="https://archive.org/stream/pcast397-Playlist?ui=embed#mode/1up" width="480px"></iframe>
=====================================================================
<div>
<br /></div>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Le B+B de
cette semaine (et notre billet Quinze que j’en pense pour la deuxième quinzaine
d’octobre) a un thème plutôt étrange, que nous avons déjà rencontré dans de
rares cas – des performances qui impliquent, eh bien, des imposteurs.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Il y a une
histoire tristement célèbre impliquant des enregistrements attribués à la
regrettée grande pianiste britannique Joyce Hatto lorsque, au cours de ses
dernières années, plus de 100 enregistrements lui furent faussement attribués.
Les enregistrements ont été publiés, ainsi que des enregistrements de piano
faussement attribués à Sergio Fiorentino, par le label Concert Artist
Recordings dirigé par le mari de Hatto, William Barrington-Coupe, qui avait une
carrière dans l'industrie du disque.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Le résultat
d'un tel subterfuge, en quelque sorte, est la méfiance des acheteurs de disques
!<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">D'une
certaine manière, cette situation a été largement exacerbée par l'essor des
petites maisons de disques au début de l’ère numérique. Qui n'a pas fouillé
dans les bacs à CD des pharmacies et des magasins à bas prix ? Un label
classique populaire était Point Classics, unemultinationale de musique
classique, spécialisée dans les sorties à budet. Après la faillite de la
société mère du label en 1993, le catalogue a été acquis par Telos Holdings Inc
qui l'a vendu à One Media iP Ltd en 2014. Le label et son catalogue sont
toujours actifs et distribués / vendus sous de nombreuses étiquettes
budgétaires différentes.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Il existe
un sous-ensemble du catalogue Point Classics qui crédite des artistes qui n'ont
jamais été vus ou entendus lors d'une performance publique. Le producteur le
plus prolifique de telles performances était Alfred Scholz.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Selon </span><span lang="EN-US"><a href="https://www.discogs.com/artist/730304-Alfred-Scholz"><span lang="FR-CA">discogs</span></a></span><span lang="FR-CA">, Alfred Scholz était un producteur prolifique
d'enregistrements à petit budget, qui vendait frauduleusement des
enregistrements d'artistes et d'orchestres inexistants. Parfois, les noms de
personnes réelles étaient crédités pour des performances qui n'étaient pas les
leurs. Travaillant comme chef d'orchestre, il s'est produit sous le couvert
d'Alberto Lizzio ainsi que de nombreux autres noms<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">"Alberto
Lizzio" était un pseudonyme utilisé par Scholz et attaché à des
enregistrements plus anciens qu'il a obtenus puis crédités à des artistes
inexistants comme Hans Swarowsky (qui était un vrai chef d'orchestre et aussi le
professeur de Scholz) ou lui-même. "Hans Zanotelli" (le nom d'un vrai
chef d'orchestre et également camarade de classe de Scholz) était un autre nom
utilisé frauduleusement sur les disques d'Alfred Scholz, tout comme Milan
Horvat et Carl Melles.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">On ne sait
pas si Alfred Scholz était un vrai chef d'orchestre qui était aussi un
fraudeur, ou l'auteur de la fraude, qui utilisait son nom ainsi que de nombreux
autres, réels ou imaginaires, comme "chefs d'orchestre" sur ses
enregistrements.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">L'orchestre
le plus couramment utilisé par Scholz dans ses productions falsifiées était la
Süddeutsche Philharmonie. Si l'attribution est correcte, il s'agissait à
l'origine d'un ensemble de courte durée assemblé par Scholz à partir de membres
de l'Orchestre philharmonique tchèque de Prague et de l'Orchestre symphonique
de Bamberg vers 1968. D'autres orchestres inexistants dirigés par des chefs
d'orchestre inexistants incluent Philharmonia Slavonica, London Festival
Orchestra et New Philharmonic Orchestra.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Plusieurs
dizaines de labels à petit budget utilisent les enregistrements obtenus à
l'origine d'Alfred Scholz, qui possédait un catalogue d'environ 2000 titres. La
plupart d'entre eux étaient d'anciens enregistrements analogiques réalisés
entre 1968 et 1970 pour Polyband et Primaton et par la radio autrichienne avant
1977. Les enregistrements de la radio autrichienne ont été vendus en 1977 à
PREMIS, une société détenue ou contrôlée par Scholz. Son catalogue comprend
également un nombre limité d'enregistrements numériques légitimes réalisés en
Angleterre (Londres), en Slovénie (Ljubljana), en Slovaquie (Bratislava) et en
Hongrie (Budapest).<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Veuillez
vous référer </span><span lang="EN-US"><a href="https://wiki.musicbrainz.org/Budget_recordings_of_Alfred_Scholz"><span lang="FR-CA">à cet article </span></a></span><span lang="FR-CA">pour un aperçu du catalogue Scholz
et comment reconnaître ses sorties.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Le montage
d'aujourd'hui rassemble un certain nombre de ces performances, y compris le
concerto pour piano du couronnement de Mozart et d'autres classiques bien
connus qui peuvent (ou non…) être interprétés par les artistes référencés.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Bonne
écoute!<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<u5:p></u5:p>
Pierre Cherrierhttp://www.blogger.com/profile/01694280546068565832noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4483005198530435637.post-38521015764384856392022-10-15T11:32:00.008-04:002022-10-15T11:32:00.232-04:00Mozart, Vladimir Ashkenazy – -Concertos 1–6 · Concerto pour 3 pianos<p><span style="background-color: white;"> </span></p><table border="1"><tbody><tr><td><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhp4wUQ19TwaxmaCvm-Allrd3NGfMOuduCXNOZBjBuES3H7ptqwxCcV8Mc5NRGPXm4if03EG9Z5Y4sqzIkg607ri6XctFwfBaMziMt6cv3csdBu25WNt1PLfRV0AN9Z6fPEFon_WTFmVnMz/s1600/qqjp-15.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><span style="background-color: white; color: black; font-family: inherit;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhp4wUQ19TwaxmaCvm-Allrd3NGfMOuduCXNOZBjBuES3H7ptqwxCcV8Mc5NRGPXm4if03EG9Z5Y4sqzIkg607ri6XctFwfBaMziMt6cv3csdBu25WNt1PLfRV0AN9Z6fPEFon_WTFmVnMz/s200/qqjp-15.png" width="189" /></span></a></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="background-color: white; font-family: inherit;"><br /></span></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="background-color: white; font-family: inherit;"><br /></span></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="background-color: white;"><span style="color: black; font-family: inherit; margin-left: 1em; margin-right: 1em;"></span></span></div></td><td><span style="background-color: white; font-family: inherit;"><span>Le billet su ivant est un de mes <i><a href="http://www.mqcd-musique-classique.com/forum/showthread.php?t=11054&pagenumber=" target="_blank">Quinze que j'en pense</a></i> pour le mois d'octobre 2022.</span><br /><span><br /></span><br /></span><div></div></td></tr></tbody></table><p></p><p class="MsoNormal"></p><p class="MsoNormal"></p><p class="MsoNormal"></p><p class="MsoNormal"></p><p class="MsoNormal"></p><p class="MsoNormal"></p><p class="MsoNormal"><span style="background-color: white;"><span style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;">Au fil des ans, nous avons exploré les concertos pour piano de Mozart dans plusieurs de nos billets. Dans le processus, nous avons présenté plusieurs enregistrements de pianistes et avons souvent utilisé deux "cycles" - le cycle Geza Anda des années 1960 et le cycle Vladimir Ashkenazy des années 1980.</span><br style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;" /><br style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;" /><span style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;">Pour octobre, sur notre cjaime Pod-O-Matic nous recyclons plusieurs de ces montages, et dans le cadre de ce projet, nous publions cet extrait partiel de deux CD </span><i style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;">Intégtalement Vôtre </i><span style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;">du cycle Ashkenazy, comprenant les six premiers concertos et le triple concerto.</span><br style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;" /><br style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;" /><span style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;">Les concertos nos 1 à 4 (K. 37, 39, 40 et 41) sont des arrangements pour orchestre et pour clavier de mouvements de sonate d'autres compositeurs. Les trois prochains concertos (K. 107/1, 2 et 3), présentés sur notre chaîne le 4 octobre, sont des arrangements de sonates pour piano de J.C. Bach (Op 5. Nos. 2, 3 et 4, tous composés par 1766 ).</span><br style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;" /><br style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;" /><span style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;">Le Concerto n ° 5, K. 175 de 1773 était son premier véritable effort dans le genre, et celui qui s'est avéré populaire à l'époque. Le Concerto n° 6, K. 238 de 1776 est le premier concerto proprement dit de Mozart à introduire un nouveau matériau thématique dans la première section solo du piano. Le Concerto n° 7, K. 242 pour trois pianos est assez connu.</span><br style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;" /><br style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;" /><span style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;">London/Decca a réédité plusieurs fois l'ensemble complet d'Ashkenazy avec l'orchestre Philharmonia dans des coffrets, mais l'ensemble d'aujourd'hui a été publié en tant que collection autonome. Les concertos multi-claviers (7 et 10) font appel à la collaboration d'Ashkenazy sur un autre cycle paru chez London/Decca par Daniel Barenboim. Le lien </span><i style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;">YouTube </i><span style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;">présente le cycle complet, pas seulement les sept premiers.</span><br style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;" /><br style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;" /><span style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;">Bonne écoute!