vendredi 24 juillet 2015

Clara Haskil & Mozart





Notre montage # 206 est disponible pour écoute et téléchargement depuis la chaîne Community Audio du site Internet Archive à l'adresse suivante: https://archive.org/details/pcast206


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Nos B + B avec montage sont de retour cette semaine avec un autre volet de nogre série sur les concertos de Mozart, et une grabde interprète du passé.

La pianiste rounaine Clara Haskil ebtreprend sa carrière à six ans, après son admission au Conservatoire de Bucarest. SUivront des études à Vienne (auprès de Richard Robert, qui fut le sujet d'un biklet il y a quelsques années), ensuite brièvement avec Ferruccio Busoni. A 10 ans, on l'admet au Conservatoire de Paris (confiée à Alfred Cortot), et elle y recevra le premier prix lors de sa promotion en 1910, âgée de 15 ans.

Vouée à une grande carrière, Clara HGaskil devra subir sa quote part d'épreuves - maladies,un trac violent, qui conspirent afi de miner sa carrière. Elle parvient tout de même à être reconnue par la critique en Europe et ayx USA. Toutefois, avec l'arrivée de la Deuxième Guerre Mondiale, elle doit prendre le maquis, et même surmonter une tumeur du nerf optique. Elle parviendra finalement en Suisse en 1942, là où elle s'istalle définitivement. C'est avec un cioncert au Pays Bas en 1949 que sa carrière finalement prend son essor.

Mme Haskil est reconue comme une interprète classique et romantique, au récital, avec des collaborateirs de musique de chambre et avec de grands orchestres. Un de ses enregistrements les plus mémorables date de novembre 1960 (environ un mois avamt son décès suite à une chute dans une gare de Bruxelles) - elle interprète les concerti nos. 20 et 24 de Mozart avec Igor Markevitch et l'Orchestre Lamoureux. Cet enregustrement est présenté dans notre montage intégralement, complété par le concerto no. 27.

Bonne écoute!




vendredi 17 juillet 2015

Les vacances de Mozart

B + B En Vacances reprend des billets publiés sur d'autres plateformes. Le billet suivant est la reprise d.un billet bilingue ITYWLTMT du 29 juillet 2011.

Certains propos et hyperliens furent revisés pour cette rééedition.



Le volet d’aujjourd’hui de notre série Mozart consiste de liens musicaux plutôt que d’un montage baladodiffusé. En vedette, trois symphonies dont les surnoms rappellent les voyages du compositeur. 

Symphonie No. 31 “Paris”
Mozart a visité la France à deux occasions: lors d’une tournée de jeunesse chapeautée par son père, Léopold, et plus tard, lorsqu’un Mozart jeune adulte était à la recherche d’un emploi et de commandites.
Lors de ce deuxième séjour, Mozart s’est mêlé à l’aristocratie française, et a enseigné – entre autres – chez le duc de Guines, dont la fille était une harpiste «magnifique». Mozart a composé son concerto pour flûte et harpe à leur intention, et a également produit ses concerti pour flûte, son ballet Les petits riens, et cette symphonie.
Symphonie No. 38 “Prague”
La réputation de Mozart s’étalait de par l’empire Austro-Hongrois, et la ville de Prague a eu sa part de premières. On dit que Mozart avait un faible pour les résidents de cette ville, et on lui attribue "Meine Prager verstehen mich" ("Mes Pragois me comprennent
Lors de la première locale des Noces de Figaro, les musiciens et mélomanes locaux ont invité Mozart afin qu’il puisse assister à la performance. Il arriva le 11 janvier 1787, et se produit en concert le 19 janvier, avec la première de sa symphonie en ré mineur dorénavant surnommée «Prague».
Symphonie No. 36 “Linz”
Linz est la troisièeme ville d’importance en Autriche, et fut un des arrêts d’un Mozart jeune marié, lors d’un voyage en 1783 qu’on pourrait qualifier de lune de miel.
La bru du comte Thun était l’émule de Mozart, et il fut l’invité du comte lors de ce séjour, en 1783. Le comte organisa une académie de concert pour Mozart (i.e., un concert au profit du compositeur). Si on comprend la correspondance entre Mozart et son père, cet événement imprévu prit Mozart de court, et il dut produire une symphonie pour le concert car, en ses propres mots «je n’en ai pas avec moi».
Ô comble de malheur! Dans ses valises, hormis ses bobettes, pas de symphonie…
Il s’en suit que sa symphonie en ut majeur («Linzer») fut composée en quatre jours, et représente fort probablement le summum de la symphonie dite classique.
Bon séjour, et bonne écoute

