L’oeuvre
Les 24 préludes pour piano de Debussy sont divisés en deux livres dont la publication est séparée par une courte période d’un an ou deux. A l’instar des préludes du Clavier bien tempéré de Bach ou des préludes de Chopin, ces pièces ne sont pas associées à des tonalités spécifiques, ou ne tentent pas de couvrir le spectre des tonalités.
Les 24 préludes pour piano de Debussy sont divisés en deux livres dont la publication est séparée par une courte période d’un an ou deux. A l’instar des préludes du Clavier bien tempéré de Bach ou des préludes de Chopin, ces pièces ne sont pas associées à des tonalités spécifiques, ou ne tentent pas de couvrir le spectre des tonalités.
Chaque livre fut composé sur une période de qiuelques mois et assez rapidement, ce qui n’est pas nécessairement la coutume du compositeur. Le premier livre (composé entre décembre 1909 et février 1910) fait l’objet du billet d’aujourd’hui.
Il est important de noter qu’à l’origine, les préludes étaient offerts en récital een petits groupes – et reste encore une formule populaire. Ainsi doc, on propose des préludes qui résonnent avec l’interprète, ou ont une affinité particulière. Un bon exemple serait les trois premier préludes du premier livre (Danseuses de Delphes, Voiles, et Le Vent dans la Plaine) qui partagent une tonalité commune (si bémol), et partagent un sens d’unité et de fluidité par surcroît. La pianiste Jane Mortimer fut la première à offiri l’intégrale des préludes en récital à Paris le 3 mai 1911.
Debussy atribue des titres à ses préludes – en fait, dans le manuscrit, ces titres sont offerts à la fin de chaque pièce plutôt qu’au début, suggérant que les pièces laissent l’impression de telle ou telle chose plutôt que d’offrir le titre comme inspiration à l’interprète. L’absence d’un déterminant masculin ou féminin dans le titre de vagues est un bel exemple d’ambiguité poétique…
L’artiste
Sergey Schepkin est un pianiste Russe de naissance, mais Américain d’adoption. Né et formé à Saint-Pétersbourg, il complète avec succès ses études au conservatoire local en 1985.
Debussy atribue des titres à ses préludes – en fait, dans le manuscrit, ces titres sont offerts à la fin de chaque pièce plutôt qu’au début, suggérant que les pièces laissent l’impression de telle ou telle chose plutôt que d’offrir le titre comme inspiration à l’interprète. L’absence d’un déterminant masculin ou féminin dans le titre de vagues est un bel exemple d’ambiguité poétique…
L’artiste
Sergey Schepkin est un pianiste Russe de naissance, mais Américain d’adoption. Né et formé à Saint-Pétersbourg, il complète avec succès ses études au conservatoire local en 1985.
I aménage aux Etats-Unis en 1990, afin de parfaire sa formation au New England Conservatory avec Russell Sherman, y recevant un diplôme en 1992 et un doctorat en 1999.
M. Schepkin fait carrière en Amérique et partout ailleurs comme interprète et chambriste, ainsi que comme éducateur. Il est un artiste sabctionné par le facteur Steinway.
La prestation
J’ai téléchargé cet enregistrement du site MP3.COM en novenmbre 2001, et ce des mois avant qu’on les retrouve sur le disque compact de l’étiquette Centaur. Je suis plutôt certain qui’il s’agît des mêmes fichiers, à cause de l’emplacement de l’enregistrement (Jordan Hall, New England Conservatory).
- Préludes I, pour piano, L. 117
- Images I pour piano, L. 110
- Masques, pour piano, L. 105
- D'un cahier d'esquisses, pour piano, L. 99
- L'isle joyeuse, pour piano, L. 106
Sergey Schepkin, Piano [Steinway D]
Lieu d’enregistrement: Jordan Hall, New England Conservatory, Boston, Massachusetts. 19-20 mars, 2001
Téléchargement MP3.COM - 23 Nov 2001
Infos supplémentaires:
http://www.discogs.com/Claude-Debussy-Sergey-Schepkin-Preludes-Book-I-Images-First-Series-Masques-Dun-Cahier-Desquisses-Lis/release/3036172
http://www.discogs.com/Claude-Debussy-Sergey-Schepkin-Preludes-Book-I-Images-First-Series-Masques-Dun-Cahier-Desquisses-Lis/release/3036172
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