Le billet su ivant est un de mes Quinze que j'en pense pour le mois de décembre 2020. |
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Le billet su ivant est un de mes Quinze que j'en pense pour le mois de décembre 2020. |
Le billet su ivant est un de mes Quinze que j'en pense pour le mois de décembre 2020. |
Le dernier Quinze que j’en pense pour 2020 est un autre partageprovenant de la série de compacts de la fin des années 90 produits sous le label maison du Royal Philharmonic.
Le
programme tout-Mozart propose je jumelage traditionnel des symphonies 40 et 41
sous la bahuette de Jane Glover, longtemps cheffe attitrée des London Mozart
Players. En complément, l’ouverture des Noces de Figaro.
Les
prestations sont,, sous sa baguette, induite d’une couche HIP en termes des tempi
et des attaques, quelque chose auquel nous sommes maintenant habitués pour le
répertoire de l’ère classique, mais qui au moment de la distribution originale
du compact restait quelque chose de novateur.
Un beau
disque pour conclure une année pas mal moins belle…
Bonne
écoute
Wolfgang Amadeus MOZART (1756-1791)
Le nozze di Figaro, K.492 - ouverture
Symphonie No.40 en sol mineur, K.550
Symphonie No.41en ut majeur, K.551 ('Jupiter')
Royal Philharmonic Orchestra
Jane Glover , direction
Recorded October 1993 at All Saints Church, Petersham, Surray
Tring International PLC – TRP004
RPO Records – 204404-201
Version initiale - 1993
Discogs - https://www.discogs.com/The-Royal-Ph...elease/6926786
YouTube - https://youtube.com/playlist?list=OL...jb-YwQbBTjLaTo
Cette sélection souvenir reprend le montage du 25 décembre 2015. Comme tous nos montages antérieurs, vous pourrez le trouver sur la chaîne Community Audio du site Internet Archive à l'adresse suivante: https://archive.org/details/pcast212 |
La sélection souvenir de cette semaine est notre montage de Noël de 2015, et je vous invite à visiter notre commentaire original pour nos réflexions habituelles.
Nous dérogeons de notre clip supplémentaire qui accompagne habituellement ces sélections, faisant plutôt place à note bilan annuel et notre playlist de clips accumulés au cours des douze derniers mois.
Accordons qie 2020 fut une année plutôt oubliable, avec la pandémie mondiale, et les dérangements sociaux et économiques qui l'ont acompagné. J'ai eu la bone fortune de pouvoir télétravailler, et ainsi notre situation n'a pas été aussi noire que pour plusieurs, moins fortunés.
Nos activités bloguesques n'ont pas été affectées par les évenements, et j'ose espérer que nos partages ont pu offrir qurlqur confort.
Nous sommes au premer tiers-temps de nore revue quotodienne (sur notre cha:ine Pod-O-Matic) de de l'ensemble de nos montages du vendredi, et ceci sera bouclé mardi le 31 août prochain avec notre 365e montage - nous prévoyons encore seize montages originaux (incluant celui-là) d'ici là.
Nous comptons poursuivre avec Quinze que j'en pense deux fois par mois, et dès le 1er septembre, noys continueronns de célébrer nos dix ans de blogs avec une revue de nos partages du mardi et autres. Plus de détails cet été.
Entre temps, je vous remercie pour vos comentaires ici et sur nos plateformes sociales.
Joyeux Noël
Pierre
Compilation annuelle - https://youtube.com/playlist?list=PL6swnss9F7SEXDc9zpMAlTLn2Vmduc_qD
Notre montage # 349 est disponible pour écoute et téléchargement depuis la chaîne Community Audio du site Internet Archive à l'adresse suivante: https://archive.org/details/pcast349 |
Pour ce
deuxième B+B de décembre nourrissant Beethoven @ 250, nous continuons avec le
thème commencé avec le partage quotidien d'hier présentant la musique incidente
pour König Stephan..