</span><br style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;" /><br style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;" /></span></p><div align="center" style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif; margin: 0px; padding: 0px;"><span style="background-color: white;"><img alt="" border="0" src="https://i.discogs.com/xXfRUEXFbZYt6xvSd1jAnakg4mmq-zDhMciu8DKiiMU/rs:fit/g:sm/q:90/h:450/w:600/czM6Ly9kaXNjb2dz/LWRhdGFiYXNlLWlt/YWdlcy9SLTE5NTkw/Nzc4LTE2MjcwNTM4/MTgtMjE1OS5qcGVn.jpeg" style="border: 0px; max-width: 800px;" /></span></div><p class="MsoNormal"><span style="background-color: white;"><br style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;" /><b style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;">Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791)</b><br style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;" /><span style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;">Tous ces cobcerti Vladimir Ashkenazy, piano</span><br style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;" /><br style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;" /><span style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;">Concerto No.1 en fa majeur, K.37</span><br style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;" /><span style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;">Concerto No.2 en si bémol majeur, K.39</span><br style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;" /><span style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;">Concerto No.3 en ré majeur, K.40</span><br style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;" /><span style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;">Concerto No.4 en sol majeur K.41</span><br style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;" /><span style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;">Concerto No.5 en ré majeur, K.175</span><br style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;" /><span style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;">Concerto No.6 en si bémol majeur, K.238</span><br style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;" /><span style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;">Philharmonia Otchestra</span><br style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;" /><span style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;">(Ashkenazy dirige du clavier)</span><br style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;" /><br style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;" /><span style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;">Concerto No.7 rn fa majeur, pour 3 pianos, K.242 ('Lodron')</span><br style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;" /><span style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;">Fou Ts'Ong, piano</span><br style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;" /><span style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;">English Chamber Orchestra</span><br style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;" /><span style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;">Daniel Barenboim, dirigeant du clavier</span><br style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;" /><br style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;" /><span style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;">Cadences de Vladimir Ashkenazy sauf – K40 I, K175 I-II, K238 & K242: Wolfgang Amadeus Mozart; K175 III: Paul Badura-Skoda</span><br style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;" /><br style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;" /><span style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;">Lieux d'enregistrement: Kingsway Hall, avril 1972 (K242), Walthamstow Assembly Hall, mai 1986 (K175), octobre 1986 (K238), Eglise St Barnabas' mai 1987 (K37, K39-41)</span><br style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;" /><br style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;" /><span style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;">London Records – 421 577-2</span><br style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;" /><span style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;">Format: 2 x CD, Compilation, Stereo</span><br style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;" /><br style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;" /><br style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;" /><i style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;">Discogs </i><span style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;">- </span><a href="https://www.discogs.com/release/19590778-Mozart-ECO-Barenboim-Fou-TsOng-Philharmonia-Orchestra-Vladimir-Ashkenazy-Piano-Concertos-16-Concerto" style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif; text-decoration-line: none;" target="_blank">https://www.discogs.com/release/1959...os-16-Concerto</a><br style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;" /><i style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;"><br />YouTube</i><span style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;"> - </span><a href="https://youtube.com/playlist?list=PL92mHU5BB1vs9r0ztMXTll6fbJIraLYMa" style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif; text-decoration-line: none;" target="_blank">https://youtube.com/playlist?list=PL...Tll6fbJIraLYMa</a><br style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;" /><i style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;"><br />Internet Archive</i><span style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif;"> - </span><a href="https://archive.org/details/c-2-c-45b-mozart-piano-concertos-5" style="font-family: Verdana, Arial, Tahoma, Calibri, Geneva, sans-serif; text-decoration-line: none;" target="_blank">https://archive.org/details/c-2-c-45...no-concertos-5</a></span></p>Pierre Cherrierhttp://www.blogger.com/profile/01694280546068565832noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4483005198530435637.post-55877484379932393942022-10-14T03:00:00.005-04:002022-12-05T13:59:27.816-05:00Alfred Brendel & Mozart<table border="1"><tbody>
<tr><td><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhkIew6ULP1SyK9V8dhXQeyKIUtDAqDLCj0jWECIcyF4Z-3MgANk5Cl9x_i_78sA0MSaYNUffGasDKIR7F6CemiddMH1hw_6mXZX5Zf6zjKFj1dLP90UiIws-8rA6YADI4RnR288-KqOBtY/s1600/BB.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="89" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhkIew6ULP1SyK9V8dhXQeyKIUtDAqDLCj0jWECIcyF4Z-3MgANk5Cl9x_i_78sA0MSaYNUffGasDKIR7F6CemiddMH1hw_6mXZX5Zf6zjKFj1dLP90UiIws-8rA6YADI4RnR288-KqOBtY/s200/BB.jpg" width="200" /></a></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<br /></div>
<span style="font-family: inherit;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh6V_btlImf57jl8JXPMdGvZ0mmuRfdcjg7gWjQTnN53BAtGcMtAVLyOSwYCsdzbfhHjVyvIl-LJJg0oQgfEU92FyMkM3wbNKP24t5XL7zP1RpzxMnk6DPKJQ2I1e80Cv9kEhXjS6dVS0wX/s1600/IT-REPRISE.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><span style="color: black;"></span></a><br /></span><span style="font-family: inherit;"><br /></span></td><td>Notre montage # 396 est disponible pour écoute et téléchargement depuis la chaîne <i>Community Audio</i> du site <i>Internet Archive</i> à l'adresse suivante: <a href="https://archive.org/details/pcast396">https://archive.org/details/pcast396</a><br /><br /><div style="font-family: "times new roman"; margin: 0px;"><span style="background-color: white;"><iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="30" mozallowfullscreen="true" src="https://archive.org/embed/pcast396" style="background-color: transparent; text-align: center;" webkitallowfullscreen="true" width="400"></iframe></span></div></td></tr>
</tbody></table>
<br />
<iframe frameborder="0" height="430px" src="https://archive.org/stream/pcast396-Playlist?ui=embed#mode/1up" width="480px"></iframe>
=====================================================================
<div>
<br /></div>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Ce noulveau
B+B propose le pianiste Alfred Brendel dans trois œuvres de Mozart – sa sonate
pour piano no. 14 et les concertos 11 et 21. Alors que nous approchons de la
fin de cette série, je ne crois pas que nous ayons partagé de morceaux mettant
en vedette Brendel – certainement, nous n’avons pas fait de lui l'artiste
central de l'un d'entre eux, contrairement à d'autres pianistes. Il est temps
d'arranger ça !<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Né dans ce
qui est aujourd'hui la République tchèque dans une famille non musicale,
Brendel et sa famille ont déménagé plusieurs fois avant de s'installer à Graz,
en Autriche, où il a étudié le piano avec Ludovica von Kaan au Conservatoire de
Graz et la composition avec Artur Michel. Vers la fin de la Seconde Guerre
mondiale, Brendel, 14 ans, a été renvoyé en Yougoslavie pour creuser des
tranchées. Après la guerre, il n'a jamais poursuivi sa formation formelle de
pianiste et a été en grande partie autodidacte après l'âge de 16 ans. À bien
des égards, je pense que la formation musicale de Brendel est comparable à
celle de Sviatoslav Richter.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">À 17 ans
(pas moins !), Brendel a donné son premier récital public à Graz qu'il a
appelé à la "La fugue dans la littérature pour piano" avec des fugues
de Johann Sebastian Bach, Johannes Brahms et Franz Liszt, ainsi que les
siennes. En 1949, il remporte le quatrième prix du concours Busoni à Bolzano,
en Italie. Il parcourt ensuite l'Europe et l'Amérique latine, construisant
lentement sa carrière et participant à quelques masterclasses de Paul Baumgartner,
Eduard Steuermann et Edwin Fischer.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Quelque
soixante-cinq ans plus tard, Brendel est reconnu comme l'un des meilleurs
interprètes du répertoire pour piano allemand et a joué relativement peu
d'œuvres du XXe siècle, mais a interprété le Concerto pour piano d'Arnold
Schoenberg. Il fut le premier interprète à enregistrer l'intégrale des œuvres
pour piano solo de Beethoven. Il a également enregistré des œuvres de Liszt,
Brahms (dont les concertos), Robert Schumann et surtout Franz Schubert.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Le jeu de Brendel
est parfois décrit comme étant " cérébral ", et il a dit qu'il
croyait que la responsabilité première du pianiste était de respecter les
souhaits du compositeur sans façon, ni ajouter sa propre touche à la musique :
" Je suis responsable devant le compositeur, et particulièrement à la
pièce". Brendel cite, outre son mentor et professeur Edwin Fischer, les
pianistes Alfred Cortot, Wilhelm Kempff et les chefs d'orchestre Bruno Walter
et Wilhelm Furtwängler comme des influences particulières sur son développement
musical.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">En novembre
2007, Brendel a annoncé qu'il se retirerait du public après son concert du 18
décembre 2008 à Vienne. Son dernier concert à New York a eu lieu au Carnegie
Hall le 20 février 2008, avec des œuvres de Haydn, Mozart, Beethoven et
Schubert.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Une
collection importante d'Alfred Brendel est l'intégrale des concertos pour piano
de Mozart enregistrés avec Sir Neville Marriner et l'Académie de St Martin in
the Fields ; les deux concertos présentés aujourd'hui sont issus de cettte
intégrale.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Bonne
écoute!</span><o:p></o:p></p>
<u5:p></u5:p>
Pierre Cherrierhttp://www.blogger.com/profile/01694280546068565832noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4483005198530435637.post-14247434996796899962022-10-02T09:06:00.001-04:002022-10-02T09:06:14.453-04:00Mahler: Symphony No. 9 - Bruno Walter Conducts the Columbia Symphony Orchestra <p><span style="background-color: white; font-family: inherit;"> </span></p><table border="1"><tbody><tr><td><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhp4wUQ19TwaxmaCvm-Allrd3NGfMOuduCXNOZBjBuES3H7ptqwxCcV8Mc5NRGPXm4if03EG9Z5Y4sqzIkg607ri6XctFwfBaMziMt6cv3csdBu25WNt1PLfRV0AN9Z6fPEFon_WTFmVnMz/s1600/qqjp-15.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><span style="background-color: white; color: black; font-family: inherit;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhp4wUQ19TwaxmaCvm-Allrd3NGfMOuduCXNOZBjBuES3H7ptqwxCcV8Mc5NRGPXm4if03EG9Z5Y4sqzIkg607ri6XctFwfBaMziMt6cv3csdBu25WNt1PLfRV0AN9Z6fPEFon_WTFmVnMz/s200/qqjp-15.png" width="189" /></span></a></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="background-color: white; font-family: inherit;"><br /></span></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="background-color: white; font-family: inherit;"><br /></span></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="background-color: white;"><span style="color: black; font-family: inherit; margin-left: 1em; margin-right: 1em;"></span></span></div></td><td><span style="background-color: white; font-family: inherit;"><span>Le billet su ivant est un de mes <i><a href="http://www.mqcd-musique-classique.com/forum/showthread.php?t=7331&p=141805&viewfull=1#post141805" target="_blank">Quinze que j'en pense</a></i> pour le mois de septembre 2022.