Le Mardi en Misique de cette semaine propose notre montage # 340. Il est disponible pour écoute et téléchargement depuis la chaîne Community Audio du site Internet Archive à l'adresse suivante: https://archive.org/details/pcast340 |
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Contrairement à d’autres montages de cette série, avec l’avantage d’environ 7 d’entre eux si nous incluons trois playlists du mardi provenant d’une compilation Time Life, nous considérons ici trois concerti que nous avons programmé au moins une fois dans le pass. é. Je n’ai pas souvent tendance de revisiter des pièces sauf pour des raisons de programmation spécifiques. Le cas ici est en partie afin de consolider ces concerti dans un montage quand le temps viendra plus tard de créer une intégrale pour ma chaîne Pod-O-Matic.
Les deux concerti solo - nos 8 et 17 - ont été présentés dans un mardi en musique et sur un B+B du vendredi respectivement, et sont en repris ici dans de nouvelles performances. Le Concerto no 10 (le concerto pour deux pianos, K. 365) était proposé dans un autre montage en 2012, toujours avec différents solistes.
Vladimir Ashkenazy a déjà été présenté dans cette série (janvier l’année dernière), et les deux conceri dans lequel il est soliste font partie de son intégrale Mozart où tous les « concerti solo » le mettent en vedette l’orchestre Philharmonia les dirigeamt du clavier. Dans les deux concertos à « multiples claviers » de cet ensemble (concerto pour 2 et 3 claviers), Decca a réutilisé des interprétations faisant partie d’un disque unique distinct mettant en vedette lui et Daniel Barenboim, avec ce dernier dirigeant l’English Chamber Orchestra à partir du clavier; un troisième pianiste, protégé de Barenboim de l’époque, est assis au troisième clavier pour le concerto pour trois pianos.
Pour le concerto de Lützkow, j’ai défriché une performance de Barenboim avec le même orchestre. Dans les années 1960, alors qu’il était encore dans la vingtaine, Daniel Barenboim s’est associé à l’English Chamber Orchestra pour enregistrer une intégrale des Concertos pour piano de Mozart. Plus tard, il les enregistra à nouveau avec l’Orchestre philharmonique de Berlin, mais la version de l’English Chamber Orchestra a toujours l’avantage de son mordant et de sa beauté, de sa mellifluosité opératique compensée par une énergie apparemment sans limites et une atmosphère de création musicale inspirée et intime du début à la fin.
Bonne écoute