Carnaval, Mardi Gras, Carnaval

Notre montage # 332 est disponible pour écoute et téléchargement depuis la chaîne Community Audio du site Internet Archive à l'adresse suivante: https://archive.org/details/pcast332

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Quand on pense Carnaval, nos pensées se dirigent vers les plages de Rio et son fameux Carnaval avec ses traditions et sa tenue vestimentaire plutôt décontractée… Mais chez nous, on pense aux Carnvals d’hiver dont le Bal de Neige d’Ottawa où on patine le long d’un Canal Rideau transformé en très longue patinoire! Ou même au fameux Carnaval de Québec avec ses constructions de glace et son sympathique Bonhomme!

D’ailleurs, kle titre du montage B+B de cette semaine est tiré de la chanson thème originale du Carnaval, attribuée à Pierrette Roy ety datant de 1956

Carnaval, Mardi Gras, Carnaval

À Québec c'est tout un festival

Carnaval, Mardi Gras, Carnaval

Chantons tous le joyeux Carnaval.

Les deux œuvres majeures du montage sont de Robert Schumann et ses “pieces mignnnes” qui forment son opus 9 et les Fëtes Romaines de Respighi, interprétées par son ardent défenseur Toscanini et son orchestre de la NBC.

Pour compléter le montage, une ouverture du compositeur Canadien d’origine bohémienne Oskar Morawetz, un extrait des Nocturnes de Debussy adapté pour deux pianos par Ravel et une des six Rhapsodies Hongroises de Liszt qui furent adaptées pour l’orchestre.

Bonne écoute!

Paul Paray, Detroit Symphony Orchestra ‎– Suppé Overtures

Le billet suivant est mon Mardi en Musique du 28 janvier 2020

Notre billet d’aujourd’hui sert en quelque sorte de rappel qu’il n’y a pas si longtemps, l’un des meilleurs orchestres français avait domicile sur les berges du lac Michigan, dans la capitale américaine de l’automobile, Détroit.

Paul Paray est né dans une famille de musiciens en 1886. Malgré les interruptions des deux guerres mondiales (il a passé la majeure partie du premier comme prisonnier de guerre et la seconde avec la Résistance), il a établi une solide réputation de chef d'orchestre, à la tête d'orchestres à Monte Carlo et Paris. Des séjours en tant que chef invité aux USA l'ont conduit à être nommé chef permanent de l'Orchestre symphonique de Détroit, entre1952 et 1963).

Leurs tous premiers disques prouvent qu'il a rapidement forgé l'ensemble en un véritable grand orchestre et façonné une réplique du son qu'il avait connus en France. (Paray s'est finalement séparé de l’orchestre en 1963, mais est resté actif bien après son 90ième anniversaire de naissance.

Naturellement, Paray a apporté une touche gauloise appropriée au grand répertoire français. Ses Debussy, Ravel, Chabrier et Roussel sont magnifiques, capturant magnifiquement leur élégance avec une confiance qui s'efface. Tout aussi fascinante est la touche de Paray appliquée à la musique d'autres traditions nationales: Rachmaninov, Sibelius et même Wagner, la quintessence de la musique allemande et à peu près aussi loin de l'esthétique française que possible. Le disque d'aujourd'hui - un disque tout Suppé - typiquement viennois et parlant la même langue que Johann Strauss – vitalité rythmique, vif, contagieux.

Paul Paray et le Detroit Symphony interprètent la musique dite accessible sans la moindre prétention. Comme Toscanini, Paray semblait être particulièrement fier d'accorder l'attention et le respect habituellement réservés à la musique classique plus exigeante avec des lectures soignées et convaincantes.

Bonne écoute!

Franz von SUPPÉ (1819-1895)
Ouvertures

• Die schöne Galathe (La belle Galathée, 1865)
• Pique Dame (1862)
• Leichte Kavallerie (Cavalerie légère, 1866)
• Dichter und Bauer (Poète et paysan, ca. 1846)
• Matin, midi et soir à Vienne (1844)
• Boccaccio (1879)

Detroit Symphony Orchestra
Paul Paray, direction

Mercury ‎– SRI 75091
Format: LP, Stereo
(Studio, 11/1959)

Internet Archive - https://archive.org/details/dichterundbaueroverture

Leonard Bernstein (1918-1990)

Cette sélection souvenir reprend le montage B+B du 19 août 2011. Comme tous nos montages antérieurs, vous pourrez le trouver sur la chaîne Community Audio du site Internet Archive à l'adresse suivante:   http://www.archive.org/details/ThisDayInMusicHistory-19August1990

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La sélection souvenir de cette semaine ramène un montage de 2011 qui était originalement le montage qui lançait notre Projet Beethoven de 2011-12.