</span><br /><span><br /></span><br /></span><div></div></td></tr></tbody></table><p></p><p class="MsoNormal"></p><p class="MsoNormal"></p><p class="MsoNormal"></p><p class="MsoNormal"></p><p class="MsoNormal"></p><p class="MsoNormal"></p><p class="MsoNormal"><span style="background-color: white; font-family: inherit;">Sur notre chaîne Pod-O-Matic, nous présentons de vieux et de nouveaux partages des symphonies de Gustav Mahler. Aujourd'hui, la <i>Revanche du Vinyle</i> partage une réédition de la Neuvième symphonie de Mahler, avec Bruno Walter et le "Columbia Symphony Orchestra".<br /><br />Commençons par établir l'orchestre. Selon les données que j'ai recueillies, cette performance a été enregistrée le 26 janvier 1961 à l'American Legion Hall à Hollywood; il s'agit donc d'une incarnation californienne du Columbia Symphony - utilisant probablement les mêmes musiciens que Stravinsky utiliserait localement pour ses enregistrements légendaires du 80e anniversaire pour le même label. Je m'attendrais à ce que beaucoup soient membres de l'Orchestre philharmonique de Los Angeles et des musiciens contractuels des studios de cinéma.<br /><br />Comme l’histoire nous rappelle, la Neuvième de Mahler est sa dernière symphonie "complète" (c'est-à-dire composition et orchestration) et n'a jamais été jouée du vivant de Mahler ; Walter, à qui l'œuvre est dédiée, dirigea sa première représentation le 26 juin 1912, au Festival de Vienne.<br /><br />Bien que la symphonie suive la forme habituelle en quatre mouvements, elle est inhabituelle en ce que le premier et le dernier sont lents plutôt que rapides. Comme c'est souvent le cas chez Mahler, l'un des mouvements du milieu est un ländler. Bien que l'œuvre soit souvent décrite comme étant dans la tonalité de ré majeur, le schéma tonal de la symphonie dans son ensemble est progressif ; tandis que le mouvement d'ouverture est en ré majeur, le finale est en ré bémol majeur. Comme c'est le cas pour ses dernières symphonies, l'œuvre ne nécessite pas seulement un grand orchestre (comprenant des clarinettes en la, si bémol et mi bémol, deux harpes et un large éventail d'instruments à percussion), elle dure bien plus d'une heure.<br />La discographie de Walter comprend au moins deux enregistrements de la Neuvième - un concert de 1938 avec l'Orchestre philharmonique de Vienne et cet enregistrement en studio de 1962. Il pourrait bien y avoir d'autres performances publiques croquées sur disque en cours de route.<br /><br />Comme le dit un critique, le neuvième de Mahler est un peu comme Hamlet - il y a une vaste place pour des interprétations variées. L'enregistrement stéréo de Bruno Walter est indispensable pour une vision claire de l'approche non névrosée de l'œuvre.<br /><br />L'enregistrement a été retapé à de nombreuses reprises – celui de ma propre collection fait partie de la série de rééditions Odyssey « à bas prix » – et plus récemment sur l'édition Walter complète de Sony. Il s'agit d'une version superlative qui appartient à la collection de tous les passionnés de Mahler ; le son de l'original était étonnant en son temps, et l'est toujours.<br /><br />Bonne écoute!<br /><br /><img alt="" border="0" src="https://i.discogs.com/J50hmWuDnkYvBmY1LUBZxs3Y4BZOa6TNz-nvQGO02AY/rs:fit/g:sm/q:90/h:600/w:600/czM6Ly9kaXNjb2dz/LWRhdGFiYXNlLWlt/YWdlcy9SLTMzOTkw/MDItMTQ2NzM1NTc2/Ni03MjEzLmpwZWc.jpeg" style="border: 0px; max-width: 800px;" /><br /><br /><b>Gustav MAHLER (1860-1911)</b><br />Symphonie no. 9 en ré majeur (1908- 09)<br />Columbia Symphony Orchestra<br />Bruno Walter, direction<br />Lieu d’enregistrement American Legion Hall, Hollywood (26 janvier 1961)<br />Odyssey – Y2 30308<br />Format: Album double, Stéréo (réédition, 1971)<br /><br />Discogs - <a href="https://www.discogs.com/release/3399002-Mahler-Columbia-Symphony-Orchestra-Bruno-Walter-Symphony-No-9" style="text-decoration-line: none;" target="_blank">https://www.discogs.com/release/3399...-Symphony-No-9</a><br /><br /></span></p><p class="MsoNormal"></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="background-color: white; font-family: inherit;"><iframe allowfullscreen="" class="BLOG_video_class" height="266" src="https://www.youtube.com/embed/EMarpnKzflY" width="320" youtube-src-id="EMarpnKzflY"></iframe></span></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="background-color: white; font-family: inherit;"><br /></span></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: left;"><span style="background-color: white; font-family: inherit;">Internet Archive - <a href="https://archive.org/details/mahler-symphony-n-9">https://archive.org/details/mahler-symphony-n-9</a></span></div><span style="background-color: white; font-family: inherit;"><br /></span><span style="background-color: white; font-family: inherit;"><br /></span><p></p>Pierre Cherrierhttp://www.blogger.com/profile/01694280546068565832noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4483005198530435637.post-57371887973864474462022-09-17T09:55:00.000-04:002022-09-17T09:55:14.715-04:00Camerata Romana, Eugen Duvier, Antonio Vivaldi – L'Estro Armonico Op.3<p><span style="background-color: white; font-family: inherit;"> </span></p><table border="1"><tbody><tr><td><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhp4wUQ19TwaxmaCvm-Allrd3NGfMOuduCXNOZBjBuES3H7ptqwxCcV8Mc5NRGPXm4if03EG9Z5Y4sqzIkg607ri6XctFwfBaMziMt6cv3csdBu25WNt1PLfRV0AN9Z6fPEFon_WTFmVnMz/s1600/qqjp-15.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><span style="background-color: white; color: black; font-family: inherit;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhp4wUQ19TwaxmaCvm-Allrd3NGfMOuduCXNOZBjBuES3H7ptqwxCcV8Mc5NRGPXm4if03EG9Z5Y4sqzIkg607ri6XctFwfBaMziMt6cv3csdBu25WNt1PLfRV0AN9Z6fPEFon_WTFmVnMz/s200/qqjp-15.png" width="189" /></span></a></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="background-color: white; font-family: inherit;"><br /></span></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="background-color: white; font-family: inherit;"><br /></span></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="background-color: white;"><span style="color: black; font-family: inherit; margin-left: 1em; margin-right: 1em;"></span></span></div></td><td><span style="background-color: white; font-family: inherit;"><span>Le billet su ivant est un de mes <i><a href="http://www.mqcd-musique-classique.com/forum/showthread.php?t=10999&pagenumber=" target="_blank">Quinze que j'en pense</a></i> pour le mois de septembre 2022.</span><br /><span><br /></span><br /></span><div></div></td></tr></tbody></table><p></p><p class="MsoNormal"></p><p class="MsoNormal"></p><p class="MsoNormal"></p><p class="MsoNormal"></p><p class="MsoNormal"></p><p class="MsoNormal"></p><p class="MsoNormal"><span style="background-color: white; font-family: inherit;">Avec quelques jours de retard, notre premier <i>quinze que j’en pense</i> pour l’automne 2022 est de la série<i> Intégralement Vôtre</i>, et propose l’intégrale de L'estro armónico de Vivaldi.<br /><br />L'estro armonico (<i>trad. Lit.</i> L’inspiration harmonique) est un ensemble de 12 concertos pour instruments à cordes publié pour la première fois à Amsterdam en 1711. L'estro armonico était le premier recueil de concertos de Vivaldi à paraître.<br />Chaque concerto était imprimé en huit parties : quatre violons, deux altos, violoncelle et continuo. La partie de continuo a été imaginée comme une basse pour violone et clavecin. Les concertos appartiennent au format <i>concerto a 7</i>, c'est-à-dire : pour chaque concerto, il y a sept parties indépendantes.<br /><br />Dans chaque groupe consécutif de trois concertos, le premier est un concerto pour quatre violons, le second pour deux violons et le troisième un concerto pour violon seul. Le violoncelle obtient des passages solistiques dans plusieurs des concertos pour quatre et deux violons, de sorte que quelques-uns des concertos se conforment au format traditionnel du concerto grosso italien où un concertino de deux violons et violoncelle joue en contraste avec un orchestre à cordes.<br /><br />Les performances remontent aux débuts de l'ère numérique, lorsque le label Point Classics a publié un bon nombre de performances honnêtes à bas prix– plus à ce sujet et à propos du chef d'orchestre Alfred Schotz dans un montage en octobre.<br /><br />Les enregistrements ont été souvent réédités, soit sous forme de deux CD séparés, soit sous la forme d'un ensemble de 2 CD. Le deuxième CD (concerti 8-12) ajoute un concerto de La Stravaganza (op. 4, no. 2) en complément de programme.<br /><br />Bonne écoute !<br /><br /><b>Antonio VIVALDI (1678-1741)</b><br />L'estro armonico, 12 concertos pour 1-4 solistes, cordes et basse continue, Op. 3 (1711)<br /></span></p><div align="center" style="margin: 0px; padding: 0px;"><span style="background-color: white; font-family: inherit;"><br /><img alt="" border="0" src="https://i.discogs.com/Nuo9jNsHvMf3P662Tg4xKaJqnMwnNioMfBc7yEx6vUQ/rs:fit/g:sm/q:90/h:600/w:597/czM6Ly9kaXNjb2dz/LWRhdGFiYXNlLWlt/YWdlcy9SLTE4NjQ2/Nzg2LTE2MjA1MDU1/NTUtNTg4MS5qcGVn.jpeg" style="border: 0px; max-width: 800px;" /></span></div><p class="MsoNormal"><span style="background-color: white; font-family: inherit;"><br />(CD 1)<br />No.1 en ré majeur, RV549<br />No.2 en sol mineur, RV578<br />No.3 en sol majeur, RV310<br />No.4 en mi mineur, RV550<br />No.5 en la majeur, RV519<br />No.6 en la mineur, RV356<br />No.7 en fa majeur, RV567<br /><br />Classical Gallery – CLG 7108<br />Discogs - <a href="https://www.discogs.com/release/18646786-Camerata-Romana-Eugen-Duvier-Antonio-Vivaldi-LEstro-Armonico-Op3-Nos-1-7" style="text-decoration-line: none;" target="_blank">https://www.discogs.com/release/1864...co-Op3-Nos-1-7</a><br />YouTube - <a href="https://youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_nnvJN5KUYtqRKnnRyX0xwSR8NTXCVT4CI" style="text-decoration-line: none;" target="_blank">https://youtube.com/playlist?list=OL...xwSR8NTXCVT4CI</a><br /><br /></span></p><div align="center" style="margin: 0px; padding: 0px;"><span style="background-color: white; font-family: inherit;"><img alt="" border="0" src="https://i.discogs.com/5qxzX3KMP05uEX5hxXl0OtfF06aCyZ5DLdToF8Uixvk/rs:fit/g:sm/q:90/h:600/w:584/czM6Ly9kaXNjb2dz/LWRhdGFiYXNlLWlt/YWdlcy9SLTE0OTQy/MzU4LTE1ODQ0NzMw/NDYtOTI4MC5qcGVn.jpeg" style="border: 0px; max-width: 800px;" /></span></div><p class="MsoNormal"><span style="background-color: white; font-family: inherit;"><br />(CD 2)<br />No.8 en la mineur, RV522,<br />No.9 en ré majeur, RV230<br />No.10 en si mineur, RV580<br />No.11 en ré mineur, RV565<br />No.12 en mi majeur, RV265<br /><br />BONUS - "La Stravaganza" ( Op. 4 No. 2 ) Concerto en mi bemol majeur RV 279<br /><br />Classical Gallery – CLG 7109<br />Discogs - <a href="https://www.discogs.com/release/14942358-Camerata-Romana-Eugen-Duvier-Antonio-Vivaldi-LEstro-Armonico-Op3-Nos-8-12-Violin-Concertos-Op42-" style="text-decoration-line: none;" target="_blank">https://www.discogs.com/release/1494...oncertos-Op42-</a><br />YouTube - <a href="https://youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_kVNkzK_g39b8hdhVr0N73VbFQO3kdeDzw" style="text-decoration-line: none;" target="_blank">https://youtube.com/playlist?list=OL...73VbFQO3kdeDzw</a><br /><br />Camarata Romana<br />Eugen Driver, direction<br />Internet Archive - <a href="https://archive.org/details/01-c-2-c-44a-vivaldi-concertos-op" style="text-decoration-line: none;" target="_blank">https://archive.org/details/01-c-2-c...i-concertos-op</a>.</span></p>Pierre Cherrierhttp://www.blogger.com/profile/01694280546068565832noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4483005198530435637.post-5461469728082097042022-09-16T03:00:00.003-04:002022-11-06T14:22:33.437-05:00Mahler: Symphonie no. 5<table border="1"><tbody>
<tr><td><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhkIew6ULP1SyK9V8dhXQeyKIUtDAqDLCj0jWECIcyF4Z-3MgANk5Cl9x_i_78sA0MSaYNUffGasDKIR7F6CemiddMH1hw_6mXZX5Zf6zjKFj1dLP90UiIws-8rA6YADI4RnR288-KqOBtY/s1600/BB.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="89" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhkIew6ULP1SyK9V8dhXQeyKIUtDAqDLCj0jWECIcyF4Z-3MgANk5Cl9x_i_78sA0MSaYNUffGasDKIR7F6CemiddMH1hw_6mXZX5Zf6zjKFj1dLP90UiIws-8rA6YADI4RnR288-KqOBtY/s200/BB.jpg" width="200" /></a></div>–