Bien qu'il
ait été critiqué par ses contemporains - dont beaucoup considéraient son
travail comme immoral - le dramaturge et écrivain allemand August von Kotzebue
était l'un des écrivains les plus populaires de son temps. Il était
politiquement conservateur et cosmopolite dans ses perspectives et s'est
prononcé contre l'antisémitisme des étudiants nationalistes
Il fut
approché en 1812 par Beethoven, qui suggéra à Kotzebue d'écrire le livret d'un
opéra sur Attila, qui ne fut jamais réalisé. Beethoven a cependant produit de
la musique accessoire pour deux des pièces de Kotzebue, Les Ruines d'Athènes
(opus 113 de Beethoven) et König Stephen (opus 117).
Beethoven
écrit peu pour la scène; en plus de son seul opéra (Fidelio) et de la musique
susmentionnée pour les deux pièces de Kotzebue, il nous a laissé son ouverture
pour la tragédie de Heinrich Joseph von Collin Coriolan, sa musique de ballet
Les créatures de Prométhée et la musique de scène de la tragédie de Goethe Egmont.
Le montage
d’aujourd’hui présente la musique d’Egmont et des ruines d’Athènes, toutes deux
mettant en vedette des numéros chantés, ainsi que le flair de Beethoven pour le
rythme et le drame.
Beethoven a
écrit la musique pour Egmont entre octobre 1809 et juin 1810. Composé pendant
les guerres napoléoniennes lorsque le Premier Empire français avait étendu sa
domination sur de vastes pans de l'Europe, Beethoven avait exprimé sa grande
indignation face à la décision de Napoléon Bonaparte de se couronner empereur
en 1804, biffant furieusement son nom dans la dédicace de la Symphonie
Héroïque. Dans la musique d'Egmont, Beethoven a exprimé ses propres
préoccupations politiques à travers l'exaltation du sacrifice héroïque d'un
homme condamné à mort pour avoir pris une position vaillante contre
l'oppression. L'ouverture d'Egmont est bien connue, de même que certains des
passages chantés, Die Trommel gerühret et Freudvoll und leidvoll.
Les ruines
d'Athènes fut une commande à August von Kotzebue pour l'inauguration d'un
nouveau théâtre à Pest. La musique la plus connue des Ruines d'Athènes est
peut-être la Marche turque, un thème qui a pris une place dans la culture
populaire. L'ouverture et la marche turque sont souvent exécutées séparément,
et les autres morceaux de cet ensemble ne sont pas souvent entendus.
En 1822, la
pièce fut relancée pour la réouverture du Théâtre de Vienne in der Josefstadt
avec un livret révisé de Carl Meisl, pour lequel Beethoven écrivit une nouvelle
ouverture, maintenant connue sous le nom de Consécration de la Maison,
op. 124, et a ajouté un refrain "Wo sich die Pulse" (WoO 98).
La musique
des Ruines d'Athènes a été retravaillée en 1924 par Richard Strauss et Hugo von
Hofmannsthal en 1926.
Bonne écoute!
Le billet su ivant est un de mes Quinze que j'en pense pour le mois de décembre 2020. |
La revanche
du vinyle pour décembre propose un disque que j’ai acquis lorsque j’étais
membre du club de disques Columbia. Il s’agit d’une interprétation du troisième
concerto pour piano de Rachmaninov avec Andrei Gavrilov en tant que soliste. Le
disque a été initialement publié en Union Soviétique sous son label national
Melodiya, mais réédité sous l étiquette CBS Masterworks.
Melodiya a
été créée en 1964 par le Ministère de la Culture de l'URSS et, en 1973, publie
quelque 1 200 disques avec un tirage total de 190 à 200 millions par an, en
plus de 1 million de cassettes, exportait sa production dans plus de 70 pays.
La
production du label était dominée par la musique classique, la musique de
compositeurs et de musiciens soviétiques, les performances d'acteurs de théâtre
soviétiques et les contes de fées pour enfants. Par exemple, Melodiya a
notamment diffusé des performances d'œuvres de Tchaïkovski et Chostakovitch.
