Notre montage # 189 est disponible pour écoute et téléchargement depuis la chaîne Community Audio du site Internet Archive à l'adresse suivante: https://archive.org/details/pcast189 |
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Jusqu'à maintenant, nous avons considéré des oeuvres concertantes pour soliste(s) et orchestre au cours de cette série. Toutefois, on doit se rappeler que le terme concerto nous vient de l'italien poir "concert", et il est donc acceptable d'utiliser concerto dans un contexte beaucoup plus large. Imaginons donc un concerto "sans" orchestre, comme par example le concerto italien de Papa Bach:
C'est plus ou moins par rapport à cet example qu'on doit situer le montage proposé aujourd'hui, à commener avec cette oeuvre "cruellement taxante" du pianiste et compositeur Charles Alkan.
Les trois mouvements de ce “concerto” sont du recueil de 12 pièces intitulé Douze études dans tous les tons mineurs de 1857. Avec des indications comme "Tutti", "Solo" and "Piano", le comositeur exige de l'interprète qu'il soutire des sons "symphoniques" de son instrument.
Une partition de 121 pages (près de 80 pour le premier mouvement) suggèrent une oeuvre astronomique... Loin d'être "un morceau de concert, d'une durée ordinaire, c'est au pianiste John Ogden que revient la lourde tâche d'exécuter ce grand "concerto pour piano seul".
Un autre "concert(o) sans orchestre" est cette longue sonate de Robert Schumann composée un an après sa première sonate pour piano, dédiée non pas à sa future femme Clara, mais plutôt au pianiste Ignaz Moscheles. La moûture originale comptera 5 mouvements, dont seulement trois seront de la publication initiale - une revision en 1853 introduira un deuxième scherzo et une finale fort différente. Brahms sera le soliste lors de sa première exécution, six ans après le décès du compositeur. L'interprète aujourd'hui est Vladimir Horowitz.
Une partition de 121 pages (près de 80 pour le premier mouvement) suggèrent une oeuvre astronomique... Loin d'être "un morceau de concert, d'une durée ordinaire, c'est au pianiste John Ogden que revient la lourde tâche d'exécuter ce grand "concerto pour piano seul".
Un autre "concert(o) sans orchestre" est cette longue sonate de Robert Schumann composée un an après sa première sonate pour piano, dédiée non pas à sa future femme Clara, mais plutôt au pianiste Ignaz Moscheles. La moûture originale comptera 5 mouvements, dont seulement trois seront de la publication initiale - une revision en 1853 introduira un deuxième scherzo et une finale fort différente. Brahms sera le soliste lors de sa première exécution, six ans après le décès du compositeur. L'interprète aujourd'hui est Vladimir Horowitz.
Bonne écoute.
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