mardi 14 janvier 2014

De la suite dans les idées...



Le billet suivant est mon Mardi en Musique du 14 janvier 2014

Lors de ma réflexion de la semaine dernière, j'ai proposéla d'écouter la quatrième suite de Tcaïkovski. Ma playlist d'aujourd'hui propose de compléter la séquence avec l'écoute des trois autres suites numérotées du compositeur.

Composées entre 1878 et 1887 et insérées dans le catalogue chronologique du compositeur entre la production de symphonies, ces suites suivent le modèle traditionnel du rassemblement de mouvements de danse, augmenté par des muvements plus élaborés, organisés das une forme sans doute moins rigide que celui de la symphonue, d'où j'ose croire leur attrait pour le comositeur Russe.

A propos de sa première suite, il écrura à l'automne de 1878:
(...) j'ai mis sur papier le croquis d'un scherzo pour orchestre. C'est seulement par la suite que l'idée m'est venue de composer tout un cycle de pièces pour orchestre, qui forment une Suite dans le style de (Franz) Lachner. 
Cette formule musicale date des ouvertures pour orchestre de Jean-Sébastien Bach et Georg Phillip Telemann, et reste en vogue depuis. Parmi les compositeurs contemporains du Russe (en plus de Lachner), on note un de ses riveaux de Saint-Pétersbourg, le compositeur et critique César Cui qui en composera pou le piano et en orchestrera lui-même (ou orchestrées opar Glazounov).

Il est intéressant de noter que durant la période de 10 ans enre la composition de sa quatriàme et cinquième symphonies, Tchaikovsky tenta de composer une symphonie qui deviendra sa troisième suite... Restant fidèle au thème du mois, la troisième suite comporte une élégante démonstration de variations pour orchestre!
Plus de détails sur la composition de ces oeuvres dans la page wiki du site Tchaikovsky Research


Bonne écoute!

DETAILS

Pyotr Ilich TCHAÏKOVSKI (1840-1893)

Suite No. 1 en ré mineur, Op. 43 (TH 31)
Orchestre Symphonique de Radio-Moscou sous Arvīds Jansons

Suite No. 2 en ut majeur, Op. 53 (TH 32), "Suite charctéristique"
Winterthur Symphony Orchestra sous Walter Goehr

Suite No. 3 en sol majeur, Op. 55 (TH 33)
Orchestre Symphonique de la Radio-Télévision Coréenne sous Mikhail Pletnev


dimanche 12 janvier 2014

Thème et Variations: L'édition Mozart




Le billet suivant est une reprise d'un Quinze que j'en pense, datant originalement du 15 septembre 2012.

Le contenu musical et texte furent revisés afin d'adresser des clips supprimés.



Pour mon deuxième "en pantoufles" de janvier, je m’attarde aux variations pour piano de Mozart (ou inspirées par Mozart). Comme à l’habitude, j’agrémente cette réflexion de suggestions musicales.

Selon le catalogue Köchel, Mozart propose environ une quinzaine de variations pour piano . Allant du K. 25 au K. 613, ces compositions surgissent régulièrement tout au long de la carrière d’Amadeus, et font pruve d’un sens de l’originalité qu’on associe volontiers avec lui.

La Piano Society propose une bonne brochettte de ces variations pour piano. Trois œuvres sont particulièrement intérerssantes, et font partie ŝoit de ces sélections, soit de la Playlist YouTube illustrative d’aujourd’hui.

Douze Variations sur "Ah vous dirai-je, Maman", K. 265

Publiées à Vienne en 1785, on crut longtemps que ces variations dataient du séjour Parisien de Mozart en 1778 – où d’autre aurait-il pu se familiariser avec cette comptine? Les manuscrits suggèrent plutôt 1781 ou 82.

Ces variations sont le parfait exemple de la capacité qu’a Mozart de développer des oeuvres d’envergure à partir de mélodies simples, voire enfantines. Soulignoins le chromartisme de la 8e variation, et la projection dramatique de la 9e.