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<br /></div>
<span style="font-family: inherit;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh6V_btlImf57jl8JXPMdGvZ0mmuRfdcjg7gWjQTnN53BAtGcMtAVLyOSwYCsdzbfhHjVyvIl-LJJg0oQgfEU92FyMkM3wbNKP24t5XL7zP1RpzxMnk6DPKJQ2I1e80Cv9kEhXjS6dVS0wX/s1600/IT-REPRISE.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><span style="color: black;"></span></a><br /></span><span style="font-family: inherit;"><br /></span></td><td>Notre montage # 395 est disponible pour écoute et téléchargement depuis la chaîne <i>Community Audio</i> du site <i>Internet Archive</i> à l'adresse suivante: <a href="https://archive.org/details/pcast395">https://archive.org/details/pcast395</a><br /><br /><div style="font-family: "times new roman"; margin: 0px;"><span style="background-color: white;"><iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="30" mozallowfullscreen="true" src="https://archive.org/embed/pcast395" style="background-color: transparent; text-align: center;" webkitallowfullscreen="true" width="400"></iframe></span></div></td></tr>
</tbody></table>
<br />
<iframe frameborder="0" height="430px" src="https://archive.org/stream/pcast395-Playlist?ui=embed#mode/1up" width="480px"></iframe>
=====================================================================
<div>
<br /></div><div><p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Dans ce
deuxième de deux B+B mettant en vedette Hermann Scherchen dirigeant le
répertoire allemand, et également dans le cadre de notre revue des symphonies
de Gustav Mahler, le montage d'aujourd'hui présente son enregistrement
Westminster de 1952 de la cinquième symphonie de Mahler.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Le site
discogs suggère que Scherchen a enregistré presque toutes les symphonies de
Mahler (en studio et en concert) - étonnamment, il n'a pas enregistré la
quatrième, bien qu'il ait enregistré deux cycles de chansons
(kindertottenlieder et les chants du compagnon errant).<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">On nous
assure souvent que les grands chefs d'orchestre d'une génération antérieure
interprétaient Mahler sans les «excès» d'un Leonard Bernstein‚ en supposant
toujours qu'ils le jouaient. Mais il y a une qualité plus frappante et plus
stupéfiante dans la direction de Scherchen qui a fait de ses enregistrements de
Mahler sont très prisés. Après avoir consacré sa carrière à la promotion de la
musique contemporaine‚ Scherchen a laissé relativement peu d'enregistrements en
studio‚ mais sa réputation d'érudit et son style de direction sobre et objectif
sont démentis par le pouvoir communicatif chauffé à blanc (et‚ il faut le dire‚
les fréquentes défaillances techniques) de ces vieux disques mono.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">On offre
ici à bien des égards très convaincante. Toutefois, à maintes reprises,
l'intensité et le dynamisme de la conception de Scherchen sont anéantis par
l'incapacité de ses joueurs à suivre le rythme.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">L'examen se
poursuit avec de nombreux exemples de l'orchestre (que j'ai toujours pensé être
un alias pour les membres de l'Orchestre philharmonique de Vienne…) en deçà de
la performance envisagée par le chef d'orchestre; néanmoins‚ Scherchen et ses
forces viennoises nous offrent un morceau d'histoire qui appartient à toute
collection sérieuse de Mahler.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Pour plus
d'informations sur l’œuvre elle-même, j vous propose de relire <a href="http://ideefixe-musique.blogspot.com/2018/06/mahler-symphonie-orchester-des.html">un
vieux <i>Mardi en Musique</i> de 2018</a>.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal">Bonne écoute!<u5:p></u5:p><o:p></o:p></p></div>
<br />
Pierre Cherrierhttp://www.blogger.com/profile/01694280546068565832noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4483005198530435637.post-12135765154032040832022-09-02T03:00:00.003-04:002022-11-06T14:16:31.421-05:00Herrmann Scherchen (1891-1966)<table border="1"><tbody>
<tr><td><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhkIew6ULP1SyK9V8dhXQeyKIUtDAqDLCj0jWECIcyF4Z-3MgANk5Cl9x_i_78sA0MSaYNUffGasDKIR7F6CemiddMH1hw_6mXZX5Zf6zjKFj1dLP90UiIws-8rA6YADI4RnR288-KqOBtY/s1600/BB.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="89" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhkIew6ULP1SyK9V8dhXQeyKIUtDAqDLCj0jWECIcyF4Z-3MgANk5Cl9x_i_78sA0MSaYNUffGasDKIR7F6CemiddMH1hw_6mXZX5Zf6zjKFj1dLP90UiIws-8rA6YADI4RnR288-KqOBtY/s200/BB.jpg" width="200" /></a></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<br /></div>
<span style="font-family: inherit;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh6V_btlImf57jl8JXPMdGvZ0mmuRfdcjg7gWjQTnN53BAtGcMtAVLyOSwYCsdzbfhHjVyvIl-LJJg0oQgfEU92FyMkM3wbNKP24t5XL7zP1RpzxMnk6DPKJQ2I1e80Cv9kEhXjS6dVS0wX/s1600/IT-REPRISE.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><span style="color: black;"></span></a><br /></span><span style="font-family: inherit;"><br /></span></td><td>Notre montage # 394 est disponible pour écoute et téléchargement depuis la chaîne <i>Community Audio</i> du site <i>Internet Archive</i> à l'adresse suivante: <a href="https://archive.org/details/pcast394">https://archive.org/details/pcast394</a><br /><br /><div style="font-family: "times new roman"; margin: 0px;"><span style="background-color: white;"><iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="30" mozallowfullscreen="true" src="https://archive.org/embed/pcast394" style="background-color: transparent; text-align: center;" webkitallowfullscreen="true" width="400"></iframe></span></div></td></tr>
</tbody></table>
<br />
<iframe frameborder="0" height="430px" src="https://archive.org/stream/pcast394-Playlist?ui=embed#mode/1up" width="480px"></iframe>
=====================================================================
<div>
<br /></div>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Le B+B de
cette semaine est le premier d'une paire mettant en vedette le chef d'orchestre
Hermann Scherchen, qui a réalisé plusieurs enregistrements intéressants pour le
label Westminster à la fin des années 1950 et au début des années 1960. Son
répertoire enregistré était extrêmement large, allant de Vivaldi à Reinhold
Glière.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Altiste à
l'origine, Scherchen a joué parmi les altos de l'Orchestre Bluthner de Berlin
alors qu'il était encore adolescent. Il dirigea à Riga de 1914 à 1916 et à
Königsberg de 1928 à 1933, après quoi il quitta l'Allemagne en protêt contre le
nouveau régime nazi et travailla en Suisse.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Scherchen a
joué un rôle de premier plan dans la formation de la vie musicale de Winterthur
(dans le canton de Zurich) pendant de nombreuses années, avec de nombreuses
créations, l'accent étant mis sur la musique contemporaine. De 1922 à 1950, il
est le chef principal de l'orchestre municipal de Winterthur (aujourd'hui
Orchester Musikkollegium Winterthur).<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Faisant ses
débuts avec Pierrot Lunaire d'Arnold Schoenberg, il était un champion des
compositeurs du XXe siècle tels que Richard Strauss, Anton Webern, Alban Berg
et Edgard Varèse, et a activement promu le travail de jeunes compositeurs
contemporains tels que Iannis Xenakis, Luigi Nono et Leon Schidlowsky.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Scherchen a
enregistré un répertoire inhabituellement large, du baroque au contemporain.
Ses enregistrements Mahler, réalisés avant que Mahler ne fasse partie du
répertoire standard, ont été particulièrement influents; il en était de même
pour ses enregistrements de Bach et de Haendel, qui ont contribué à ouvrir la
voie au mouvement de pratique de la performance « authentique ». Ont
également été inclus d'importants enregistrements de musique de Haydn,
Beethoven, Berlioz, Tchaïkovski, Glière, Bartók, Schoenberg et bien d'autres.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Nous avons
présenté plusieurs de ses enregistrements Westminster des symphonies
londoniennes de Haydn dans le cadre de Jadis sur Internet. J'ai programmé son
enregistrement de la symphonie no. 102 ici aujourd'hui.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Scherchen
est probablement mieux connu pour son arrangement orchestral (et son
enregistrement) de <i>L'Art de la fugue</i> de Bach, cependant, l'œuvre
principale aujourd'hui est un autre ensemble de variations pour clavier, son <i>Offrande
musicale</i>.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Toutes les
airs qui constituent cet opus reposent sur un thème musical unique donné à Bach
par Frédéric le Grand (roi Frédéric II de Prusse), à qui elles sont dédiées.
Elles furent publiées en septembre 1747. Le Ricercar a 6, une fugue à six voix
qui est considérée comme le point culminant de toute l'œuvre, est aussi parfois
appelée <i>Fugue prussienne</i>, sobriquet utilisé par Bach lui-même.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Le
"Ricercar a 6" a été arrangé seul à plusieurs reprises, l'arrangeur
le plus important étant Anton Webern, qui en 1935 a fait une version pour petit
orchestre, connue pour son style Klangfarbenmelodie (c'est-à-dire que les
lignes mélodiques sont transmises d'un instrument à l'autre toutes les quelques
notes, chaque note recevant la "couleur de ton" de l'instrument sur
lequel elle est jouée).<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Selon
Discogs, Schechen a fait deux enregistrements de l’offrande musicale, tous deux
basés sur un arrangement pour petit orchestre datant de 1937 par le compositeur
suisse Roger Vuataz - un pour Westminster de 1951 et celui-ci (que j'ai
téléchargé depuis <i>LiberMusica</i>) de 1949 avec les premiers pupitres de
l’orchestre de la radiodiffusion berlinoise.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Bonne
écoute!<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<u5:p></u5:p>
Pierre Cherrierhttp://www.blogger.com/profile/01694280546068565832noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4483005198530435637.post-18026610471663041822022-09-01T08:43:00.001-04:002022-09-01T08:43:00.250-04:00 Toutes bonnes choses…<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEioAH7oVJ391KG2ltnDPbB95gHcZqW7g45M_k6ZHhkxIVnZnBmC7KKZrFQURkJ3wSfBQirMWJ1ck5cq03LDMcniinp7IP2PuBFWGFgJ_oPyYSzNnwTtKvFyXRFgvL8YIYv-s5tkT75_j7KMSGMsvS02xSUiN8MmFYaqzfsigm8Tw1zrCoYnYkSmkTrktQ/s572/fylp01.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="528" data-original-width="572" height="295" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEioAH7oVJ391KG2ltnDPbB95gHcZqW7g45M_k6ZHhkxIVnZnBmC7KKZrFQURkJ3wSfBQirMWJ1ck5cq03LDMcniinp7IP2PuBFWGFgJ_oPyYSzNnwTtKvFyXRFgvL8YIYv-s5tkT75_j7KMSGMsvS02xSUiN8MmFYaqzfsigm8Tw1zrCoYnYkSmkTrktQ/s320/fylp01.jpg" width="320" /></a></div>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">En
septembfe je publie généralement une mise à jour trimestrielle de la
programmation et taquine les grandes lignes du reste de l'année, mais ce billet
sera un peu différent.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Après mûre
réflexion au cours des derniers mois, et compte tenu de la charge que cette
activité occupe, j'ai décidé que<b> mon 400e montage sera mon dernier</b>, et que <b>nous
mettrons fin à nos activités régulières à la fin de l'année.</b> Pas une décision
facile pour moi…<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Lorsque
nous avons commencé il y a un peu plus de 10 ans, le paysage de l'accessibilité
de la musique classique était en pleine transformation - les services de radio
terrestre ont été transformés par l'avènement des services de podcasting et de
streaming, et l'accès à la musique classique "à demande" est plus
accessible et répandu. Je crois que le besoin de ma modeste contribution est