Wolfgang Amadeus MOZART (1756-1791)
Symphonie no. 31 en ré majeur, K. 297  "Paris"
Mozart Akademie Amsterdam
Jaap Ter Linden, direction




Symphonie no. 36 en ut majeur, K. 425 "Linz"
Berliner Philharmoniker
Karl Böhm, direction




Symphonie no. 38 en ré majeur, K. 504 "Prague"
Philharmonia Orchestra
Otto Klemperer, direction


no. 39)

vendredi 10 juillet 2015

Mitsuko Uchida & Mozart





Notre montage # 205 est disponible pour écoute et téléchargement depuis la chaîne Community Audio du site Internet Archive à l'adresse suivante: https://archive.org/details/pcast205



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Le B + B de cette semaine lance une série de quatre billets et monatges inédits, tous dédiés à l'exploration des concerti pour piano de Mozart.

Comme corpus - 27 concerti "numérotés" ainsi que de nombreux mouvements et autres oeuvres concertantes fragmentaires - l'étendue de l'oeuvre concertante pour piano de Mozart rivalise avec sa contribution symphonique tant qu'à son envergure. Dans le genre, seul Carl Philip Emmanuel Bach (ave une cinquantaire) en a composé autant. Les autres pianistes-compositeurs "réunis" (Beethoven, Rachmaninov et Saint-Saëns) approchent ce nombre...

La production Mozartienne s'étale tout au long de sa carrière, touchant toutes ses phases de composition - allant du naïf (voire plagiat) jusqu'à un style presque Romantique. On doit à Mozart - comme pour Haydn dans la symphonie - la formule du concerto pour piano eb trois mouvements, assorti de cadences, de mouvements lents rêveurs et de rondos époustoufflants.

Chose surprenante pour moi, on entend rarement les concerti de Mozart lors des épreuves de concours de piano - on préfère les Russes. Mozart était sûrement un pianiste hors-pair, mais la gymnastique exigée pour les Rachmaninov er Prokofiev est différente, plus flamboyante... Ceci n'enlève rien à la subtilité et la musicalité requise pour Mozart.

Au cours des ans, j'ai prigrammé assez peu de concertos de ce corpus (les no. 1, no. 10, no. 21 etno. 26, 10 et 26 revenant dans des sélections souvenir). Le no. 8 a figuré dans un Jadis sur Internet. Au cours de cette nouvelle série, j'en présenterai 12 - 3 par montage - certains provenant d'intégrales.. C'rst le cas avec les choix d'aujourd'hui.




Née à Atami, une ville côtièreprès de Tokyo, Mitsuko Uchida s'installe à Vienne avec ses parents à l'âge de 12 ans - son père était l'Ambassadeur du Japon en Autriche pour 5 ans. Elle s'inscrit au conservatoire local et continuera ses études après que son père soit rappelé au Japon. Parmi ses professeurs, on compte  Richard Hauser, Wilhelm Kempff, Stefan Askenase, Maria Curcio, tet même Artur Schnabel (ellefut son dernier élève).

Le répertoire de madame Uchida va de  Beethoven et Mozart à Schönberg et même Boulez. On l'entend comme soliste et diruge même du piano (elle a entrepris une mini-intégrale Mozart avec le Cleveland Orchestra comme chef et soliste!)

Naturalisée citoyenne Britanique, elle est nommée Dame Commander en 2009,

Les conceri retenus cete semaine sont de son intégrale Philips, avec l'English Chamber Orchestra et Sir Jefrey Tate.

Bonne écoute!


vendredi 3 juillet 2015

Idomeneo (Mozart)

B + B En Vacances reprend des billets publiés sur d'autres plateformes. Le billet suivant est l'adaptation française d.un billet opératique émis sur OperaLively le 14 septembre 2012.

