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Cette sélection souvenir reprend le montage du 29 mai 2013. Comme tous nos montages antérieurs, vous pourrez le trouver sur la chaîne Community Audio du site Internet Archive à l'adresse suivante: https://archive.org/details/Pcast107
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La sélection souvenir de cette semaine nous ramène sept ans en arrière, alors que nous célébrions le centenaire d'une étape importante de l'histoire de la musique, la première alors controversée du Sacre du Printemps, lors d'un récital des Ballets Russes à Paris.
Tout comme le Skandalkonzert (mais apparemment moins mémorable) tenu à Vienne deux mois plus tôt, l'atmosphère tumultueuse de la soirée se détache dans les récits contemporains. Chaque soir, cependant, peut être considéré comme le point d'inflexion où les anciennes traditions cèdent la place à de nouvelles idées dans la création musicale.
Bien que généralement familier en tant que partition musicale, nous avons tendance à oublier que le Sacre du Printemps est après tout un ballet, et que la réaction du public ce soir-là aurait pu être dirigée vers la danse ... L'intensité rythmique de la partition, le scénario et la chorégraphie ont indubitablement ému les spectateurs. Dans le cadre du reste du récital (numéros traditionnels de ballet classique, tous inclus dans ce partage), on peut bien imaginer pourquoi! Après la première, lors d'un repas avec son compositeur et chorégraphe, Diaghilev a dit de la réaction sensationnelle que "c'est exactement ce que je cherchais".
Après une série de neuf représentations, le ballet est mis de côté, et ne sera dansé à nouveau que sept ans plus tard (même concept scénique, mais sous une chorégraphie de Léonide Massine). Il y a peu de vestiges de la chorégraphie originale de Nijinsky, cependant, même une poignée de notes et de photos. C'est à partir de ces documents ainsi que des croquis laissés par Roerich que Millicent Hodson, Kenneth Archer et Robert Joffrey tentent de tout recréer en 1987.
En primes, j'ai retenu la suite de 1919 de l;O) seau e Feuy, Nous avons partagé une version différente (plus élaborée) de cette suite (version de 1947 l'année dernière, mais la version plus courte de 1919 est plus familière. La performance est de l'Orchestre symphonique de Toronto.
Bon souvenir
Tout comme le Skandalkonzert (mais apparemment moins mémorable) tenu à Vienne deux mois plus tôt, l'atmosphère tumultueuse de la soirée se détache dans les récits contemporains. Chaque soir, cependant, peut être considéré comme le point d'inflexion où les anciennes traditions cèdent la place à de nouvelles idées dans la création musicale.
Bien que généralement familier en tant que partition musicale, nous avons tendance à oublier que le Sacre du Printemps est après tout un ballet, et que la réaction du public ce soir-là aurait pu être dirigée vers la danse ... L'intensité rythmique de la partition, le scénario et la chorégraphie ont indubitablement ému les spectateurs. Dans le cadre du reste du récital (numéros traditionnels de ballet classique, tous inclus dans ce partage), on peut bien imaginer pourquoi! Après la première, lors d'un repas avec son compositeur et chorégraphe, Diaghilev a dit de la réaction sensationnelle que "c'est exactement ce que je cherchais".
Après une série de neuf représentations, le ballet est mis de côté, et ne sera dansé à nouveau que sept ans plus tard (même concept scénique, mais sous une chorégraphie de Léonide Massine). Il y a peu de vestiges de la chorégraphie originale de Nijinsky, cependant, même une poignée de notes et de photos. C'est à partir de ces documents ainsi que des croquis laissés par Roerich que Millicent Hodson, Kenneth Archer et Robert Joffrey tentent de tout recréer en 1987.
En primes, j'ai retenu la suite de 1919 de l;O) seau e Feuy, Nous avons partagé une version différente (plus élaborée) de cette suite (version de 1947 l'année dernière, mais la version plus courte de 1919 est plus familière. La performance est de l'Orchestre symphonique de Toronto.
Bon souvenir
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