passé.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Quand
j'attendais avec impatience la retraite, je pensais que j'aurais plus de temps
à consacrer à cette activité, mais il s'avère que je me sens plus occupé
maintenant que lorsque je travaillais à temps plein! C'est peut-être une chose
temporaire (la vente de la maison et l'emménagement dans une nouvelle étant une
préoccupation majeure au cours des derniers mois), mais je me sens constamment
en rattrapage et incapable de prendre de l’avance comme jadis.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Je n'ai pas
tout à fait décidé si ce sera une longue pause, un arrêt complet ou quelque
chose entre les deux - j'ai quelques mois pour y penser. A suivre en décembre…<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><u><span lang="FR-CA">Programmation
septembre-décembre<u5:p></u5:p></span></u><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Comme je le
fais depuis juin, nous aurons des diffusions régulièeres (plutôt que
quotidiennes), suivant de grands arcs :<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Pour
septembre, nous revisiterons les symphonies de Mahler (avec un QQJP et un
montage alimentant l’arc) ;<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Pour
octobre, nous revisiterons les concertos pour piano de Mozart (avec un QQJP et
un montage alimentant alimentant cet arc);<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Novembre
est ouvert en ce moment, probablement utilisé pour ramener du matériel "In
Memoriam" (dont un montage dédié à Jean Martinon dont l'anniversaire de la
mort aurait dû être soulignè l'année dernière)<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Pour
décembre, retour à Tchaïkovski avec un billet (400<sup>e</sup> montage) et QQJP
consacrés à ces tris grands ballets.).<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Il nous
reste encore plusieurs semaines de <i>Lundi avec Ludwig</i>, et notre
abécédaire opératique avec deux « nouvelles » grandes œuvres prévues pour les
lettres U et X.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Bonne
écoute !<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<u5:p></u5:p>Pierre Cherrierhttp://www.blogger.com/profile/01694280546068565832noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4483005198530435637.post-34223099884294108072022-08-19T03:00:00.003-04:002022-11-06T14:15:39.708-05:00Vitrine Saint-Saëns (2ie de 2)<table border="1"><tbody>
<tr><td><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhkIew6ULP1SyK9V8dhXQeyKIUtDAqDLCj0jWECIcyF4Z-3MgANk5Cl9x_i_78sA0MSaYNUffGasDKIR7F6CemiddMH1hw_6mXZX5Zf6zjKFj1dLP90UiIws-8rA6YADI4RnR288-KqOBtY/s1600/BB.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="89" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhkIew6ULP1SyK9V8dhXQeyKIUtDAqDLCj0jWECIcyF4Z-3MgANk5Cl9x_i_78sA0MSaYNUffGasDKIR7F6CemiddMH1hw_6mXZX5Zf6zjKFj1dLP90UiIws-8rA6YADI4RnR288-KqOBtY/s200/BB.jpg" width="200" /></a></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<br /></div>
<span style="font-family: inherit;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh6V_btlImf57jl8JXPMdGvZ0mmuRfdcjg7gWjQTnN53BAtGcMtAVLyOSwYCsdzbfhHjVyvIl-LJJg0oQgfEU92FyMkM3wbNKP24t5XL7zP1RpzxMnk6DPKJQ2I1e80Cv9kEhXjS6dVS0wX/s1600/IT-REPRISE.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><span style="color: black;"></span></a><br /></span><span style="font-family: inherit;"><br /></span></td><td>Notre montage # 393 est disponible pour écoute et téléchargement depuis la chaîne <i>Community Audio</i> du site <i>Internet Archive</i> à l'adresse suivante: <a href="https://archive.org/details/pcast393">https://archive.org/details/pcast393</a><br /><br /><div style="font-family: "times new roman"; margin: 0px;"><span style="background-color: white;"><iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="30" mozallowfullscreen="true" src="https://archive.org/embed/pcast393" style="background-color: transparent; text-align: center;" webkitallowfullscreen="true" width="400"></iframe></span></div></td></tr>
</tbody></table>
<br />
<iframe frameborder="0" height="430px" src="https://archive.org/stream/pcast393-Playlist?ui=embed#mode/1up" width="480px"></iframe>
=====================================================================
<div>
<br /></div>
<div>Pour le deuxième de deux B+B, j'ai préparé un programme tout Saint-Saëns, avec cette fois deux concertos pour piano, une symphonie et une courte pièce orchestrale.</div><div><br /></div><div>Le corpus qui compose ses cinq concertos pour piano offre un parcours chronologique à travers une grande partie de sa carrière : la période de composition s'étend de 1858 à 1896.</div><div>Un point culminant du n ° 3 est le deuxième mouvement Nocturne, avec sa mélodie tendre, tandis que le n ° 4 présente des mélodies d'hymne et des fanfares de cuivres éblouissantes. Ces performances sont extraites du cycle Pascal Rogé sous la direction de Dutoit. Dutoit dirige également la Marche Héroïque, utilisée comme un entr'acte entre les deux concertos.</div><div><br /></div><div>La Deuxième Symphonie, écrite quelque sept ans après la Première, fait preuve de plus d'imagination, d'ingéniosité et d'élégance dans, par exemple, l'utilisation d'une fugue comme base du mouvement d'ouverture. La nouvelle Symphonie ne sera jouée qu'en 1862, sous la direction de Jules Pasdeloup à qui l'œuvre est dédiée. Il est écrit avec plus de parcimonie que la Première Symphonie. Après beaucoup de matière affirmée, le bref deuxième mouvement est de caractère hésitant et délicat et marche avec délicatesse. Il y a beaucoup à rappeler la gentillesse du XVIIIe siècle. Le troisième mouvement de scherzo qui suit, avec d'intéressants rythmes croisés élastiques, sautille avec assurance et l'œuvre se termine par une tarentelle ensoleillée qui rappelle Mendelssohn.</div><div><br /></div><div>Bonne écoute!</div><div><br /></div>
Pierre Cherrierhttp://www.blogger.com/profile/01694280546068565832noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4483005198530435637.post-20367340217647063232022-08-12T03:00:00.006-04:002022-10-28T18:23:16.490-04:00Vitrine Saint-Saëns (1er de 2)<table border="1"><tbody>
<tr><td><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhkIew6ULP1SyK9V8dhXQeyKIUtDAqDLCj0jWECIcyF4Z-3MgANk5Cl9x_i_78sA0MSaYNUffGasDKIR7F6CemiddMH1hw_6mXZX5Zf6zjKFj1dLP90UiIws-8rA6YADI4RnR288-KqOBtY/s1600/BB.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="89" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhkIew6ULP1SyK9V8dhXQeyKIUtDAqDLCj0jWECIcyF4Z-3MgANk5Cl9x_i_78sA0MSaYNUffGasDKIR7F6CemiddMH1hw_6mXZX5Zf6zjKFj1dLP90UiIws-8rA6YADI4RnR288-KqOBtY/s200/BB.jpg" width="200" /></a></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<br /></div>
<span style="font-family: inherit;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh6V_btlImf57jl8JXPMdGvZ0mmuRfdcjg7gWjQTnN53BAtGcMtAVLyOSwYCsdzbfhHjVyvIl-LJJg0oQgfEU92FyMkM3wbNKP24t5XL7zP1RpzxMnk6DPKJQ2I1e80Cv9kEhXjS6dVS0wX/s1600/IT-REPRISE.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><span style="color: black;"></span></a><br /></span><span style="font-family: inherit;"><br /></span></td><td>Notre montage # 392 est disponible pour écoute et téléchargement depuis la chaîne <i>Community Audio</i> du site <i>Internet Archive</i> à l'adresse suivante: <a href="https://archive.org/details/pcast392">https://archive.org/details/pcast392</a><br /><br /><div style="font-family: "times new roman"; margin: 0px;"><span style="background-color: white;"><iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="30" mozallowfullscreen="true" src="https://archive.org/embed/pcast392" style="background-color: transparent; text-align: center;" webkitallowfullscreen="true" width="400"></iframe></span></div></td></tr>
</tbody></table>
<br />
<iframe frameborder="0" height="430px" src="https://archive.org/stream/pcast392-Playlist?ui=embed#mode/1up" width="480px"></iframe>
=====================================================================
<div>
<br /></div>
<div>Pour les deux prochains B+B, j'ai préparé une paire de programmes tout Saint-Saëns. Le modèle que j'ai adopté pour les deux montages est de compléter le cycle de concertos pour piano (en s'appuyant sur les concertos 2 et 5 partagés plus tôt sur notre chaîne de baladodiffusion) en en présentant un ici (et deux la semaine prochaine), une symphonie et une courte pièce orchestrale.</div><div><br /></div><div>En plus du Premier concerto (extrait, comme les deux la semaine prochaine du cycle Pascal Rogé sous la direction de Dutoit), le partage d'aujourd'hui comprend une paire de courtes pièces pour instrument à vent, l'une avec accompagnement d'orchestre l'autre avec accompagné à la harpe.</div><div><br /></div><div>La pièce d'ouverture, Phaéton, est un court poème symphonique inspiré du mythe grec sur le fils de l'Océanide Clymène et du dieu solaire Hélios. Désireux de faire confirmer sa filiation, il se rend au palais du dieu soleil à l'est. Là, il est reconnu par son père, et lui demande le privilège de conduire son char un seul jour. Cette balade ne se termine pas bien…</div><div><br /></div><div>Prodigieusement doué, Saint-Saëns entre au Conservatoire de Paris en 1848, à l'âge de 13 ans. Il y découvre les symphonies des grands compositeurs allemands et autrichiens et commence bientôt à s'essayer au genre. La Symphonie en la majeur est issue de cette période et bien qu'elle n'ait probablement jamais été jouée de son vivant, elle démontre pleinement son talent exceptionnel.</div><div><br /></div><div>Bonne écoute!</div><div><br /></div>
Pierre Cherrierhttp://www.blogger.com/profile/01694280546068565832noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4483005198530435637.post-35712151061996490722022-07-29T03:00:00.006-04:002022-10-02T19:52:16.550-04:00Haydn Symphonies No. 78-81<table border="1"><tbody>
<tr><td><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhkIew6ULP1SyK9V8dhXQeyKIUtDAqDLCj0jWECIcyF4Z-3MgANk5Cl9x_i_78sA0MSaYNUffGasDKIR7F6CemiddMH1hw_6mXZX5Zf6zjKFj1dLP90UiIws-8rA6YADI4RnR288-KqOBtY/s1600/BB.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="89" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhkIew6ULP1SyK9V8dhXQeyKIUtDAqDLCj0jWECIcyF4Z-3MgANk5Cl9x_i_78sA0MSaYNUffGasDKIR7F6CemiddMH1hw_6mXZX5Zf6zjKFj1dLP90UiIws-8rA6YADI4RnR288-KqOBtY/s200/BB.jpg" width="200" /></a></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<br /></div>
<span style="font-family: inherit;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh6V_btlImf57jl8JXPMdGvZ0mmuRfdcjg7gWjQTnN53BAtGcMtAVLyOSwYCsdzbfhHjVyvIl-LJJg0oQgfEU92FyMkM3wbNKP24t5XL7zP1RpzxMnk6DPKJQ2I1e80Cv9kEhXjS6dVS0wX/s1600/IT-REPRISE.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><span style="color: black;"></span></a><br /></span><span style="font-family: inherit;"><br /></span></td><td>Notre montage # 391 est disponible pour écoute et téléchargement depuis la chaîne <i>Community Audio</i> du site <i>Internet Archive</i> à l'adresse suivante: <a href="https://archive.org/details/pcast391">https://archive.org/details/pcast391</a><br /><br /><div style="font-family: "times new roman"; margin: 0px;"><span style="background-color: white;"><iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="30" mozallowfullscreen="true" src="https://archive.org/embed/pcast391" style="background-color: transparent; text-align: center;" webkitallowfullscreen="true" width="400"></iframe></span></div></td></tr>
</tbody></table>
<br />
<iframe frameborder="0" height="430px" src="https://archive.org/stream/pcast391-Playlist?ui=embed#mode/1up" width="480px"></iframe>
=====================================================================
<div>Au cours
des dernières semaines, nous avons entrepris un survol des symphonies tardives
de Haydn, allant des six symphonies dites de Paris aux 12 symphonies de Londres.</div><p class="MsoNormal"><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Pour clore
cette revue, je vous propose un groupe de quatre symphonies (nos 78 à 81) qui