Certains propos et hyperliens furent revisés pour cette rééedition.



Le premier volet de notre série estivale destinée à la musique de Mozart est notre opéra du mois pour juillet, Idomeneo.

Mozart rêvait sans cesse d’opéras depuis sa plus tendre enfance ; il compose son premier opéra parlé à 11 ans. Au total, il composera principalement 18 opéras dont certains font partie des plus hauts chefs d’œuvres de la musique classique.

Quand on pense à Mozart, on pense aux grands opéras bouffe, mais on oublie que Mozart a quelques opéras sérieux – des opéras seria comme on les appelle dans le jargon.

Idomeneo, re di Creta, (trad, lit. Idoménée, roi de Crète), est un opera seria directement inspirée du mythe antique d'Idoménée. Mozart et son librettiste Giambattista Varesco se sont en grande partie inspirés de l'œuvre du même nom du compositeur français André Campra, Idoménée, publiée en 1712.

Selon le mythe Grec, Idoménée conduisit les troupes de Crète au siège de Troie, avec une flotte de quatre-vingts vaisseaux, et s'y distingua par quelques actions d'éclat. Après la prise de la ville, ce prince, chargé de dépouilles troyennes, retournait en Crète, lorsqu'il fut assailli par une tempête, où il pensa périr.

Dans le pressant danger où il se trouva, il fit vœu à Poséidon (substitué par Neptune, le Dieu Romain dans l’opéra de Mozart) de lui immoler, s'il revenait dans son royaume, le premier être vivant qui se présenterait à lui sur le rivage de Crète. La tempête cessa, et il aborda heureusement au port, où son fils, averti de l'arrivée du roi, fut le premier être qui parut devant lui.

On peut s'imaginer la surprise et en même temps la douleur d'Idoménée quand il l'aperçut. Le mythe est résolu de maintes façons, mais dans la version Mozart, Idoménée refuse de sacrifier son fils, choisissant plutôt de l’exiler. La colère du Dieu des Mers s’en suit, et suite à une séried d’actes héroïques, et de la réaction populaire favorable à son fils, Idoménée lui cède le trône.

À l'automne 1780, Karl Theodor de Bavière réalise une promesse qu'il avait faite à Mozart de lui commander un opéra pour le carnaval de Munich. C'est la princesse-électrice de Bavière qui choisit elle-même le livret, car elle avait lu la vieille tragédie d'Idoménée de Danchet. Varesco fut chargé d'adapter le livret. La première représentation eut lieu le 29 janvier 1781 au théâtre Cuvilliés de Munich1. Dans les jours qui suivirent, trois représentations furent données.


A l’approche du 150e anniversaire de sa création, le Festival de Munich commanda une nouvelle édition de l’opéra de Mozart de la part d’Ermanno Wolf-Ferrari (1931). Agin de souligner la même occasion, l’Opéra de Viene commadera un opéra sur le même sujet de la part de Richard Strauss - Elektra.

LA PERFORMANCE



La performance retenue en est une de studio, sous la baguette de Sir Colin Davis. COmme c'est mon habitude, lMaction de chaque acte est précédé du commentaire (en anglais) de Sean Bianco.

Wolfgang Amadeus MOZART (1756-1791)
Idomeneo, re di Creta ossia Ilia e Idamante, K. 366) 
Opera Seria en trois actes, livret italuen de Giambattista Varesco adapté depuis l'oeivre d'Antoine Danchet

Barbara Hendricks, Ilia 
Francisco Araiza, Idomeneo (Idomeneus)
Susanne Mentzer, Idamante (Idamantes) 
Roberta Alexander, Elettra (Electra)
Uwe Heilmann, Arbace (Arbaces) 

Choeurs et orchestre symphonique de la Radiodiffusion Bavaroise
Sir Colin Davis, direction
Argument: http://www.opera-orchestre-montpellier.fr/sites/default/files/fichiers/idomeneo_cp_2014.pdf
Livret : 
http://www.impresario.ch/libretto/libmozido_i.htm

 

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