Le montage # 153 est disponible pour écoute et téléchargement depuis la chaîne Community Audio du site Internet Archive à l'adresse suivante: https://archive.org/details/pcast153 |
pcast153-Playlist.pdf
=====================================================================
C'est lors de leur première rencontre, à la veille de la première de la Symphonie fantastique que Berlioz introduit Liszt à la pièce Faust de Goethe. Le compositeur Hongrois y trouve quelquechose, car deux des ses oeuvres les plus ambitieuses (sa sonate poir piano en si bémol et Eine Faust Symphonie, en plus des deux épisodes de Faust par Lenau), trouvent leyur soyrce dans ce fameux récit.
L'audition d'une autre création de Berlioz (La Damnation de Faust) est le tremplin pour cette symphonie basée sur Faust, avec une première version pour petit orchestre en 1854, et une version finale (avec chowurs) en 1857.
La structure de cette symphonie soutient trois portraits distincts des trois protagonistes principaux du récit, qui reçoivent chacun un mouvement sous forme de poème symphonique.
Le premier mouvement, "Faust" suit la formle du mouvement intial d'une symphonie - un allegro sous forme de sonate. A trente minutes, c'est le mouvement le plus long. "Gretchen," est le mouvement lent et méditatif et "Méphisto" conclut avec une finale grotesque qui se transforme en chorale mystique (le chosus mysticus de la fin du Tome II).
La prestation retenue est du chef hpngrois Antal Doráti (1906 –1988), croqiée sur le vif au Concetgebouw d'Amsterdam. Dorati est une figure de proue du disque stéréo, ayant dirigé plus de 600 enregistrements pour un large éventail de labels. Qui n'a pas entendu son enregistrement London Phase 4 de l'Ouverture "1812" de Tchaïkovski assorti de canons, de cloches d'église et autres artifices bombastes?
Comme son compatriote Georg Solti, Dorati s'implique amplement dans la musique de Liszt, dans une direction émotive quoique scrupuleusement disciplinée. La prise de son numérique (cet enregistrement Phulips est l'un de leiurs premiers) peut sembler lourd, mais l'esemble est une réussite de musicalité!
Bonne écoute!
L'audition d'une autre création de Berlioz (La Damnation de Faust) est le tremplin pour cette symphonie basée sur Faust, avec une première version pour petit orchestre en 1854, et une version finale (avec chowurs) en 1857.
La structure de cette symphonie soutient trois portraits distincts des trois protagonistes principaux du récit, qui reçoivent chacun un mouvement sous forme de poème symphonique.
Le premier mouvement, "Faust" suit la formle du mouvement intial d'une symphonie - un allegro sous forme de sonate. A trente minutes, c'est le mouvement le plus long. "Gretchen," est le mouvement lent et méditatif et "Méphisto" conclut avec une finale grotesque qui se transforme en chorale mystique (le chosus mysticus de la fin du Tome II).
La prestation retenue est du chef hpngrois Antal Doráti (1906 –1988), croqiée sur le vif au Concetgebouw d'Amsterdam. Dorati est une figure de proue du disque stéréo, ayant dirigé plus de 600 enregistrements pour un large éventail de labels. Qui n'a pas entendu son enregistrement London Phase 4 de l'Ouverture "1812" de Tchaïkovski assorti de canons, de cloches d'église et autres artifices bombastes?
Comme son compatriote Georg Solti, Dorati s'implique amplement dans la musique de Liszt, dans une direction émotive quoique scrupuleusement disciplinée. La prise de son numérique (cet enregistrement Phulips est l'un de leiurs premiers) peut sembler lourd, mais l'esemble est une réussite de musicalité!
Bonne écoute!
0 commentaires:
Publier un commentaire