| Le billet suivant est ma Chronique du Disque du 30 seprtembrte 2014. NDLR: Si vous cherchez plus de détails à propos de mon barème d’évaluation pour la Qualité Sonore et l’Impression Globale, veuillez lire quelques unes de mes chroniques précédentes |
Mes suggestions pour septembre
Schubert: Wanderers Nachtlied
[eMusic]
En dépit d'une mort prématurée, Schubert reste une compositeur fort prollifique, qui nous a laissé plus de 600 mélodies (sacrées et profanes), des lieder pour voix masculine ou féminine et piano. On connaît les faneux recueils
(Wintereise, par exemple), mais la vaste majorité de ces mélodies sont des pièces individuelles. Cet album de deux disques est le huitième volet d'une intégrale Schubert du baryton Matthias Goerne pour la maison Harmonia Mundi,
et se veut une belle addition à la discograpghie des lieder de Schubert. J'appuie largement la critique favorable recullie par l'artiste, quoique je reste un inconditionnel de Fisher-Dieskau dans ce répertoire. Ce disque apporte toutefois une rtechnologie moderne et une prise de son examplaire. QS = A,
IG = A.
Swan Lake : Integral
[eMusic]
Il va sans dire que le ballet est un art de performance, qui met en évidence l'athlétisme et le lyrisme visuel d'une chorégraphie, et nous amène à la question peut-on vraiment évaluer pleinement la musique d'un ballet sans la présence de danseurs? Dans la majorité des cas, on propse en concert des extraits (ou suites) de ballets et rarement l'intgrale de la partition, justement parce que l'exécution de la partition seule peut être, disons, stérile. Il y a des exceptions - on pense aux ballets de Stravinski, par exemple. Mais pour Tchaïkovski, l'écoute de suites de ballets semble plus appropriée. Afin d'illiustrer mon point de vue, voici une audition de la trame sonore d'une vidéo produite par le ballet du Bolchoï (datant, je crois, de 1989 avec son orchestre-maison sous Algis
Zhuraitis). Il y a un problème de qualité sonore (sans doute due au transfert numérique, compliqué par les titres des plages inexacts au dernier acte), mais d'abord et avant tout, la ledture est daptée à la chorégraphie, avec des tempi qui "marchent" pour des danseurs mais pas forcément adaptés pour une exeécution orchestrale. Peut-être seriez-vous mieux nantis avec la vidéo... QS = B, IG = B.
Parmi les artistes qui nous ont quitté ces derniers mois, on compte le grand ténor Italien Carlo
Bergonzi, un trésor national qui a dominé les grandes scènes opértatiques Italiennes au cours des années 1950 et 1960, et probablement le ténor Verdien le plus réputé de sa génération. La comparaison avec les chanteiurs plus célèbres qui l'ont suivi (on pense à Pavarotti, bien sûr) est inévitable, et afin de les comparer, voici des s.lections du répertoire Napolitain que nos deux ténors ont gravé pour la postérité. Ici, Bergonzi est accompagné par un orchestre de chambre Espagnol (choix curieux mais sans importance) et propose des interprétations pleines de chaleur et d'émotion, qui feraient pâlir notre Luciano. Bergonzi "vend la salade" avec brio, et cette complation de chansons bien connues compte parmi mes préférées. Nous reviendrons avec Bergonzi dans un montage-hommage plus tard cette année, QS = A, IG = A.
Parlant de montages prévus pour les mois prochains, je prépare une intégrale des rhapsodies Hongroises de Liszt, et pour le piano et pour orchestre. En faisant du minage sur le web, j'ai retrouvé cet écrin qui propose l'intégrale des 19 rhapsodies, sous les doigts du pianiste Missha Dicnter. Dans la collection de ma mère, il y avait in disque de Dichter jouant Liszt qui comptait certaines de ces mêmes interprétations, et c'est avec un peu de nostalgie que ces enregistrements vieux de quelques décennies se retrouvent sur mon iPod. Dichter propose Liszt sans prétantion, sans balivernes; et c'est Liszt qui sonrt vainqueur, puisqu'on retrouve sa musique transmise sans les distractions qu'on retrouve trop souvent avec d'autres artistes. QS = A, IG = A-.
WIENIAWSKI / SARASATE: Violin Showpieces
[eMusic]
Un des artistes bien apppréciés sur MQCD Musique Classique est le violoniste Manitobain James Ehnes, qu'on ne peut plus vraiment considérer comme un "jeune artiste", puisqu'il connaît une carrière internationale bien établie, jouant avec les grands orchestres aux quatre coins du Monde. Ehnes s'est fait entendre dans mon patelin récemment en récital de chambre, et c'est dans cette formule qu'on le retrouve sur un disque de la Société Radio-Canada qui date déjà de plusieurs années. Le répertopire choisi ici en est un de pièces virtuoses, des "showpieces" comme on le dit en Anglais. MM. De Sarasate et Wieniawski proposent des plages pour violon qui comportent des défis, surpmontés ici avec grande agilité par notre James national. Comme pour le Schuibert et le Liszt proposés ci-haut, on pourrauit piger plusieurs gravures de ces pièces par des artistes "célèbres", mais M. Ehnes n'a pas à fuir la comparaison, car elle lui est plutôt favorable! QS = A, IG = A.
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