Dix variations sur "Unser dummer Pöbel meint" de "La rencontre imprévue" par Christoph Willibald Gluck, K 455

Du temps de Mozart (et du temps d’autres grands virtuoses tels Liszt et Thalberg), des arias opératiques étaient une source thématique pour des variations pour piano (ou pour d’autres instruments). Publiées en 1785 avec les variatios K. 265, les variations Gluck K. 455 sont un excellent exemple d’une telle oeuvre basée sur un air opératique.

Si ces variations vouis sont familières, c’est sans doute car Tchaïkovski fera usage de ce pastiche dans sa suite pour orchestre Mozartiana.

Premier mouvement de la Sonate, K.331

Rendue célèbre par son Rondo à la turque, le premier mouvement de cette sonate propose une clinique sur le genre « thème et variations». Le thème original exploiité ici suggère des échios de l’enlèvement au Sérail – tout comme le fameux Rondo.

Le compositeur allemand Max Reger exploitera lui aussi ce thème pour un autre ensemble de variations, cette fois pour orchestre, et souvent entendue dans une adaptation pour deux pianos. Variations et fugue sur un thème de W. A. Mozart, Op.132 (op. 132a pour deux pianos) est sans doute son œuvre la plus célèbre.

Bonne écoute!

DETAILS
Wolfgang Amadeus MOZART (1756-1791)
Variations (12), en ut majeur, pour piano sur "Ah, vous dirais-je maman", K. 265
Clara Haskil, piano

Variations (12), en si bémol majeur, pour piano sur un Allegretto, K. 500
Colin Tilney, pianoforte

Variations (9), en ut majeur, pour piano sur "Lison dormait" de la comédie "Julie" de Nicolas Dezède, K. 264
Evan Kuei, piano

Troisième mouvement (Thema avec 12 Variations) de la sonate no. 6, en ré majeur, "Durnitz" pour piano, K. 284
Andras Schiff, piano

Premier mouvement (Tema. Andante grazioso) de la Sonate no. 11, en la majeur, "Alla turka" pour piano, K. 331
Christoph Eschenbach, piano

Variations (10), en sol majeur, pour piano sur l'air "Unser dummer Pobel meint" de l'opéra "Pilger von Mekka" de Christopher Willibald Gluck. K. 455
Wilhelm Kempff, piano

Max REGER (1873-1916)
Variations et fugue sur un thème de W. A. Mozart, Op. 132a
Aglika Genova et Liuben Dimitrov, pianistes duettistes


vendredi 10 janvier 2014

Thème et Variations: l’édition Beethoven






Le montage # 138 est disponible pour écoute et téléchargement depuis la chaîne Community Audio du site Internet Archive à l'adresse suivante: https://archive.org/details/pcast138


pcast138-Playlist.pdf

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Pour le deuxième volet de notre série sur les thèmes et variations, un regard particulier sur les variations composées par Beethoven, spécifiquement ses variations pour piano. Exception faite de la première sélection au programme - des variations pour violoncelle et piano - l'essentiel des choix retenus pour la portion Beethoven du programme provient du catalogue des variations pour clavier.

Trois des variations retenues ne sont pas du répertoire HKinsky (i.e. avec des numéros d'opus). Deux d'entre elles s'inspirent d'airs d'un obscur opéra, La Molinara (1788) de Giovanni Paisiello. La troisième, plus connue, est un ensembre de 32 variations sur un thème original (les variations WoO 80).

Les variations développées dans l'opus 35 s'inspirent d'un motif composé originalement par Beethoven pour son ballet Die Geschopfe des Prometheus, et repris (et ,ieux connu) comme provenant de sa troisième symphonie, d'oû le sous-titre "Variations Eroica". La version retenue ici est d'une prestation radiophonique de Glenn Gould en date du 5 octobre, 1952.

Pour d'autres variations pour piano, incluant les variations Diabelli, visitez le site Piano Society.

La dernière pièce au programme est un hommage à Beethoven de la part de Camille Saint-Saëns. Cet hommage s'inspire du trio de la 18e sonate pour piano (mouvement inclus dans le montage, prestation complète de la sonate incluse ci-dessous.



