mardi 30 juillet 2019

Vladimir Ashkenazy & Beethoven


Le billet suivant est mon Mardi en Musique du 30 juillet 2019 qui  propose notre montage # 318. Il est disponible pour écoute et téléchargement depuis la chaîne Community Audio du site Internet Archive à l'adresse suivante: https://archive.org/details/pcast318





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Un petit “coucou” pendant nos vacances d’été afin de vous offrir mon montage trimestriel pour le cinquième mardi du mois.

Pour ce troisième montage de juillet, nous concluons un tryptique sur les compositeurs et interprètes soviétiques avec un échantillon de sonates pour piano de Beethoven interprétée par Vladimir Ashkenazy, qui a quitté l’Union soviétique pour l’Occident en 1963. La famille d’Ashkenazy s’est installée en Islande en 1968 où, en 1972, il est devenu citoyen. En 1978, le couple et leurs quatre enfants s'installent à Lucerne, en Suisse. En 1989, Ashkenazy réside à Meggen.

Il n’y a pas de motifs spécifiques derrière les sélections du corpus que j’ai retenu aujourd’hui; le montage fait partie du survol des sonates de Ludwig que je propose en baladodiffusion comme grande thématique pour 2019.

Nous revenons à Ashkenazy assez souvent dans nos propos – lors d’un billet Mozart – Wagner – Schoenberg proposé il y a quelques années ici-même, nous avions rappelé qu’Ashkenazy a délaissé sa vocation de pianiste virtuose pour la direction d’orchestre. Cependant, sa discographie en tant que soliste est immense, de J.S. Bach à Chostakovitch avec des incursions majeures chez Beethoven, Mozart et Chopin.

Ma collection de compacts compte le coffret de l’intégrale des sonates pour piano de Beethoven par Ashkenazy; Je pense que ces enregistrements datent du milieu des années 1970, fonc enregistrements analogiques, remasterisés numériquement et réédités par le label London / Decca au début des années 2000. Ashkenazy révisera certaines de ces sonates à l'ère numérique, avec des critiques mitigées. Au sommet de son art, Ashkenazy apporte une passion (ainsi qu'une maîtrise technique) qui donne vie à ces sonates. J’aime bien Glenn Gould, mais Beethoven n’a pas besoin d’être interprété de manière mathématique et asceptique.

Bonne écoute!

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