précèdent immédiatement l'ensemble parisien.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Peu de
compositeurs montrent une croissance aussi remarquable que Haydn ; de ses
pièces de jeunesse insignifiantes, entièrement dominées par le style de ses
aînés préclassiques, à l'aboutissement imposant de ses dernières œuvres, ses
symphonies affichent une évolution de forme et de contenu qui a eu un effet
considérable sur ses disciples.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Permettez-moi
de faire une déclaration audacieuse - si jamais vous faites 104 trucs originaux
d'un certain type, il y a de fortes chances que certains se ressemblent
étrangement Pas identiques - après tout, ils sont tous uniques - mais à bien
des égards, ils auraient des points communs Dans le cas de Haydn, il s'agit de
"la formule". D'une certaine manière, la production d'autant de
symphonies est grandement facilitée par une approche stéréotypée. Mais appeler
cela un style "emporte-pièce" est exagéré. Tour à tour rigoureusement
contrapuntique et lucide d'esprit, la vitalité évidente de la formule reflète
l'aventure débordante de Haydn.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Il n'y a
pas deux mouvements identiques ; la « mosaïque » des éléments de
thème imprègne même les sections de transition et les codas ; chaque
instrument participe au développement mélodique ; les menuets croissent en
fougue ou en dignité tandis que les finales exploitent des variétés de forme
rondo. La formule atteint son apogée dans les symphonies de Londres, mais même
les quatre œuvres présentées aujourd'hui illustrent la variété des méthodes de
Haydn.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Bonne écoute!<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<u5:p></u5:p>
<br />
Pierre Cherrierhttp://www.blogger.com/profile/01694280546068565832noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4483005198530435637.post-69697032504698785002022-07-08T03:00:00.003-04:002022-08-31T08:39:30.606-04:00Ballets par Erik Satie<table border="1"><tbody>
<tr><td><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhkIew6ULP1SyK9V8dhXQeyKIUtDAqDLCj0jWECIcyF4Z-3MgANk5Cl9x_i_78sA0MSaYNUffGasDKIR7F6CemiddMH1hw_6mXZX5Zf6zjKFj1dLP90UiIws-8rA6YADI4RnR288-KqOBtY/s1600/BB.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="89" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhkIew6ULP1SyK9V8dhXQeyKIUtDAqDLCj0jWECIcyF4Z-3MgANk5Cl9x_i_78sA0MSaYNUffGasDKIR7F6CemiddMH1hw_6mXZX5Zf6zjKFj1dLP90UiIws-8rA6YADI4RnR288-KqOBtY/s200/BB.jpg" width="200" /></a></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<br /></div>
<span style="font-family: inherit;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh6V_btlImf57jl8JXPMdGvZ0mmuRfdcjg7gWjQTnN53BAtGcMtAVLyOSwYCsdzbfhHjVyvIl-LJJg0oQgfEU92FyMkM3wbNKP24t5XL7zP1RpzxMnk6DPKJQ2I1e80Cv9kEhXjS6dVS0wX/s1600/IT-REPRISE.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><span style="color: black;"></span></a><br /></span><span style="font-family: inherit;"><br /></span></td><td>Notre montage # 390 est disponible pour écoute et téléchargement depuis la chaîne <i>Community Audio</i> du site <i>Internet Archive</i> à l'adresse suivante: <a href="https://archive.org/details/pcast390">https://archive.org/details/pcast390</a><br /><br /><div style="font-family: "times new roman"; margin: 0px;"><span style="background-color: white;"><iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="30" mozallowfullscreen="true" src="https://archive.org/embed/pcast390" style="background-color: transparent; text-align: center;" webkitallowfullscreen="true" width="400"></iframe></span></div></td></tr>
</tbody></table>
<br />
<iframe frameborder="0" height="430px" src="https://archive.org/stream/pcast390-Playlist?ui=embed#mode/1up" width="480px"></iframe>
=====================================================================
<div>
<br /></div>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA" style="font-size: 14pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR-CA;">Notre nouveau B+B cette semaine explore la musique
d'Erik Satie, et plus particulièrement certaines de ses musiques de danse et de
ballet.<o:p></o:p></span></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA" style="font-size: 14pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR-CA;">Erik Satie est l'un des compositeurs les plus
énigmatiques du XIXe siècle. Comme beaucoup de créatifs, il avait ses propres
habitudes et caractéristiques étranges qui peuvent sembler trop étranges
aujourd'hui.<o:p></o:p></span></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA" style="font-size: 14pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR-CA;">Combien excentrique?. Erik Satie n'a laissé personne
dans sa minuscule chambre du n°6 de la rue Cortot pendant… 27 ans. Après la
mort du compositeur, des tas de déchets de toutes sortes y ont été découverts.
Au milieu de dizaines de parapluies et de journaux, deux pianos ont été
trouvés, l'un au-dessus de l'autre, avec des pédales interconnectées. Cette
sculpture étrange servait de stockage pour divers colis, papiers et partitions
de musique. Parmi elles, la musique de <i>Jack in the Box</i> que l'on croyait
perdue depuis 1905.<o:p></o:p></span></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA" style="font-size: 14pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR-CA;">En juin 1926, pour commémorer le 60e anniversaire de
sa naissance, Jack in the Box est produit par les Ballets russes de Diaghilev,
avec une chorégraphie de George Balanchine, des décors d'André Derain et la
musique orchestrée par l'ami de Satie, Darius Milhaud.<o:p></o:p></span></p>
<p class="MsoNormal"><i><span lang="FR-CA" style="font-size: 14pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR-CA;">Parade</span></i><span lang="FR-CA" style="font-size: 14pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR-CA;"> est un ballet
chorégraphié par Léonide Massine, sur une musique d'Erik Satie et un scénario
en un acte de Jean Cocteau. Le ballet a été composé en 1916-1917 pour les
Ballets russes de Diaghilev. Satie a accueilli favorablement l'idée de composer
de la musique de ballet (ce qu'il n'avait jamais fait auparavant) mais a insisté
qu'aucune de ses compositions précédentes ne soit utilisée pour l'occasion,
alors Cocteau a commencé à écrire un scénario (le thème étant un défilé
publicitaire dans lequel trois groupes de des artistes de cirque essaient
d'attirer un public à une représentation en salle), dont Satie a composé la
musique (avec quelques ajouts à la partition d'orchestre de Cocteau).<o:p></o:p></span></p>
<p class="MsoNormal"><i><span lang="FR-CA" style="font-size: 14pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR-CA;">Mercure</span></i><span lang="FR-CA" style="font-size: 14pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR-CA;"> est un
ballet de 1924 sur une musique de Satie. Le décor et les costumes originaux ont
été conçus par Pablo Picasso et la chorégraphie a été signée Léonide Massine,
qui a également dansé le rôle-titre. Sous-titré "Poses plastiques en 3 Tableaux",
c'était un lien important entre les phases néoclassique et surréaliste de
Picasso et a été décrit comme un "ballet de peintre".<o:p></o:p></span></p>
<p class="MsoNormal"><i><span lang="FR-CA" style="font-size: 14pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR-CA;">Relâche</span></i><span lang="FR-CA" style="font-size: 14pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR-CA;"> est un autre
ballet de 1924. Imaginé par Francis Picabia, le titre était considéré comme une
farce dadaïste. S'inscrivant dans la série des Ballets suédois dits «
instantanéistes », ce spectacle comprend « deux actes, un entracte
cinématographique (Entr'acte de René Clair) et la queue du chien ».<o:p></o:p></span></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA" style="font-size: 14pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR-CA;">Pour compléter le montage, j'ai ajouté une musique
pour piano de Satie composée pour la pièce <i>Le piège de Méduse</i>. La
partition musicale est une série de danses très courtes sur des modes
populaires ( quadrille , valse , mazurka , polka , etc.), écrites de la manière
la plus humoristique de Satie et rappelant certaines des autres œuvres de
Satie.<o:p></o:p></span></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA" style="font-size: 14pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR-CA;">Bonne écoute!<o:p></o:p></span></p>
<br />
Pierre Cherrierhttp://www.blogger.com/profile/01694280546068565832noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4483005198530435637.post-46115997595038318392022-06-24T03:00:00.012-04:002022-08-31T08:25:22.883-04:00Brahms à Philadelphie<table border="1"><tbody>
<tr><td><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhkIew6ULP1SyK9V8dhXQeyKIUtDAqDLCj0jWECIcyF4Z-3MgANk5Cl9x_i_78sA0MSaYNUffGasDKIR7F6CemiddMH1hw_6mXZX5Zf6zjKFj1dLP90UiIws-8rA6YADI4RnR288-KqOBtY/s1600/BB.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="89" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhkIew6ULP1SyK9V8dhXQeyKIUtDAqDLCj0jWECIcyF4Z-3MgANk5Cl9x_i_78sA0MSaYNUffGasDKIR7F6CemiddMH1hw_6mXZX5Zf6zjKFj1dLP90UiIws-8rA6YADI4RnR288-KqOBtY/s200/BB.jpg" width="200" /></a></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<br /></div>
<span style="font-family: inherit;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh6V_btlImf57jl8JXPMdGvZ0mmuRfdcjg7gWjQTnN53BAtGcMtAVLyOSwYCsdzbfhHjVyvIl-LJJg0oQgfEU92FyMkM3wbNKP24t5XL7zP1RpzxMnk6DPKJQ2I1e80Cv9kEhXjS6dVS0wX/s1600/IT-REPRISE.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><span style="color: black;"></span></a><br /></span><span style="font-family: inherit;"><br /></span></td><td>Notre montage # 389 est disponible pour écoute et téléchargement depuis la chaîne <i>Community Audio</i> du site <i>Internet Archive</i> à l'adresse suivante: <a href="https://archive.org/details/pcast389">https://archive.org/details/pcast389</a><br /><br /><div style="font-family: "times new roman"; margin: 0px;"><span style="background-color: white;"><iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="30" mozallowfullscreen="true" src="https://archive.org/embed/pcast389" style="background-color: transparent; text-align: center;" webkitallowfullscreen="true" width="400"></iframe></span></div></td></tr>
</tbody></table>
<br />
<iframe frameborder="0" height="430px" src="https://archive.org/stream/pcast389-Playlist?ui=embed#mode/1up" width="480px"></iframe>
=====================================================================
<div>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Le B+B de
cette semaine nourrit une programmation Brahms entamée sur notre chaine
Pod-O-Matic lundi dernier avec le concerto pour violon, suivi du double
concerto, des deux sérénades et l’intégrale des symphonies commencée mercredi
avec la quatrième et les trois autres symphonies aujourd’hui et demain.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">L’intégrale
que le chef Italien Riccardo Muti entreprit avec l’orchestre de Philadelphie
pour le label Philips vers la fin de son mandat avec l’orchestre est l’objet du
partage d’aujourd’hui, et nous pernet de comparer deux approches tres
différentes, avec et sans ce qu’on a longtemps appelé le <i>Philadelphia Sound</i>.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Un coup de
genie de marketing, Leopold Stokowski (1912-1938) a lancé l'idée du "The
Philadelphia Sound"; Sergei Rachmaninoff était désespérément captivé - le
son semblait toujours plus russe que viennois - et a écrit sa Symphonie n ° 3
(entre autres œuvres) pour l’orchestre et ce son distinctif. Eugène Ormandy
(1936-1980) aurait assuré la pérennité du son en doublant les seconds violons
avec des altos, parfois trop indistinctement, peut-être pour couvrir des
lacunes importantes dans sa technique de direction.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Durant son
mandat à Philadelphie de 1980 à 1992, Riccardo Muti a fait un virage sonique.