L'essentiel du montage recrée le dernier concert public de Bernstein - au festival d'été de Tanglewodd le 19 août 1990, quelques semaines avnt le décès du chef.

Aucune introduction n’est nécessaire ici. Leonard Bernstein est une figure de proue, que ce soit comme vulgarisateur, comme chef ou comme compositeur. Son association avec le festival de Tanglewood et le BSO date de 1940, au moment où il rencontre Serge Koussevitzky et Aaron Copland. Au cours des 50 ans qui suivront, il dirigera des master classes en direction d’orchestre, et y découvrira des émules tels Seiji Ozawa et Michael Tilson-Thomas. Malgré une prophétie de Koussevitzky lui-même, c’est à New York et non pas à Boston que Bernstein prendra les rênes d’un orchestre majeur aux États-Unis, dirigeant la Philharmonique locale de 1959 à 1969, pour ensuite devenir son chef lauréat tout en entreprenant une carrière de chef itinérant dans les quatre coins du monde.

Le billet bilingue original (hyperlien ci-haut) propose les propos du critique du Bew York Times qui couvra le concert. Parmi les oeuvres au programme, une version du cycle de chansons Arias and Barcarolles. Composée originalement pour voix féminine et masculine avec accompagnement au piano quatre mains, le BSO présenta une version orchestrée par le compositeur Chinois Bright Sheng. 

En prime cette semaine, je vous propose la version orchestrée par Bruce Coughlin, sous la direction d'un autre émule de Bernstein, Michael Tilson Thomas.

Bon souvenir!

Franz Liszt (1811-1886)

Notre montage # 331 est disponible pour écoute et téléchargement depuis la chaîne Community Audio du site Internet Archive à l'adresse suivante: https://archive.org/details/pcast331

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Ma femme et moi avons échappé à l'hiver canadien pendant une semaine, trouvant refuge dans une destination ensoleillée. Cependant, j'ai préparé un certain nombre de partages à l'avance, et ce montage de favoris Liszt vous aidera, espérons-le, à survivre le froid de janvier.

Franz Liszt était pianiste, professeur et compositeur. Il a développé plusieurs voies musicales telles que la musique programmatique, la technique et la transformation thématique. Il a voyagé la majeure partie de sa vie et a composé un certain nombre d'œuvres sur les lieux qu'il a parcourus.

Deux des œuvres principales du programme sont pour piano et orchestre. Liszt a composé son Concerto pour piano n ° 1 sur une période de 26 ans; les thèmes principaux datent de 1830, tandis que la version finale est datée de 1849. Elle a été créée à Weimar le 17 février 1855, avec Liszt au piano et Hector Berlioz à la direction. Liszt a fait encore plus de changements avant sa publication en 1856. Béla Bartók l'a décrit comme "la première réalisation parfaite de la forme sonate cyclique, avec des thèmes communs traités sur le principe de variation".

Certains titres des pièces de Liszt, comme Funérailles, La gondole lugubre et Pensée des morts, témoignent de la fascination du compositeur pour la mort. Chez le jeune Liszt, nous pouvons déjà observer des manifestations de son obsession de la mort, de la religion, du ciel et de l'enfer. Totentanz (trad. Lit. Danse des morts): est remarquable pour être basée sur le Dies Irae grégorien ainsi que pour des innovations stylistiques audacieuses. La pièce était initialement conçue en 1838 et achevée en 1849; il a ensuite été révisé deux fois, en 1853 et 1859.

Fidèle à l'obsession du paradis et de l'enfer, la Valse de Méphisto n ° 1 est un exemple typique de musique à programme, s’inspirant d’un épisode du drame en vers de Nikolaus Lenau, Faust.

