vendredi 8 août 2014

Beethoven 2 X 4

B + B En Vacances reprend des billets publiés sur d'autres plateformes. Le billet suivant est une reprise provenant du blog I Think You Will Love This Music Too, datant originalement du 17 février 2012.

Le montage (# 43)  est disponible pour écoute et téléchargement depuis la chaîne Community Audio du site Internet Archive à l'adresse suivante: http://www.archive.org/details/Beethoven2X4


Certains propos et hyperliens furent revisés pour cette rééedition.




Lorsque j'ai entrepris ce montage, tout était très innocent - une "paire" de symphonies afin de rester dans l'esprit de notre série estival sur Beethoven et mettre en relief le chiffre "2". Le choix des symphoinies no. 2 et 4 (ou 2 à la puissance 2) font d'elles des options numérologiquement logiques. Mais plus je me suis penché sur le montage, plus de "2" ont fait surface:
  • Nous utilisons deux de nos quatre "cycles" de prédilection, soit Bernstein/Wiener Philharmoniker et  Dohnanyi/Cleveland;
  • J'ai ici deux ouverturess (Les créatures de Prométhée et Coriolan)
  • Il y a deux volets distincts au montage - une portion "Bernstein" ainsi qu'une reconstruction d'une des académies de concert de Beethovem
Commençons donc par cette académie, celle du 13 avril 1807, qui fut mentionnée lors de notre discussion de l'académie du 22 décembre 1808. Ce concert fut, en fait, la reprise d'une performance privée des même trois oeuvres chez le Prince Franz Joseph von Lobkowitz. Lobkowitz était un des mécènes de MM. Haydn et Beethoven, et le récipiendaire de dédicaces de plusieurs de leurs grandes oeuvres.

Ces oeuvres sont: l'ouverture Coriolan, le troisième concerto pour piano et la quatrième symphonie.

Car nous l'avons présenté dans un autre montage (voir le volet Gould du Pianothon de janvier 2012), je n'ai pas monté le troisième concerto. Toutefois, je vous offre en boni une prestation d'Emil Gilels avec le Philharmonia sous la direction du regretté Paavo Berglund.



Le fil commun entre les deux sympohonies est un autre supporter de Beethoven, le comte Franz von Oppersdorff. The comte rencontre Beethoven chez son cousin, le prince Lichnowsky, et il y entend sa deuxième symohonie. Il fut ému au point de commander sa propre symphonie, qui devient la quatrième.

Comme c'est la coutume lors de présentations des symphonies de Beethoven dans mon blog, j'ai inclus ici les commentaires de Maestro Bernstein. Mentionons que Bernstein souligne les aspects novateurs de ces deux symphonies négligées.



Si l'ouverture Prométhée reçoit une lecture "traditionnelle", la version de Coriolan montée aujourd'hui est une version, disons, différente... Elle est signée Charles Munch et attaque Beethoven à un train d'enfer. DItes-moi ce que vous en pensez...

Bonne écoute!


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