C'est un choix assez étrange pour , un thème; ses petites phrases se composentd'accords saccadés, suivis d'un bfer numéro plus mélodique. D'un autre côté, il est idéal pour des pianistes duettistes parce que les accords font écho et sont facilement partagés entre les deux artistes. Les variations de Saint-Saëns sont comparables stylistiquement à ce que Beethoven aurait écrit, en termes de diversité et de virtuaosité.

Bonne écoute!.

mardi 7 janvier 2014

Un Hommage à Mozart

Le billet suivant est mon Mardi en Musique du 7 janvier 2014

Ce billet reprend le Montage # 70 (Commentaire original: http://itywltmt.blogspot.ca/2012/09/montage-70-hommage-mozart.html)





pcast070- Playlist


L’arc thématique du mois de janvier pour mes billets “B+B” est Thèmes et Variations – une exploration de cette formule dans tous ses attraits (par exemple, baséessur le 24e caprice de Paganini).

J’ai donc dépoussiéré cette baladodiffusion de september 2012 (notre mois de montages autour de Mozart) et proposerai ici deux, sinon trois, œuvres qui usent de la formule ou tout au moins, comme c’est le cas pour les Réminescences de “Don Juan” de Liszt, retape et réinvente des arias de Don Giovanni.

Pur un hommage musical à Amadeus, André Gagnon (longtemps appelé le Mozart Canadien pour des raisons obscures) propose une petite pièce bien en place. Tant qu’au concerto étudiant de Beethoven, je l’ai retenu car il m’apparaît beaucoup plus Mozartien que Beethovenien – qu’en pensez-vous?

L’adagio de la 98e symphonie de Haydn est l’expression musicale d’un collègue et d’un admirateur apprenant le décès d’un grand Maître.

Fernando Sor développe ses variations sur "Das klinget so Herrlich" extrait de la flûte enchantée. Tchaïkovski, tant qu’à lui, se contente d’adapter quatre pièces de Mozart pour orchestre:


Cette audition de la quatrième suite de Tchaïkovski set d’avant-goût à notre billet de mardi prochain…

Bonne écoute!

Hyperlien (Internet Archive): http://archive.org/details/HommageMozart

dimanche 5 janvier 2014

Les variations GOULD-berg




Le billet suivant est une reprise d'un Quinze que j'en pense, datant originalement du 15 octobre 2011.

Le contenu musical et texte furent revisés afin d'adresserdes commentaires.

Fils de discussion connexes:

Les Variations Goldberg
Une "nouvelle version" des Variations Goldberg par Glenn Gould ?

Le 21 juin 1954, la radio anglaise de la société Radio-Canada annonce un changement à sa programmation régulière. L’émission hebdomadaire Distinguished Artists durera exceptionnellement 45 minutes, afin d’accommoder son invité et l’œuvre qu’il a choisi d’interpréter.

L’artiste distingué est un jeune pianiste de 21 ans du nom de Glenn Gould, et il interpréta ce soir-là les variations Goldberg de Jean-Sébastien Bach. Je reviedrai plus tard cette année avec une réflexion spécifique commémorant le 60e aniversaire de cet éphéméride musical, mais en atttendant, je vous propose une petite expérience...

Glenn Gould est un pianiste qui polarise notre communauté de mélomanes. Pour certains, il est une figure de culte, et chez d’autres un mystérieux et étrange pianiste, et parfois même un homme aux opinions controversées. Il demeure toutefois que son talent, sa technique, et son sens de l’interprétation méritent amplement l’admiration de la majorité des mélomanes. Son retrait de la scène publique et son décès prématurés ne font que nourrir le mythe qui entoure cet artiste, musicien, et maître d’œuvre de productions sur disque, à la radio et à la télé.

