Le montage # 164 est disponible pour écoute et téléchargement depuis la chaîne Community Audio du site Internet Archive à l'adresse suivante: https://archive.org/details/pcast164 |
pcast164- Playlist
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Quoi de Neuf se poursuit cette semaine avec la neuvième symphonie du Tchèque Antonín Dvořák. Dans un Jadis sur Internet du printemps dernier, nous avions pris quelques instants afin de discuter du séjour du compositeir en Amérique, afin d'y diriger le National Conservatory.
Pendant ce séjour, Dvorak visitera plusieurs régios, et compposera au moins trois oeuvres d'envergure: son quatuor Américain, une suite Américaine (pour deux pianos, orchestrée par le compositeur quelques temps plus tard) et cette symphonie dite "du Nouveau Monde".
Ce sous-titre peut être interprété de bien des façons, ce qui m'amène à utiliser une traduction que je crois plus appropriées "en provenance" du Nouveau Monde.
Musique Américaine ou Rémminescemnces de Votage?
Voilà une belle question.
Plusieurs se sont prononcés sur ce sujet, souvent éclairés par des entrevues données par Dvorak à l'époque. Clairement, le composuteur était reconnu pour son usage de motifs folkloriques, et on sait qu'il conseillait à ses étudiants de rechercher ces motifs afin d'imprégner une saveur "nationale" à leurs oeuvres.
Pour Dvorak, les motifs autiochtines et la musique d'ascendance Afro-Américaine étaient des motifs valables que ses élèves se devaient de considérer. On sait qu'iun de ses élèves, Harry T. Burleigh, chantait des spirituals dans les classes de Dvorak.
Dans un de ses concerts jeunesse, Leonard Bernstein explore ce qui fait qu'une musique est "américaine", et conclut que ce sont plutôt le Jazz et le Blues qui informent l'ouïe des auditeurs et non pas la musique autochtone. Il rappellera que le fameux Largo de la symphonie de Dvorak n'est pas un Spiritual, mais tout simplement qie la mélodie fut reprise une vingtaine d'années après sa composition par un autre émule du Conservatoire, William Arms Fisher ("Goin' Home").
Ainsi donc, il est probablement plus juste de dire que cette symphonie représence un collage de réminescences de votage plutôt qu'une musique d'inspiration américaine.
En complément de Programme
La baladodiffusion d'aujourd'hui reproduit int.gralkement un enregistrement de la Royal Philharmonic sous la baguette du chef Letton Paavo Jarvi. Ce disque, réédité pluisieurs fois depuis son émission initiale il y a plus de 20 ans, ne fait pas l'unanimité chez la critique, qui accuse Jarvi d'excès de dynamique, que ce soit dans la symphonie ou la paire de petites pièces qui l'accompagne.
La baladodiffusion fait un écart avec le programme du compact original, entamant avec Carnaval, l'ouverture populaire du compositeur. Cette ouverture faut poartie d'un trio d'ouvertures inspirés de la nature, la vie et l'amoiur. Carnaval est une pièce qui vous saisit d'aplomb et vous entraine dans une série de rythmes endiâblés du début à la fin.
Quant au Scherzo Capriccioso qui conclut le montage, il s'agît-là d'une pièce qui porte bien son nom. Une oeuvre qui change constamment son fusil d'épaule, tantôt une danse, tantôt une contemplation lyrique, mais toujours intelligente et pleine de rebondissements.
Bonne écoute!
Pendant ce séjour, Dvorak visitera plusieurs régios, et compposera au moins trois oeuvres d'envergure: son quatuor Américain, une suite Américaine (pour deux pianos, orchestrée par le compositeur quelques temps plus tard) et cette symphonie dite "du Nouveau Monde".
Ce sous-titre peut être interprété de bien des façons, ce qui m'amène à utiliser une traduction que je crois plus appropriées "en provenance" du Nouveau Monde.
Musique Américaine ou Rémminescemnces de Votage?
Voilà une belle question.
Plusieurs se sont prononcés sur ce sujet, souvent éclairés par des entrevues données par Dvorak à l'époque. Clairement, le composuteur était reconnu pour son usage de motifs folkloriques, et on sait qu'il conseillait à ses étudiants de rechercher ces motifs afin d'imprégner une saveur "nationale" à leurs oeuvres.
Pour Dvorak, les motifs autiochtines et la musique d'ascendance Afro-Américaine étaient des motifs valables que ses élèves se devaient de considérer. On sait qu'iun de ses élèves, Harry T. Burleigh, chantait des spirituals dans les classes de Dvorak.
Dans un de ses concerts jeunesse, Leonard Bernstein explore ce qui fait qu'une musique est "américaine", et conclut que ce sont plutôt le Jazz et le Blues qui informent l'ouïe des auditeurs et non pas la musique autochtone. Il rappellera que le fameux Largo de la symphonie de Dvorak n'est pas un Spiritual, mais tout simplement qie la mélodie fut reprise une vingtaine d'années après sa composition par un autre émule du Conservatoire, William Arms Fisher ("Goin' Home").
Ainsi donc, il est probablement plus juste de dire que cette symphonie représence un collage de réminescences de votage plutôt qu'une musique d'inspiration américaine.
En complément de Programme
La baladodiffusion d'aujourd'hui reproduit int.gralkement un enregistrement de la Royal Philharmonic sous la baguette du chef Letton Paavo Jarvi. Ce disque, réédité pluisieurs fois depuis son émission initiale il y a plus de 20 ans, ne fait pas l'unanimité chez la critique, qui accuse Jarvi d'excès de dynamique, que ce soit dans la symphonie ou la paire de petites pièces qui l'accompagne.
La baladodiffusion fait un écart avec le programme du compact original, entamant avec Carnaval, l'ouverture populaire du compositeur. Cette ouverture faut poartie d'un trio d'ouvertures inspirés de la nature, la vie et l'amoiur. Carnaval est une pièce qui vous saisit d'aplomb et vous entraine dans une série de rythmes endiâblés du début à la fin.
Quant au Scherzo Capriccioso qui conclut le montage, il s'agît-là d'une pièce qui porte bien son nom. Une oeuvre qui change constamment son fusil d'épaule, tantôt une danse, tantôt une contemplation lyrique, mais toujours intelligente et pleine de rebondissements.
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