mardi 1 septembre 2015

By George!


Le billet suivant est ma sélection souvenoir pour septembre 2015.

Ce billet reprend le Montage # 79 (Commentaire original: 
http://itywltmt.blogspot.com/2012/11/montage-79-in-memoriam-george-gershwin.html)




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La sélevtion souvenir reprend notre hommage au compositeur George Gershwin, décédé en 1937, deux mois à peine avant son 40e anniversaire de naissance.
On ne peut que spéculer à savoir ce que M. Gershwin aurait fait s’il aurait vécu un autre 40 ans… Les dernières ann.ées de sa vie furent investis dans un projet d’envergure (son grand opéra Porgy and Bess) et des collaborations hollywoodiennes avec son frère Ira. On auraoit pu s’attendre, sans doute, à d’autres musiques de film, et sans doute d’autres aventures ,musicales pour la salle de concert ou même la scène.
La vaste majorité de la production Gershwinienne se trouve dans le domaine de la chanson, et plus spécifiquement la tradition de la comédie musicale (il en signera plus d’une quinzaine). La plupart de mes sélections cette semaine sont des adaptations instrumentales de ses chansons.
Earl Wild et ses études
Le montage commence avec une poignée de sélections parmi les sept études “de virtuosité” que le pianiste et arrangeur Earl wild créa à paritr de sept chansons de Gerhwin.

Il serait facile de dire que les chansons populaires de Gershwin sont des chansonnettes, des tubes dans le sens le plus commercial du terme – mais ce seraiot nier leur subtilité et leurs riches harmonies, qui forment le carburant qui alimente ces études de virtuosité. Voidi l"intégrale:




Des chansons, telles quelles ou à la mode
Peu importe si on attaque les chansons de Gershwin sans faôn (comme MM. Gould et Kostelanetz) ou si on laisse l’âme des grands jazzmen (Parker, Hyman et Goodman) ré-inventer ces grands standards, le résultat reste tout à  fait satisfaisant!
Porgy and Bess
Georges Bizet n’a que comme dernier souvenir l’échec de Carmen – et la même chose s’applique à Gershwin eyt son grand opéra. Depuis bientôt 50 ans (grâce à la version cinématograophiqye de M. Preminger et la direction musicale d’un jeune Andre Previn), Porgy est considéré comme la plus gramde œuvre de son genre à avoir vu le jour depuis la plume d’un compositeur né en Amérique. En plus d’extraits dirigés par M. Previn, on entend aujourd’hui des adaptations signées Miles Daviis et Oscar Peterson de certains des arias les plus connus.
Le Gershwin “classique”
L'an dernier, j’ai monté An American in Paris, et j’ai programmé aujourd’hui une adaptation d’extraits de ce poème symphonique par le trompettiste Harry James. En plus,je vous invite à entendre Gershwin jouer Gershwin…

Gershwin était un pianiste réputé, créant lui-même ses préludes pour piano lors d’un récital à l’hôtel Roosevelt de New-York. En 1928, il signe un enregistrement pour la maison Columbia:


En plus d’enregistrements en studio, Gershwin signera un bon nombre de prestations pour des facteurs de rouleaux pour piano mécanique. Je vous propose d’ailleurs de lire un article quei discute du sujet en profondeur (en anglais, http://www.richard-dowling.com/GershwinRollsNotes)
Un de ces rouleaux, qui date de 1925, fut l’objet d’une expérience sur disque de la part de Michael Tilson Thomas (comme Previn, en début de carrière). Tilson-Thomas dirige un ensemble de pigistes (“Columbia Jazz Band”) dans une performance de la célèbre Rhapsody in Blue avec le rouleau frappé par Gershwin agissant comme soliste. A noter le temps d’exécution de 13 minutes et quelques, comparativement aux 18 minutes habituelles – M. Gershwin joue toutes les noites, je peux vous l’affirmer. Quel train d’enfer!
Bonne écoute!

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