Cette sélection souvenir reprend le montage du 26 septembre 2014. Comme tous nos montages antérieurs, vous pourrez le trouver sur la chaîne Community Audio du site Internet Archive à l'adresse suivante: https://archive.org/details/pcast166 |
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Notre
sélection souvenir cette semaine provient de notre série «Quoi de Neuf» de
2014, cette fois axée sur la « Grande » symphonie en ut majeur de
Schubert.
Nous avons
proposé plusieurs réflexions sur Schubert au fil des ans, discutant de nombreux
aspects de sa production - le lied, la musique de chambre et sa musique
orchestrale. En toute honnêteté, sa production orchestrale peut être qualifiée
de modeste par rapport à d'autres aspects de sa production, mais certaines de
ces œuvres - cette neuvième symphonie plus précisément - sont remarquables à cause
de son atmosphère qui devance largement le mouvement «romantique tardif».
En lever de
rideau, noys considérons des sélections de sa musique pour Rosamunde. Au
dire des critiques de l’époque, la production de 1820 de la pièce Die
Zauberharfe fut un four. Il y avait cependant des choses positives à dire
sur les prouesses musicales de Schubert; les exégètes ont noté que Schubert
fait ici de nombreux pas vers son style mature, tempérant à la fois son génie
lyrique et affichant un développement motivant.
Schubert
n'a pas écrit d'ouverture pour son drame Rosamunde, qui a été créé le 20
décembre 1823, et il a plutôt utilisé une variété d'ouvertures, y compris à un
moment donné, l'ouverture du premier acte de Die Zauberharfe. Un lien plus
explicite entre ces deux drames provient d’un duo pour piano, prétendument
arrangé par Schubert en 1825 avec une description explicite «Ouverture de la
pièce« Rosamunde ».» Que l'association soit correcte ou non, l'histoire de la
réception de Die Zauberharfe a été incontestablement liée à la production
ultérieure.
Notre clip
boni aujourd'hui, en accord avec les «neuf», est la sonate pour piano no 9 de
Schubert, interprétée intégralemeny par Alfred Brendel.
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