Il a déclaré que son approche était de rester fidèle à l'intention du
compositeur, et cela signifiait un changement par rapport à l'application du
luxuriant "Philadelphia Sound" à tout le répertoire; cependant, bon
nombre de ses enregistrements avec cet orchestre semblent en grande partie
supprimer ce son caractéristique. Comme l'a dit le regretté violoniste de
longue date Morris Shulik : « Il a dit que lorsque nous jouons Brahms, nous
devrions avoir un son Brahms. Quand on joue Ravel, ça devrait être un son
Ravel. Mais tout ce qu'il a jamais obtenu de nous, c'est un son Martucci. »<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Pour fins
de comparaison, j’ai fureté YouTube et trouvé plein de vieux enregustrements
des deux symphonies au montage cette semaine avec le même orchestre sous la
baguette d’Ormandy.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal"><span lang="EN-US">Symphonie no. 1<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal"></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><iframe allowfullscreen="" class="BLOG_video_class" height="266" src="https://www.youtube.com/embed/K_kUCH9EkXg" width="320" youtube-src-id="K_kUCH9EkXg"></iframe></div><p></p><p class="MsoNormal"><span lang="EN-US">Symphonie no. 3<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal"></p><p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA"></span></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><iframe allowfullscreen="" class="BLOG_video_class" height="266" src="https://www.youtube.com/embed/ivrQV41rSdY" width="320" youtube-src-id="ivrQV41rSdY"></iframe></div>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA"> </span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Et voici
l’intégrale Muti, avec les pièces complémentaires d’usage, sont la rhapsodie
piour alto avec Jessye Norman.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA"><iframe allowfullscreen="" class="BLOG_video_class" height="266" src="https://www.youtube.com/embed/rG0ydSgd4g4" width="320" youtube-src-id="rG0ydSgd4g4"></iframe></span></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Bonne </span>écoute!</p><p class="MsoNormal"><o:p></o:p></p>
<u5:p></u5:p></div>
<br />
Pierre Cherrierhttp://www.blogger.com/profile/01694280546068565832noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4483005198530435637.post-64200598049760203712022-06-10T03:00:00.027-04:002022-07-28T10:53:47.550-04:00Hugh Bean (1929 – 2003)<p> </p><table border="1"><tbody><tr><td><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgNmpjOS7kviTaiYKgeBXzj0VdbgMRO0c23-ha_yLuhdmzgH9lhZa97Qw5KLf5PPUILtKqIdFy8zHXNkGoS46xgxi8ifAC2NDTDWuU-XVd7dh3YILYLw6pVJcUKRpQhcRxYe_yfltC8hIKSd5KBC9Kg4h8JvVlfR3osFk8k1TopphPg_CIO8hnNfwmZoA/s612/ALC.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="605" data-original-width="612" height="198" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgNmpjOS7kviTaiYKgeBXzj0VdbgMRO0c23-ha_yLuhdmzgH9lhZa97Qw5KLf5PPUILtKqIdFy8zHXNkGoS46xgxi8ifAC2NDTDWuU-XVd7dh3YILYLw6pVJcUKRpQhcRxYe_yfltC8hIKSd5KBC9Kg4h8JvVlfR3osFk8k1TopphPg_CIO8hnNfwmZoA/w200-h198/ALC.jpg" width="200" /></a></div></td><td>Notre montage # 388 est disponible pour écoute et téléchargement depuis la chaîne <i>Community Audio</i> du site <i>Internet Archive</i> à l'adresse suivante: <a href="https://archive.org/details/pcast388">https://archive.org/details/pcast388</a><br /><br /><div style="font-family: "times new roman"; margin: 0px;"><span style="background-color: white;"><iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="30" mozallowfullscreen="true" src="https://archive.org/embed/pcast388" style="background-color: transparent; text-align: center;" webkitallowfullscreen="true" width="400"></iframe></span></div></td></tr></tbody></table><br /><iframe frameborder="0" height="430px" src="https://archive.org/stream/pcast388-Playlist?ui=embed#mode/1up" width="480px"></iframe> =====================================================================<div><p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Billet original :</span><i><a href="http://www.mqcd-musique-classique.com/forum/showthread.php?t=7331&p=120588&viewfull=1#post120588"><span lang="FR-CA">MQCD</span></a></i><i><span lang="FR-CA">, </span><a href="https://ideefixe-musique.blogspot.com/2015/10/vivaldi-new-philharmonia-orchestra.html"><span lang="FR-CA">Idée Fixe</span></a></i><o:p></o:p></p><u5:p></u5:p><p class="MsoNormal">Le nouveau B+B de cette semaine fait partie de notre série A la Carte et prolonge un QQJP d'octobre 2015 consacré à l'enregistrement de 1966 des Quatre Saisons de Vivaldi sous Stokowski en y ajoutant quelques œuvres supplémentaires mettant en vedette le soliste, Hugh Bean.</p><p class="MsoNormal">Hugh Bean a fréquenté le Royal College of Music où, à 17 ans, il a reçu le prix principal de violon. Une autre année d'étude avec André Gertler au Conservatoire de Bruxelles sur un prix de la Fondation Boise lui a valu un double premier prix pour le jeu de musique solo et de chambre, et en 1951, il a obtenu la deuxième place au Concours international de violon Carl Flesch.</p><p class="MsoNormal">Il est nommé professeur de violon au RCM à l'âge de 24 ans et devient musicien d'orchestre indépendant à Londres, jusqu'à ce qu'il soit nommé assistant et ensuite violon-solo (1956-1967) du Philharmonia Orchestra. Il a été co-leader du BBC Symphony Orchestra de 1967 à 1969. En 1989, il est retourné au Philharmonia Orchestra en tant que co-leader et est nommé violon-solo émérite.</p><p class="MsoNormal">Hugh Bean a interprété des concertos avec de nombreux orchestres de premier plan, tant au Royaume-Uni qu'à l'étranger. Avec le Philharmonia Orchestra, il a enregistré les Quatre Saisons de Vivaldi avec Leopold Stokowski et The Lark Ascending de Vaughan Williams avec Sir Adrian Boult (au programme d'aujourd'hui). Il a fait de nombreux enregistrements de musique de chambre avec le Music Group of London, et ensemble ils ont fait de nombreuses tournées .</p><p class="MsoNormal">Bon souvenir!</p></div>Pierre Cherrierhttp://www.blogger.com/profile/01694280546068565832noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4483005198530435637.post-70410078178625168212022-05-31T18:00:00.008-04:002022-05-31T18:00:00.227-04:00Programmation Revisée pour juin-août 2022<p> <span style="font-size: medium;">Normalement, mes actvités bloguesques entrent un mode estival, avec moins de nouveau contenu, commençant en juillet.</span></p><p><span style="font-size: medium;">Cette année, un nombre de projets domestiques s'accumulent et je me dois de leur consacrer plus de temps. Ainsi, j'avance d'un mois le changement de programme.</span></p><p><span style="font-size: medium;">Ainsi, c'est mon intention de limiter mes nouvelles interventions aux B+B uniquement, Sur la chaîne de balados, j'irai plus modestement - fini les podcasts quotidiens - me limitant à certaines séries en cours. Si j'ai le temps, j'ajouterai d'autre contenu sur cette chaîne.</span></p><p><span style="font-size: medium;">Tout devrait entrer dans l'ordre en septembre - du moins, je l'espère...</span></p><p><span style="font-size: medium;">Bon été à tous</span></p><p><span style="font-size: medium;"><br /></span></p><p><span style="font-size: medium;">Pierre</span></p>Pierre Cherrierhttp://www.blogger.com/profile/01694280546068565832noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4483005198530435637.post-63337500384655256132022-05-31T08:32:00.002-04:002022-05-31T08:32:30.836-04:00Igor Stravinsky, Neville Marriner, Academy Of St. Martin-in-the-Fields – Pulcinella (Complete Ballet) / Suites Nos. 1 & 2 For Small Orchestra<p><span style="background-color: white;"><span style="font-family: inherit;"> </span></span></p><table border="1"><tbody><tr><td><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhp4wUQ19TwaxmaCvm-Allrd3NGfMOuduCXNOZBjBuES3H7ptqwxCcV8Mc5NRGPXm4if03EG9Z5Y4sqzIkg607ri6XctFwfBaMziMt6cv3csdBu25WNt1PLfRV0AN9Z6fPEFon_WTFmVnMz/s1600/qqjp-15.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><span style="background-color: white; color: black; font-family: inherit;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhp4wUQ19TwaxmaCvm-Allrd3NGfMOuduCXNOZBjBuES3H7ptqwxCcV8Mc5NRGPXm4if03EG9Z5Y4sqzIkg607ri6XctFwfBaMziMt6cv3csdBu25WNt1PLfRV0AN9Z6fPEFon_WTFmVnMz/s200/qqjp-15.png" width="189" /></span></a></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="background-color: white; font-family: inherit;"><br /></span></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="background-color: white; font-family: inherit;"><br /></span></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="background-color: white;"><span style="color: black; font-family: inherit; margin-left: 1em; margin-right: 1em;"></span></span></div></td><td><span style="background-color: white; font-family: inherit;"><span>Le billet su ivant est un de mes <i><a href="http://www.mqcd-musique-classique.com/forum/showthread.php?t=7331&p=140977&viewfull=1#post140977" target="_blank">Quinze que j'en pense</a></i> pour le mois de mai 2022.</span><br /><span><br /></span><br /></span><div></div></td></tr></tbody></table><p></p><p class="MsoNormal"></p><p class="MsoNormal"></p><p class="MsoNormal"></p><p class="MsoNormal"></p><p class="MsoNormal"></p><p class="MsoNormal"></p><p class="MsoNormal"><span style="background-color: white; font-family: inherit;">La Revanche du Vinyle cette semaine met en vedette des œuvres d’Igos Stravinski interprétées par l’Académy of St-Martin-in-te-Fields, un trio de solistes, le tout sous la direction de Sir Neville Marriner.</span></p><p><span style="background-color: white;"><span style="font-family: inherit;">L'œuvre principale de ce microsillon ADD d'Angel est le ballet en un acte de Stravinski, <i>Pulcinella</i>, l'un des deux ballets inspirés des œuvres de compositeurs antérieurs. Il est basé sur une pièce du XVIIIe siècle, Quatre Polichinelles similaires. Le ballet est créé à l'Opéra de Paris le 15 mai 1920 sous la direction d'Ernest Ansermet. Léonide Massine a créé à la fois le livret et la chorégraphie, et Pablo Picasso a conçu les costumes et les décors originaux.<br /><br />Pulcinella (Polichinelle) est un personnage classique qui trouve son origine dans la commedia dell'arte du XVIIe siècle et est devenu un personnage de base dans la marionnette napolitaine. La polyvalence de Pulcinella en termes de statut et d'attitude a captivé le public du monde entier et a maintenu le personnage populaire sous d'innombrables formes depuis son introduction à la commedia dell'arte par Silvio Fiorillo en 1620. De nombreuses variantes régionales de Pulcinella ont été développées au fur et à mesure que le personnage se diffusait à travers l'Europe. Dans de nombreuses adaptations ultérieures, Pulcinella a été dépeinte comme une marionnette, car le théâtre de style commedia dell'arte n'a pas continué à être populaire sur tout le continent au fil du temps.<br /><br />Un peu comme <i>Le Baiser de la fée</i> (1928) où Stravinski a élaboré plusieurs mélodies à partir de pièces pour piano anciennes et de chansons de Tchaïkovski dans sa partition, Diaghilev voulait un ballet basé sur un livret de commedia dell'arte du début du XVIIIe siècle et une musique alors supposée avoir été composée par Giovanni Battista Pergolesi. Cette attribution s'est depuis avérée fausse. Une partie de la musique peut avoir été de Domenico Gallo, Unico Wilhelm van Wassenaer, Carlo Ignazio Monza et Alessandro Parisotti. Stravinski a adapté la musique ancienne à un style plus moderne en empruntant des thèmes et des textures spécifiques, mais en injectant ses rythmes, cadences et harmonies modernes.