Il y a une fête de mariage en cours dans l'auberge du village. Méphistophèles et Faust passent, et Méphistophèles incite Faust à entrer et à participer aux festivités. Mephistopheles arrache le violon des mains d'un violoneux léthargique et en tire des souches indescriptiblement séduisantes et enivrantes. Faust amoureux tourbillonne avec une villageoise dans une danse sauvage; ils valsent dans un abandon fou hors de la pièce, en plein air, loin dans les bois. Les sons du violon deviennent de plus en plus doux, et le rossignol gémit sa chanson chargée d'amour.

Au cours de la période 1860-1869, Liszt se consacre à la musique religieuse et, à cette époque, il commence à écrire quelques pièces pour orgue. Lors d'une retraite de deux ans à la Madonna del Rosario, il complète les Deux Légendes Franciscaines qui ouvrent notre montage: Saint François d'Assise: La Prédication aux Oiseaux, et Saint François de Paule: Marchant sur les flots en 1863. Liszt avait des relations personnelles avec ces deux saints, et en particulier il considérait saint François de Paul comme son saint patron.

Pour terminer le montage, j'ai pensé que je pourrais ré-explorer une pièce que j'avais initialement partagée il y a près d’une dizaine d’années dans lequel j'explorais la musique classique présentée dans de dessins animés. The Cat Concerto est le 29e court métrage de Tom et Jerry, sorti en salles le 26 avril 1947. Après sa sortie, il a été acclamé par la critique et est considéré comme l'un des meilleurs dessins animés de cette série. Il a remporté l'Oscar de 1946 du meilleur court métrage: dessins animés (leur quatrième Oscar consécutif du meilleur court métrage d'animation.)

Dans un concert, Tom en tant que soliste interprète une version concerto pour piano de "Rhapsodie hongroise n ° 2". Jerry, qui dort à l'intérieur du piano, est brutalement réveillé par les feutres, puis s'assied sur le piano pour se moquer du chat. Le reste du court métrage est rempli de «slapstick» typiques, généralement à l'unisson avec la musique qui a été arrangée pour l'occasion par Scott Bradley.

Bonne écoute!

Les vieux claviers

Cette sélection souvenir reprend le montage B+B du 10 mars 2017. Comme tous nos montages antérieurs, vous pourrez le trouver sur la chaîne Community Audio du site Internet Archive à l'adresse suivante:   https://archive.org/details/pcast242

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La sélection souvenir de cette semaine ramène un montage assez récent qui partage des concerti pour clavier mettant en évidence de "vieux claviers". En tant que l'une des familles d'instruments de musique les plus polyvalentes, les claviers ont acquis une grande importance et une grande popularité. Le clavier permet à un interprète de jouer plusieurs notes à la fois et en succession étroite, un exploit que peu d'autres instruments peuvent accomplir. Parce que presque toutes les compositions peuvent être jouées sur un clavier, que ce soit des harmonies d'accord, une seule mélodie ou une combinaison des deux, le clavier est utilisé par presque tous les grands compositeurs depuis le XVIe siècle.

Comme je l'ai signalé dans le billet original, le premier instrument à clavier connu était l'hydraulis, un type d'orgue à tuyaux inventé à la fin du IIIe siècle avant notre ère dans la Grèce antique. Ce type d'orgue disparait après la chute de l'Empire romain au Ve siècle de notre ère et il aurait fallu près de mille ans avant qu'un autre n'apparaisse. Le clavicorde (XIVe siècle) était l'instrument à clavier le plus important jusqu'à l'apparition du piano 400 ans plus tard, bien que très différent du piano que nous connaissons aujourd'hui car il était plus petit, plus léger et avait un diapason limité.

Avant le XXe siècle, les instruments à clavier ont connu une croissance énorme avec le développement du clavecin et de ses proches. Les orgues à tuyaux étaient principalement utilisés dans les églises, tandis que l'harmonium et le clavecin ont trouvé leur place dans la musique populaire jusqu'à l'avènement du piano moderne dans les années 1900.

Depuis que les instruments à clavier ont été inventés pour la première fois, il y a eu des tentatives pour les rendre plus petits et plus légers tout en conservant la qualité sonore. L'invention de l'électricité a fait place au piano électrique dans les années 1920, qui était similaire à la guitare électrique en ce qu'elle amplifiait la vibration des cordes grâce à l'électricité. Le piano électronique a été inventé pour la première fois 50 ans plus tard et est devenu le premier instrument à clavier à simuler le timbre d'un piano sans utiliser de cordes. Alors que les deux étaient populaires, ils ont été rapidement éclipsés par le piano numérique et le synthétiseur dans les années 1980.