"GG" et les variations Goldberg sont inséparables – je ne peux penser à une autre combinaison d’œuvre et d’artiste qui possède le même cachet, ou qu’on puisse associer d’une façon aussi incontournable. Si vous me permettez l’analogie, ses enregistrements des Goldberg en 1955 et 1981 sont la paire d’appuie-livres parfaits, l’alpha et l’oméga de sa discographie (hormis les quelques enregistrements mis en marché posthumément.) En plus des disques, il doit y avoir des dizaines de performances publiques par GG entre 1954 et 1964, et au moins deux prestations télévisées, dont celle-ci, datant du 3 juin 1964:

Difficile à croire aujourd’hui, mais avant la parution de son enregistrement en 1955, la discographie de ce chef-d'oeuvre est plutôt mince, et sans doute l'interprétation la plus acceptée étant celle-ci, datant de 1933, par la claveciniste Wanda Landowska. Depuis la version GG de 1955, il y a eu une véritable prolifération d’enregistrements de cet opus, au clavecin ou au piano, et plusieurs d’entre elles plus "traditionnelles". Mon objectif aujourd’hui est de commenter les quatre enregistrements faits par Gould et disponibles sur CD. Les voici, en ordre chronologique d’enregistrement:

La séance radiodiffusée du 21 juin 1954

En 1995, la Société Radio Canada a entrepris le transfert des enregistrements témoin des performances de Glenn Gould à la radio pour sa série de disques «Perspectives». Un coffret des rassemble l'ensemble de ces enregistrements sous le nom "GOULD: The Young Maverick" et fut l'objet d'une Chronique du Disque en octobre 2011 (avec hyperlien e téléchargement) .De ces prestations, la SRC a retenu la performance des Goldberg mentionnée au début de mon intervention. Celle-ci précède de près d’in an jour pour jour la session en studio pour Columbia qui a rendu Gould célèbre. Dans cette prestation, GG offre une performance bien en place, et propose un aria da Capo qui présage l’aria très lent de 1981. Un document pour les mordus, qui néanmoins met en valeur la dextérité et l’approche musicale typiques de cet interprète.

Enregistrement Mono en studio (Columbia, 10-16 juin 1955)



C'est ce disque qui lance la carrière internationale et discographique de Gould. Le nombre de copies vendues de ce disque sont (même aujourd’hui) phénoménales: 40 000 copies entre 1955 et 1960, et plus de 100 000 copies au moment de son décès en 1982. Les notes offertes en pochette (de la plume du pianiste) offrent un regard sur l’approche et le génie de l’interprète (en anglais)

(Enregistrement disponible sur mqcd-musique-classique.com)

Festival de Salzbourg, 25 août 1959


Cet enregistrent stéréo fut mis en marché après le décès de l’interprète et représente un document spécial, compte tenu du dédain légendaire que Gould avait des performances publiques. Dans ce cas-ci, toutefois, même Gould admit lui-même que cette performance fut une rare expérience où tout se plaça parfaitement devant un public chaleureux. Contrairement aux enregistrements précédents, vous entendrez la "carte de visite" de GG - sa manie de chantonner en jouant... (Plus de détails dans mes Coups de Coeur 2011).

Enregistrement numérique en studio (CBS, avril et mai 1981)


Depuis Salzbourg, Gould aura cessé ses performances pibliques (en 1964) pour se consacrer è la mise en oeuvre de projets à la radio et à la télé, et se limite au studio pour faire de la musique, et aura ainsi touché l'ensemble de l'oeuvre pour clavier de Bach, et même cetaines oeuvres pour l'orgue. GG accepta de revisiter les Goldberg environ 25 ans après son enregistrement historique, dans le même studio New-Yorkais de Columbia, mais cette fois pour le compte d’une nouvelle technologie (le numérique) et fort de plus de 15 ans de travail exclusif en studio. Il s’agît ici du document, du legs si on veut, d’un vieux routier, qui comprend et maîtrise tous les aspects de la production et post-production d’un enregistrement dans tous ses détails. On ne peut que croire qu’il s’agît du document « parfait », réalisé exactement à l’image de l’artiste et une représentation en tous points fidèle à sa conception de la performance de cette pièce. Le cinéaste et collaborateur de Gould, Bruno Monsaingeon, filma les sessions en studio, et en réalisa un documentaire tout à fait fidèle à l’enregistrement mis sur le marché par CBS.