<br /><br />Complément, le disque comprend les deux suites pour petit orchestre de Stravinski. Ces Suites envoûtantes et doucement satiriques sont des orchestrations faites par Stravinski des huit duos pour piano qu'il avait écrits pour ses enfants, Théodore et Mika, les trois premiers en 1914-1915 puis cinq autres en 1917.<br /><br />Notez que le lien <i>YouTube </i>contient une compilation de musique de Stravinski. Les clips 29 à 47 sont le contenu du disque d'aujourd'hui.<br /><br />Bonne écoute !<br /><br /><br /><img alt="" border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgKDeUgAT57fA9vOWqKv_PU-pg8ayo8blkkqipgWQ-GT1JJjaPF_bZqAtCJ2uONFiAlq1Ej0jvt295Y4uzGfAYaw4PFz2Q98SyhmiSsdJvspX7_EgNDsPtDIBEFvnxApWBExBQJl34lGIVYPtW2ii20o04gFisgFC3y0cvPD-JZi-2BlrtyvaXuzbaH/s320/pul.jpg" style="border: 0px; max-width: 800px;" /><br /><br /><b>Igor STRAVINSKI (1882-1971)</b><br />Pulcinella, Ballet avec chant en un acte (1920)<br />Soprano– Yvonne Kenny<br />Ténor– Robert Tear<br />Basse – Robert Lloyd<br /><br />Deux Suites (Nos. 1 and 2) pour petit orchestre (1921, 1926)<br />Academy Of St. Martin-in-the-Fields<br />Neville Marriner, direction<br /><br />Angel Records Digital – DS-37899<br />Format: Vinyl, LP, Album, Stereo<br />Emis en 1982<br /><br /><i>Discogs </i>- <a href="https://www.discogs.com/release/8137760-Igor-Stravinsky-Neville-Marriner-Academy-Of-St-Martin-in-the-Fields-Pulcinella-Complete-Ballet-Suite" style="text-decoration-line: none;" target="_blank">https://www.discogs.com/release/8137...e-Ballet-Suite</a><br /><br /><i>YouTube </i>- <a href="https://youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_kwJYQNmX91HFW1SmKCrSIe4rSv-5AMGZ8" style="text-decoration-line: none;" target="_blank">https://youtube.com/playlist?list=OL...SIe4rSv-5AMGZ8</a></span></span></p><p><span style="background-color: white;"><span style="font-family: inherit;"><i>Internet Archive</i> - <a href="https://archive.org/details/02-pulcinella-ballet-avec-chante-m">https://archive.org/details/02-pulcinella-ballet-avec-chante-m</a></span></span></p>Pierre Cherrierhttp://www.blogger.com/profile/01694280546068565832noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4483005198530435637.post-50799634924282502712022-05-31T03:00:00.003-04:002022-07-28T10:52:29.029-04:00Otto Klemperer A la Carte<p> </p><table border="1"><tbody><tr><td><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgNmpjOS7kviTaiYKgeBXzj0VdbgMRO0c23-ha_yLuhdmzgH9lhZa97Qw5KLf5PPUILtKqIdFy8zHXNkGoS46xgxi8ifAC2NDTDWuU-XVd7dh3YILYLw6pVJcUKRpQhcRxYe_yfltC8hIKSd5KBC9Kg4h8JvVlfR3osFk8k1TopphPg_CIO8hnNfwmZoA/s612/ALC.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="605" data-original-width="612" height="198" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgNmpjOS7kviTaiYKgeBXzj0VdbgMRO0c23-ha_yLuhdmzgH9lhZa97Qw5KLf5PPUILtKqIdFy8zHXNkGoS46xgxi8ifAC2NDTDWuU-XVd7dh3YILYLw6pVJcUKRpQhcRxYe_yfltC8hIKSd5KBC9Kg4h8JvVlfR3osFk8k1TopphPg_CIO8hnNfwmZoA/w200-h198/ALC.jpg" width="200" /></a></div><span style="font-family: inherit;"><br /></span></td><td>Notre montage # 387 est disponible pour écoute et téléchargement depuis la chaîne <i>Community Audio</i> du site <i>Internet Archive</i> à l'adresse suivante: <a href="https://archive.org/details/pcast387">https://archive.org/details/pcast387</a><br /><br /><div style="font-family: "times new roman"; margin: 0px;"><span style="background-color: white;"><iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="30" mozallowfullscreen="true" src="https://archive.org/embed/pcast387" style="background-color: transparent; text-align: center;" webkitallowfullscreen="true" width="400"></iframe></span></div></td></tr></tbody></table><br /><iframe frameborder="0" height="430px" src="https://archive.org/stream/pcast387-Playlist?ui=embed#mode/1up" width="480px"></iframe> =====================================================================<div><p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Billet
original :</span><i><a href="http://www.mqcd-musique-classique.com/forum/showthread.php?t=7331&p=121772&viewfull=1#post121772"><span lang="FR-CA">MQCD</span></a></i><i><span lang="FR-CA">, </span><a href="http://ideefixe-musique.blogspot.com/2016/03/schubert-klemperer-philharmonia.htmlhttp:/ideefixe-musique.blogspot.com/2018/05/danish-radio-symphony-orchestra-herbert.html"><span lang="FR-CA">Idée Fixe</span></a></i><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Le B+B de
cette semaine se veut mon partage trimestriel du « cinquième mardi du
mois » Pour l<occasion, je vous offre un billet A la Carte qui jumelle
une Revanche du Vinyle tout-Schubert à une symphonie de Mozart tirée d’un
billet de 2011. Voici ce que j’é rivais alors à propos de la 38ie
symphonie :<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">La
réputation de Mozart s’étalait de par l’empire Austro-Hongrois, et la ville de
Prague a eu sa part de premières. On dit que Mozart avait un faible pour les
résidents de cette ville, et on lui attribue "Meine Prager verstehen
mich" ("Mes Pragois me comprennent<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Lors de la
première locale des Noces de Figaro, les musiciens et mélomanes locaux ont
invité Mozart afin qu’il puisse assister à la performance. Il arriva le 11
janvier 1787, et se produit en concert le 19 janvier, avec la première de sa
symphonie en ré mineur dorénavant surnommée «Prague».<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Bon
souvenir!<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p><p class="MsoNormal">
<u5:p></u5:p>
<u5:p></u5:p></p><p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA" style="mso-ansi-language: FR-CA;"><u5:p> </u5:p></span><o:p></o:p></p></div>Pierre Cherrierhttp://www.blogger.com/profile/01694280546068565832noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4483005198530435637.post-11395642637611120202022-05-27T03:00:00.012-04:002022-07-28T10:50:47.129-04:00Carl Nielsen "A la Carte"<table border="1"><tbody>
<tr><td><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgNmpjOS7kviTaiYKgeBXzj0VdbgMRO0c23-ha_yLuhdmzgH9lhZa97Qw5KLf5PPUILtKqIdFy8zHXNkGoS46xgxi8ifAC2NDTDWuU-XVd7dh3YILYLw6pVJcUKRpQhcRxYe_yfltC8hIKSd5KBC9Kg4h8JvVlfR3osFk8k1TopphPg_CIO8hnNfwmZoA/s612/ALC.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="605" data-original-width="612" height="198" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgNmpjOS7kviTaiYKgeBXzj0VdbgMRO0c23-ha_yLuhdmzgH9lhZa97Qw5KLf5PPUILtKqIdFy8zHXNkGoS46xgxi8ifAC2NDTDWuU-XVd7dh3YILYLw6pVJcUKRpQhcRxYe_yfltC8hIKSd5KBC9Kg4h8JvVlfR3osFk8k1TopphPg_CIO8hnNfwmZoA/w200-h198/ALC.jpg" width="200" /></a></div><span style="font-family: inherit;"><br /></span></td><td>Notre montage # 386 est disponible pour écoute et téléchargement depuis la chaîne <i>Community Audio</i> du site <i>Internet Archive</i> à l'adresse suivante: https://archive.org/details/pcast386<br /><br /><div style="font-family: "times new roman"; margin: 0px;"><span style="background-color: white;"><iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="30" mozallowfullscreen="true" src="https://archive.org/embed/pcast386" style="background-color: transparent; text-align: center;" webkitallowfullscreen="true" width="400"></iframe></span></div></td></tr>
</tbody></table>
<br />
<iframe frameborder="0" height="430px" src="https://archive.org/stream/pcast386-Playlist?ui=embed#mode/1up" width="480px"></iframe>
=====================================================================
<div><p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Billet
original :</span><i><a href="http://www.mqcd-musique-classique.com/forum/showthread.php?t=7331&p=131118&viewfull=1#post131118"><span lang="FR-CA">MQCD</span></a></i><i><span lang="FR-CA">, </span><a href="http://ideefixe-musique.blogspot.com/2018/05/danish-radio-symphony-orchestra-herbert.html"><span lang="FR-CA">Idée Fixe</span></a></i><o:p></o:p></p>
<u5:p></u5:p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Le B+B de
cette semaine est de notre série rétro A la Carte et met fin à notre regard
cette semaine sur notre chaîne Pod-O-Matic des symphonies de Carl Nielsen avec
deux de mes préférées - la deuxième et la quatrième, interprétées ici par
Herbert Blomstedt mais cette fois dans un cycle Nielsen antérieur, il
enregistré pour EMI avec l’orchestre de la radiodiffusion danoise..<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Le premier
cycle Nielsen d'Herbert Blomstedt a fait le tour des rééditions; toutes ces
performances ont été dépassées, dans l'ensemble, par son cycle numérique de San
Francisco qui présentent un meilleur jeu, de meilleures prises de son et généralement
une main directrice plus audacieuse et plus vivante depuis le podium. Pourtant,
il y a des choses ici à apprécier.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Le billet
original propose une paire de courtes œuvres à la fougueuse quatrième. Le menu
d'aujourd'hui élargit ce programme en y ajoutant la deuxième symphonie,
surnommée "les quatre tempéraments". Nielsen lui-même décrit le
contexte de la symphonie dans une note au programme d’une représentation à la
Konsertföreningen de Stockholm peu avant sa mort en 1931.<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA"></span></p><blockquote>J'ai eu
l'idée de composer "Les quatre tempéraments" il y a de nombreuses
années dans une auberge de campagne en Zélande. Au mur de la pièce où je buvais
un verre de bière avec ma femme et quelques amis était accroché un tableau
coloré extrêmement comique, divisé en quatre sections dans lesquelles 'les
Tempéraments' étaient représentés et garnis de titres : 'Le Colérique', ' Le
Sanguin', 'Le Mélancolique' et 'Le Flegmatique'. Le Colérique était à cheval.
Il avait une longue épée à la main, qu'il brandissait férocement dans les airs;
il avait les yeux exorbités, ses cheveux valsaient follement autour de son
visage si déformé par la rage et la haine diabolique que je ne pus m'empêcher
d'éclater de rire. Les trois autres images étaient dans le même style, et mes
amis et moi étions profondément amusés par la naïveté des images, leur
expression exagérée et leur sérieux comique. Mais comme les choses peuvent
parfois tourner bizarrement ! Moi qui avais ri à haute voix et d'un air moqueur
devant ces images, j'y revenais constamment dans mes pensées, et un beau jour
je me suis rendu compte que ces images bâclées contenaient encore une sorte de
noyau ou d'idée et – réfléchissez ! – même un courant musical sous-jacent !
Quelque temps plus tard, j'ai donc commencé à travailler le premier mouvement
d'une symphonie, mais je devais faire attention à ce qu'il ne se clôture pas
dans le vide, et j'espérais bien sûr que mes auditeurs ne riraient pas pour que
l'ironie du destin frapperait mon âme.</blockquote><u5:p></u5:p><o:p></o:p><p></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR-CA">Bon souvenir!<u5:p></u5:p></span><o:p></o:p></p>
<u5:p></u5:p></div>
Pierre Cherrierhttp://www.blogger.com/profile/01694280546068565832noreply@blogger.com0