Dans les
années 1970 et 1980, des enregistrements Melodiya de musique classique et
folklorique sont apparus sur les labels Melodiya / Angel (USA) et Melodiya /
HMV à la suite d'un contrat d'exclusivité avec EMI, propriétaire des deux
labels. Un plus petit nombre d'enregistrements a été distribué sur d'autres
labels, en particulier après 1989, avant que Melodiya n'accorde les droits
exclusifs à BMG en 1994. Après l'expiration du contrat BMG en 2003, la société réapparait
sous une nouvelle direction et en 2006 a commencé à rééditer des
enregistrements à travers son propre label.
Andrei
Gavrilov est né dans une famille d'artistes à Moscou; sa mère était la pianiste
arménienne Assanetta Eguiserian (20 décembre 1925 - 29 novembre 2006), qui
avait étudié avec Heinrich Neuhaus et donné à Gavrilov ses premières leçons de
piano à l'âge de 2 ans. À l'âge de 18 ans, après un semestre au conservatoire,
il a remporté le Concours international Tchaïkovski de 1974 et a acquis une
renommée internationale lorsque, au Festival de Salzbourg la même année, il a
remplacé Sviatoslav Richter. Jusqu'en 1979, Gavrilov se produit dans tous les
grands centres musicaux du monde en effectuant jusqu'à 90 concerts par an, tout
en poursuivant ses études à l'université.
Il y a des
éléments intrigants à propos de cet enregistrement de 1976. Réédité par EMI,
Eurodisc et distribué ailleurs par Meodiya, le nom de l’orchestre passe de
l’Orchestre philharmonique de Moscou, à l’Orchestre symphonique universitaire
d’État de l’URSS, puis à l’Orchestre symphonique de l’URSS… Ce concerto est
disponible sous les doigts de plusieurs solistes, toutefois Gavrilov se montre solide
et le résultat reste agréable.
En 1979, au
sommet de la carrière de Gavrilov, Herbert von Karajan, qui l'avait entendu
dans le premier concerto de Tchaïkovski à Berlin, proposa des enregistrements
de tous les concertos de Rachmaninov, malgré le fait que Karajan ne les dirigea
que rarement. En décembre 1979, des enregistrements sont programmés à Berlin
avec l'Orchestre philharmonique pour le 2e concerto, mais Gavrilov ne se
présente pas aux répétitions. On apprendra qu'en raison de ses remarques
critiques sur le régime soviétique, l'URSS avait saisi son passeport.
Quel aurait été le résultat de cet exercice?
Sergey RACHMANINOV (1873-1943)
Concerto No. 3 en ré mineur pour piano et orchestre, Op. 30
Lieu d'enregistrement – Grand Hall du Conservatoire de Moscou, avril 1976
Andrei Gavrilov, Piano
Ochestre Académique d'état d'URSS
Alexander Lazarev, direction
Label: CBS Masterworks – M 36685
Format: Vinyl, LP, Album
Emission: 1981
(Ed ition originale Melodiya, 1976)
Discogs - https://www.discogs.com/Rachmaninoff...elease/3213621
YouTube- https://www.youtube.com/playlist?lis...nS09LbCsCTfpIS
Internet Archive - https://archive.org/details/02-ii-intermezzo-adagio-iii
Cette sélection souvenir reprend le montage du 8 juin 2012. Comme tous nos montages antérieurs, vous pourrez le trouver sur la chaîne Community Audio du site Internet Archive à l'adresse suivante: https://archive.org/details/7And11 |
Cette
semaine, notre sélection souvenir date du début de 2012 et propose une œuvre de
notre jubilaire, Ludwig van Beethoven.
Le Trio
avec piano en si bémol majeur, op. 97, date de 1811. Il est communément appelé
le trio de l'archiduc, car il était dédié à l'archiduc Rodolphe d'Autriche,
lui-même pianiste amateur et mécène, ami et étudiant en composition de
Beethoven. Beethoven a dédié quatorze de ses compositions à l'archiduc, qui a
en retour dédié une des siennes à Beethoven.