À l'exception du Concert Champêtre de Poulenc, le reste des œuvres proposées sont de la période baroque et classique. En prime, j'ai trouvé une autre pièce pour clavecin du compositeur tchèque moderne Bohuslav Martinů. Je l'ai pris d'une playlist YouTube intitulée "Harpsichord modern compositions"

Bon souvenir!

Beethoven: Concerto No. 4; Triple Concerto

Le billet suivant est mon Mardi en Musique du 7 janvier 2020

En cette année anniversaire de Beethoven, nous prévoyons des contributions  mensuelles dédiées à Ludwig parmi nos séries tout au long de l'année.

Cette semaine, pour lancer cette série # Beethoven2020, nous partageons une playlist Intégralement Vôtre d'un autre disque produit et distribué par le RPO à la fin des années 1990, cette fois dans le cadre d'une intégrale des concertos pour piano de Beethoven avec la pianiste Michael Roll avec  Howard Shelley comme chef d'orchestre.

Le pianiste classique anglais Michael Roll est né au Royaume-Uni de parents juifs viennois. Roll était un enfant prodige qui s'est produit sur la plate-forme de concert avec le City of Birmingham Orchestra à l'âge de dix ans et au Royal Festival Hall à l'âge de douze ans sous la direction de Sir Malcolm Sargent. Roll a remporté le concours de Leeds en 1963 à l'âge de dix-sept ans seulement; en 2016, il reste le plus jeune vainqueur de la compétition.

Roll interprète le Concerto pour piano no. 4 et est joint par le violoniste Jean-Jacques Kantorow et le violoncelliste Raphael Wallfisch pour le "Triple" concerto.

Bonne écoute!

Ludwig van BEETHOVEN (1770- 1827)

Concerto pour piano no. 4 en sol majeur, Op. 58

Concerto pour violon, violoncelle, piano et orchestra en ut majeur, op. 56 "Triple"

Violon – Jean-Jacques Kantorow (op. 56)

Violoncelle – Raphael Wallfisch (op. 56)

Piano – Michael Roll

The Royal Philharmonic Orchestra

Howard Shelley, direction

Intersound 2870

Publication - 1999

AllMusic - https://www.allmusic.com/album/beethoven-piano-concerto-no-4-triple-concerto-mw0001829403

YouTube - https://www.youtube.com/playlist?list=PL6swnss9F7SGOW_0yJzXOoIgnF-JFGjYp

Internet Archive -  https://archive.org/details/01beethovenpianoconcerto4ing

Joaquín Rodrigo (1901-1999)

Notre montage # 330 est disponible pour écoute et téléchargement depuis la chaîne Community Audio du site Internet Archive à l'adresse suivante: https://archive.org/details/pcast330

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Joaquín Rodrigo a découvert un moyen de faire entrer la musique espagnole au XXe siècle. Sa solution était d'exploiter la mélodie chantable et d'utiliser des timbres d'orchestre traditionnels; ou comme le dit le musicologue Tomas Marco: "Dans la forme, l'harmonie, la mélodie et le rythme, le travail de Rodrigo pourrait être largement classé comme néo-classique".

Rodrigo a été victime d'une épidémie de diphtérie alors qu'il n'avait que trois ans, ce qui l'a laissé presque totalement aveugle (sa vue avait complètement disparu en 1948). Le handicap a été le facteur déterminant dans le dévouement de Rodrigo à la musique et, pour les aspects pratiques de la composition, son compagnon Rafael Ibanez a pris des dictées musicales et a fait des copies de son travail.

Rodrigo a écrit beaucoup de musique pour guitare - ce qui n'est pas surprenant pour un compositeur espagnol du XXe siècle, mais ce qui était quelque peu surprenant, c'est qu'il ne jouait pas de la guitare. Ses morceaux de guitare ne sont pas particulièrement idiomatiques: ils utilisent des sons de traditions vernaculaires espagnoles, mais les guitaristes disent qu'ils ne tiennent pas facilement sous les doigts et sont en fait inhabituellement difficiles à jouer.

 Notre montage propose quelques sélections pour guitare solo. À Madrid en 1939, la première composition importante de Rodrigo voit le jour: le Concierto de Aranjuez pour guitare et orchestre, dont le succès jette une ombre sur une grande partie de ses œuvres ultérieures.

