vendredi 25 septembre 2020

Quoi de neuf, Franz Schubert?

Cette sélection souvenir reprend le montage du 26 septembre 2014. Comme tous nos montages antérieurs, vous pourrez le trouver sur la chaîne Community Audio du site Internet Archive à l'adresse suivante:  https://archive.org/details/pcast166




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Notre sélection souvenir cette semaine provient de notre série «Quoi de Neuf» de 2014, cette fois axée sur la « Grande » symphonie en ut majeur de Schubert.

Nous avons proposé plusieurs réflexions sur Schubert au fil des ans, discutant de nombreux aspects de sa production - le lied, la musique de chambre et sa musique orchestrale. En toute honnêteté, sa production orchestrale peut être qualifiée de modeste par rapport à d'autres aspects de sa production, mais certaines de ces œuvres - cette neuvième symphonie plus précisément - sont remarquables à cause de son atmosphère qui devance largement le mouvement  «romantique tardif».

En lever de rideau, noys considérons des sélections de sa musique pour Rosamunde. Au dire des critiques de l’époque, la production de 1820 de la pièce Die Zauberharfe fut un four. Il y avait cependant des choses positives à dire sur les prouesses musicales de Schubert; les exégètes ont noté que Schubert fait ici de nombreux pas vers son style mature, tempérant à la fois son génie lyrique et affichant un développement motivant.

Schubert n'a pas écrit d'ouverture pour son drame Rosamunde, qui a été créé le 20 décembre 1823, et il a plutôt utilisé une variété d'ouvertures, y compris à un moment donné, l'ouverture du premier acte de Die Zauberharfe. Un lien plus explicite entre ces deux drames provient d’un duo pour piano, prétendument arrangé par Schubert en 1825 avec une description explicite «Ouverture de la pièce« ​​Rosamunde ».» Que l'association soit correcte ou non, l'histoire de la réception de Die Zauberharfe a été incontestablement liée à la production ultérieure.

Notre clip boni aujourd'hui, en accord avec les «neuf», est la sonate pour piano no 9 de Schubert, interprétée intégralemeny par Alfred Brendel.

Bon souvenir!

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