Bien que le
"Trio Archiduc" soit parfois numéroté "N ° 7", la
numérotation des douze trios avec piano de Beethoven n'est pas normalisée, de
sorte que dans certaines sources l'Op. 97 trio peut être attribué un numéro
différent, le cas échéant.
L'utilisation
du 7 est aujourd'hui significatif, car toutes les œuvres de la playlist portent
le numéro 7 ou 11 - une référence aux jeux de hasard et à la spiritualité.
Le pari
fondamental des jeux de dés dans les casinos américains (le craps) est le pari
de la ligne de passe, qui est un pari pour que le tireur gagne. Si le le
résultat initial est de 7 ou 11, le parieur l'emporte. Mais il y a plus…
Le chiffre
7 symbolise la spiritualité et l'évolution spirituelle, l'éveil et
l'illumination spirituels. Ce nombre symbolise également la connaissance, la
foi, l'éducation, l'apprentissage, l'étude, l'enseignement, la compréhension
profonde des choses, les capacités psychiques, la guérison, la la sagesse,
l'intuition, les capacités empathiques, la philosophie et le mysticisme.
Le numéro 1
symbolise l'initiative, le point de départ, les nouveaux départs, les nouveaux
projets, de nouvelles entreprises, le succès, l'intuition, le progrès, le
progrès, l'ambition, la poursuite de vos objectifs, l'inspiration, la
détermination, la confiance, le leadership et la réalisation de votre réalité
avec vos pensées et vos attentes .
Onze est
composé de deux un, mais aussi le numéro 11 symbolise l'illumination et
l'enseignement, l'idéalisme, la conscience, le mysticisme, la prophétie, les
visions, l'enthousiasme, la créativité et l'inspiration.
En
complément aujourd'hui, selon le thème 7-11, un concerto grosso de Giuseppe
Valentini - son opus 7, numéro 11.
Notre montage # 348 est disponible pour écoute et téléchargement depuis la chaîne Community Audio du site Internet Archive à l'adresse suivante: https://archive.org/details/pcast348 |
Le
catalogue Beethoven compte de nombreuses combinaisons de trios: trios à cordes
(violon, alto et violoncelle), trios à vent (deux hautbois et cor anglais),
trios pour piano, clarinette et violoncelle mais les plus connus sont pour le
trio classique avec piano (piano, violon et violoncelle). Pour cette
combinaison spécifique, il a composé au moins sept trios, deux séries de
variations ainsi que quelques mouvements autonomes. De son premier recueil (son
opus 1), j'ai retenu le trio n ° 1, avec l’alignement original du Trio Beaux
Arts.
Les dix
sonates de Beethoven représentent l’œuvre la plus importante pour violon et
piano. Les sonates pour violon de Beethoven ne couvrent pas tout à fait l’œuvre
de toute sa vie, comme le font les sonates pour piano ou les quatuors à cordes
par exemple. Son dernier exemple date de 1812, alors qu'il réussissait encore à
se produire en public et 15 ans avant sa mort. Comme toujours avec ce génie
unique, la norme à travers le cycle est incroyablement superbe, touchant
souvent la grandeur absolue. Il n'y a pas de sonate faible - mais alors nous
serions étonnés si nous en trouvions une. Ils donnent un aperçu particulier de
Beethoven en tant que jeune homme, plein de confiance en tant que compositeur
et pianiste, et ouvrant la voie à une nouvelle voie à suivre. J'ai conservé la
sonate no. 2, interprété par Martha Argerich et Gidon Kremer.
Beethoven a
hérité de la tradition du quatuor à cordes de ses prédécesseurs et l'a façonnée
en quelque chose d'inégalé en virtuosité, invention et expressivité Il a écrit
16 quatuors à cordes, et ils révèlent son évolution en tant que compositeur et
homme. Tout est là: esprit terreux (oui, Beethoven pouvait faire une blague), tempérament
instable (sa fureur était légendaire) et chagrin personnel (il avait de quoi
pleurer). Sur le montage d’aujourd’hui, j’ai retenu le no. 3, interprété par la
formation des années 50 du Quatuor à cordes de Budapest.
Bonne
écoute!