Pour compléter le montage, le Concierto serenata pour harpe et orchestre a été écrit pour Nicanor Zabaleta, qui a créé l'œuvre à Madrid le 9 novembre 1956l. Le concerto est en trois mouvements; le premier des trois mouvements représente un groupe de jeunes musiciens marchant dans la rue; le troisième représente le soir. Le second est écrit sous forme de canon.

Bonne éoute.

Le calendrier pour janvier 2020

Le billet suivant fut publié sur MQCD Musique Classique le 31 décembre 2019 La série Les Routes du Laitier explore le répertoire de long en large, faisant appel à nos montages et playlists du passé. Pour plus d'information, lisez la page d'infos.

Nous entreprenons la nouvelle année en entamant la seconde tranche de notre calendrier(Les quatre mois en une page, version anglaise). 

Dates à souligner

• 1er janvier– Le Jour de l'An (Feuille #68)
• 7 janvier– Joyeux anniversaire, Francis Poulenc (*1899) (Feuille #321)
• 16 janvier– Rachmaninov et Mahler au Carnegie Hall (en ce jour, 1910) (Feuille #72)
• 20 janvier– Fête de Martin Luther King Jr. (Congé aux USA) (Feuille #234)

Le reste de nos feuilles de route explorent les derniers thèmes de la première tranche de nos chapitres dont "les routes instrumentales" et "les routes polyvalentes". Nos feuilles supplémentaires explorent deux autres symphonies de Schubert (Feuille # 320), Benny Goodman dans Mozart et Copland (Feuille # 320) et nn survol de l'oeuvre pour oruge d'Alexandre Guilmant (Feuille #323). 

Vos feuilles de route

Feuille de Route  # 320 - Schubert, Klemperer, Philharmonia Orchestra ‎– Symphonies No. 5 & 8

Un incontournable du répertoire Germanique, Klemperer défend ici deux symphonies fort différentes – la cinquième de Schubert est une œuvre légère, « sans tambour ni trompette ». La huitième, dite « inachevée », a son parcours particulier, et se veut – comme la neuvième – une œuvre ambitieuse et d’augure romantique.(Lire notre réflexion)

Hyperlien au menu et à la musique - https://archive.org/details/01SymphonieNo.5EnSiBemolMaje

 

Feuille de Route # 321 - Francis Poulenc (1899-1963)

Issu d’une famille associée avec l’industrie pharmaceutique, Poulenc apprend le piano sur les genoux de sa mère. Adolescent, il  se perfectionne sous la tutelle du pianiste espagnol Ricardo Viñes. On associera Poulenc en début de carrière au collectif de jeunes compositeurs que le critique Henri Collet surnomme en 1920 le « groupe des Six », en référence au « groupe des Cinq » ou Moguchaya kuchka russe de Balakirev. Constitué, outre Francis Poulenc, de Georges Auric, Louis Durey, Arthur Honegger, Darius Milhaud et Germaine Tailleferre, il se veut une réaction contre le romantisme et le wagnérisme, mais aussi, dans une certaine mesure, contre le courant impressionniste. (Lire notre réflexion)

Hyperlien au menu - https://archive.org/details/pcast133-Playlist

Feille de Route # 322 - Mozart & Goodman

Le premier enregistrement classique de Goodman date de 1938 - une prestation du quintette Stadler de Mozart. En 1956, au festival d'été de Tanglewood, Goodman collabore avec un quatuor du Boston Symphony dans cette même oeuvre, ainsi qu'avec l'orchestre entier sous maître Munch pour le concerto K. 622. Cet enregistrement forme l'essentiel du montage d'aujourd'hui. (Lire notre réflexion)

Hyperlien au menu - https://archive.org/details/pcast072-Playlist

Listener Guide # 323 - Alexandre Guilmant (1837-1911)

Formé auprès de son père, puis du maître belge Jacques- Nicolas Lemmens , Guilmant est devenu un organiste et professeur à Boulogne -sur-Mer , sa ville natale . En 1871, il a été nommé à la tribune des grands orgues de la Trinité de Paris – le même poste que Messiaen occupera pendant près de 60 ans et que Guilmant occupera pour seulement ... 30 ans.(Lire notre réflexion)

Hyperlien au menu - https://archive.org/details/pcast149-Playlist