Il existe sur YouTube bon nombre de clips qui comparent ces différentes versions. Je vous en propose deux:





Toutes ces versions ont leurs points forts, leurs faiblesses et leur cachet historique particulier. Notez, par exemple, comment Gould devient de plus en plus introspectif et excentrique au long de cette série de performances. Si je dois en choisir une comme « préférée », je choisirais sûrement la version Salzbourg, justement à cause du caractère unique des circonstances entourant cette prestation.

vendredi 3 janvier 2014

Thème et variations - l'édition Paganini





Le montage # 137 est disponible pour écoute et téléchargement depuis la chaîne Community Audio du site Internet Archive à l'adresse suivante: https://archive.org/details/pcast137




pcast137- Playlist


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Le billet B + B de cette semaine lance une série de cinq volets qui explorent la formule thàme et variations.

En musique, la variation est une facon de produire des notes de multiples phrases musicales par des modifications apportées à un « thème ». Les modifications peuvent être de différentes nature: mélodique,
rythmique, harmonique ou la combinaison de l'un à l'autre, le thème initial pouvant alors devenir presque méconnaissable. La variation, qui est l'un des procédés les plus féconds de la musique occidentale et est inspiré du cantus firmus de la liturgie médiévale, a donné naissance à des formes spécifiques — chaconne, passacaille, air varié (qui est synonyme, au moins dans l'usage qu'en fond les compositeurs, de « Thème et variations »). Un excellent exemple de cette forme est le 24e des caprices pour violon seul de Paganini'.

La pièce, en la mineur, consiste d'un thème, suivi de 11 variations et d'une séquence finale. La virtuasité et la technique requise du violoniste prouve ce qu'on sait non seulement de Paganini et de son instrument, mais également explique pourquoi cette formule fut explitée par tant de grands virtuoses.

Le thème de ce caprice inspura plus d'un compositeur - j'ai choisi de monter leurs explorations en plus de l'original de Paganini:


  • Liszt: Six Grandes Études de Paganini pour piano solo (la sixième use du 24e caprice, et le montage les présente intégralement)
  • Brahms: Variations sur un thème de Paganini
  • Rachmaninov: Rhapsodie sur un thème de Paganini 

Bonne écoute!

mercredi 1 janvier 2014

Die Fledermaus (J. Strauss II)

Vous devez vous rapporter à la prison le soir du Nouvel An. Que faites-vous?

La fête, bien sûr!

C'est essentiellement l'intrigue loufoque de l'opérette Die Fledermaus (La chauve-souris) de Johann Strauss. On flirt, on trinque et le tout encadré de la bonne musique de Strauss! Que pourriez-vous demander de plus?

Les Autrichiens ont une longue tradition d'accueillir de la nouvelle année avec une performance de Die Fledermaus. DEs sentiments musicaux comme "Glücklich ist, wer vergisst, était doch nicht zu ändern ist ..." ("Heureux celui qui oublie ce qui ne peut être changé ...") et l'histoire d'un bal masqué font que cette Opérette populaire est appropriée pour les circonstances du Nouvel Ane. La performance du Nouvel An de Fledermaus est aussi une tradition à Prague, ainsi que dans de nombreuses autres parties du monde.

C'est donc mon cadeau du Nouvel An pour mes lecteurs! Bonne année 2014!



Johann STRAUSS II (1825 - 1899)
Die Fledermaus (1874)
Livret en allemand de Karl Haffner et Richard Genée.

DISTRIBUTION PRINCIPALE
Julius Patzak - Gabriel von Eisenstein
Hilde Güden - Rosalinde
Kurt Preger - Frank
Sieglinde Wagner - Prince Orlofsky

Cheirs du Wiener Staatsoper,
Wiener Philharmoniker sous Clemens Krauss
Musikvereinsaal, Vienne, 22 June, 16-22 Septembre 1950

 

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